Marathon Nice-Cannes : une édition hommage

Cette année 13 700 coureurs seront au départ du Marathon Nice-Cannes depuis stade de l'Allianz Riviera.

La 9ème édition du Marathon Nice-Cannes, qui aura lieu dimanche 13 novembre, s’annonce comme une édition spéciale. La course se déroulera un an, jour pour jour, après les attentats de Paris. Un hommage sera ainsi rendu ce dimanche quelques minutes avant le départ, aux victimes du Bataclan et de Nice.

Marathon Nice-Cannes, un symbole d’espoir

Malgré ce contexte particulier, 13 700 coureurs s’élanceront ce dimanche à l’assaut des 42,195 km azuréens. Le maintien de l’épreuve et tous ces participants est un symbole fort d’espoir, comme le rappelle, Pascal Thiriot, Président d’Azur Sport Organisation : « Il ne fallait pas céder à la peur. Il a fallu se battre. On revient de très loin ».

Marathon Nice-Cannes : le terrain de jeu des Kenyans

Le sport primera encore cette année sur l’actualité. Tous les regards seront certainement braqués sur le chrono, avec l’espoir d’assister à la naissance d’un nouveau record. Sur le papier, les kenyans restent fidèles à leur réputation. Parmi eux, Henry Sugut est d’abord la meilleure référence annoncée. Il est détenteur d’un record personnel en 2 h 06 min 58 s sur le Marathon de Vienne en 2012. En outre, dans son sillage, ses compatriotes Nixos Machichim et Eliud Kiplagat, respectivement crédités à 2 h 08 min 22 s et 2 h 10 min 44 s, devraient jouer des coudes. Enfin, il ne faudra pas oublier non plus le kenyan Barnabas Kiptum, auteur d’un record personnel en 2 h 10 min 29 s. Pour mémoire, depuis 2011, le record chez les hommes est toujours aux mains du kenyan Lukas Kanda en 2 h 08 min 40 min.

Marathon Nice-Cannes : une tricolore dans les favorites

Côté féminines, l’éthiopienne Biruk Tilahun fait figure de favorite sur le papier, créditée d’un record personnel de 2 h 28 min 11 s. Mais, il ne faudra pas oublier la kenyane Emily Rotich. Elle compte 3 participations à son actif sur le Marathon des Alpes-Maritimes Nice-Cannes. À suivre également en tête du peloton féminin : l’éthiopienne Kedir Zahara, affichant un chrono personnel en 2 h 33 min 46 s et la kenyane Lucy Murigi (2 h 37 min 45 s) ainsi que la française Martha Komu (2 h 25 min 33 s), qui a terminé 10e sur le Schneider Electric Marathon de Paris en 2015 en 2 h 33 min 33 s. Pour mémoire, le record de 2 h 30 min et 37 s enregistré par la kenyane Radiya Roba en 2010 tient toujours.

 

5 exercices de fitness pour les coureurs (suite)

© Scott McDermott

Apprenez à stimuler progressivement votre corps pour provoquer des changements. Grâce à ces exercices de fitness à faire régulièrement, vos séances seront plus rapides et surtout plus efficaces.

ENTRAINEMENT DE FITNESS 2

Cette séance d’environ 20 min demande une paire d’haltères et un banc d’exercice. Lors du choix des haltères, n’oubliez pas qu’il ne s’agit pas de prendre de la masse musculaire, mais de travailler la vélocité, la résistance et la puissance. Choisissez donc des poids plutôt légers. Attention : vous pourriez aussi subir des courbatures car vous allez travailler des muscles qui ne sont pas habitués. Assurez-vous de ne pas avoir prévu de séance difficile le lendemain, mais plutôt, pourquoi pas, un footing tranquille en endurance.
Concentrez-vous d’abord sur la bonne position, une fois que vous aurez compris les bons mouvements et les bons exercices, augmentez, si possible et au fur et à mesure, le poids des haltères. Les dernières répétitions devront être un peu difficiles : pas de panique, c’est justement le signe que la séance a été réellement profitable. Ces exercices vont développer votre résistance et votre tonicité musculaire. Conséquence : vous serez beaucoup plus à l’aise lors des séances de vitesse.

POUSSÉE DES HANCHES

© Scott McDermott
© Scott McDermott

Avec un haltère en appui sur vos hanches, assis au sol. Vos épaules touchent le banc d’exercice, les pieds sont à plat au sol. Poussez vos hanches vers le plafond tout en contractant les fessiers. Votre torse doit rester parallèle au sol. Revenez en position de départ. Faites 3 séries de 8 à 10 répétitions.

POUSSÉE SUR UN BRAS

© Scott McDermott
© Scott McDermott

Prenez un haltère dans votre main gauche et mettez votre main droite sur le banc d’exercice, le corps bien aligné de la tête aux pieds. Ramenez votre coude gauche
en arrière, tout en contractant les fessiers. Revenez en position de départ et faites 3 séries de 6 à 8 répétitions par bras.

FENTE AVANT AVEC POIDS

© Scott McDermott
© Scott McDermott

En position de fente avant (genou gauche en avant). Tenez un haltère dans votre main droite et maintenez-le au niveau de l’épaule. Les deux hanches et les genoux doivent former un angle de 90°. En maintenant une posture droite, poussez l’haltère vers
le haut puis ramenez-le avec un mouvement lent et contrôlé. Faites 3 séries de 6 à 8 répétitions par bras.

JAMBE TENDUE

© Scott McDermott
© Scott McDermott

Départ debout, un haltère dans chaque main, les bras tendus le long des cuisses. Basculez le tronc vers l’avant en pivotant sur la hanche droite la jambe gauche se tend vers l’arrière jusqu’à ce que le haut du corps soit quasiment parallèle au sol. Tenez 2 secondes et revenez à la position initiale. Faites 3 séries de 8 à 10 répétitions sur chaque jambe.

SQUAT ASSIS

© Scott McDermott
© Scott McDermott

Debout, les pieds écartés dans la largeur des hanches, tenez un haltère devant la poitrine, les coudes vers le sol. Rabaissez vos hanches vers l’arrière et repliez-vous sur vos genoux dans une position de squat, les coudes à l’intérieur des genoux. Le dos reste bien droit. Poussez sur vos pieds pour vous redresser. Faites 3 séries de 8 à 10 répétitions.

5 exercices de fitness pour les coureurs

© Scott McDermott

Apprenez à stimuler progressivement votre corps pour provoquer des changements. Grâce à ces exercices de fitness à faire régulièrement, vos séances seront plus rapides et surtout plus efficaces.

ENTRAINEMENT DE FITNESS 1

Cette séance de 15 min d’exercices de renforcement musculaire peut être réalisée tous les jours de la semaine. « L’idéal est de la programmer à la suite d’une sortie en endurance fondamentale où elle aura aussi un effet bénéfique sur l’amplitude de vos mouvements et aidera à limiter les raideurs musculaires ». En cas d’agenda serré, vous pouvez répéter cette séance une 2ème fois dans la semaine en remplacement de l’entraînement 2 (disponible demain sur Runner’s World).

INVERSION DU TORSE AVEC ROTATION

© Scott McDermott
© Scott McDermott

Amenez le pied gauche en arrière, fléchissez les genoux à 90° puis faites pivoter le haut du corps vers la droite. Ramenez le torse en position de départ avant de vous redresser en position debout. Répétez 15 fois. Recommencez avec le pied droit en arrière et rotation du tronc vers la gauche.

POMPES DESCENDANTES

© Scott McDermott
© Scott McDermott

Allongez-vous en position de pompes sur la pointe des pieds. Rapprochez-vous lentement du sol en veillant à maintenir votre corps toujours aligné des talons à la tête. Dès que votre poitrine est proche du sol, posez vos genoux au sol pour vous redresser et revenez à la position initiale. Répétez 15 fois.

FESSIERS

© Scott McDermott
© Scott McDermott

Allongez-vous sur le dos avec les genoux repliés, les pieds bien à plat sur le sol et les paumes des mains à plat, vers le bas. Levez vos hanches jusqu’à ce que votre corps forme une ligne droite des épaules jusqu’aux genoux. Contractez vos fessiers et tenez pendant 2 secondes, puis recommencez. Répétez 15 fois.

BALAYAGE DE HANCHE

© Scott McDermott
© Scott McDermott

Commencez en position de pompes. Ramenez votre genou gauche vers le coude droit. Ensuite, amenez votre genou vers l’extérieur de votre coude gauche dans un mouvement de balayage. Revenez en position initiale, puis répétez avec votre genou droit. Les deux côtés forment 1 répétition. Répétez 15 fois.

SCORPION

© Scott McDermott
© Scott McDermott

Allongez-vous face au sol et bras écartés. Décollez la jambe gauche, repliez votre genou et amenez le pied vers le sol côté droit. Maintenez la position durant 2 secondes puis revenez au point de départ. Recommencez à droite. Répétez 15 fois de chaque côté.

Maigrir : comment faire grâce au running ?

Si la période du tout-régime a fait les beaux jours de quelques marabouts autoproclamés mages de la minceur, on sait aujourd’hui que le régime n’est pas la réponse la plus adaptée. Et si, pour maigrir, la solution n’était pas dans le moins, mais dans le plus ? Plus de course, plus de nourriture saine et adaptée aux besoins ?

POUR MAIGRIR, SE PRIVER NE SERT À RIEN

Une étude publiée en 2013 dans la revue US Endocrinology confirme ce que les dernières recherches avaient déjà mis en avant. La réponse au surpoids n’est pas dans la privation, qui provoque un effet rebond au niveau de l’organisme. Pourquoi ? Parce que même si le régime (associé ou non à l’augmentation de l’entraînement) permet d’atteindre l’objectif dans un premier temps, il entraîne une reprise de poids (plus importante) quasi systématique sous quelques semaines ou mois. La bonne option, alors ? Booster le métabolisme de base. En d’autres mots, brûler plus de calories tout au long de la journée tout en alimentant l’organisme avec des nutriments qui lui permettent de bien bouger. Comment ? Voici des idées toutes simples à adopter d’urgence.

POUR MAIGIR, MISEZ SUR LES PRODUITS NON TRANSFORMÉS

Moins ils sont transformés, plus les aliments sont intéressants. Pourquoi ? Parce qu’ils conservent alors toutes leurs propriétés intrinsèques et sont donc particulièrement adaptés à nos besoins. Les fruits, légumes, céréales complètes, par exemple, sont particulièrement riches en fibres. Or les fibres ont le pouvoir de gonfler dans l’estomac et donc de caler celui-ci plus longtemps. Les fibres solubles (légumineuses, fruits) stabilisent le taux de sucre dans le sang et jouent sur la satiété.

EN PRATIQUE
Consommez des fruits et des légumes à chaque repas, en les alternant crus et cuits. Mettez céréales complètes et légumineuses au menu aussi souvent que possible.

POUR MAIGRIR, AVALEZ DES PROBIOTIQUES

Les probiotiques sont des micro-organismes utiles, qui pullulent dans la flore intestinale et jouent un rôle crucial en contrant la prolifération de mauvaises bactéries, également présentes en nombre. Parmi ces quelque 100.000 milliards de bactéries dans le système digestif, une espèce en particulier, les bifidobactéries, pourrait jouer un rôle dans le maintien du poids de forme et lutter contre l’obésité, selon différentes recherches menées ces dernières années. Les produits laitiers fermentés sont riches en bifidobactéries.

EN PRATIQUE
Comptez une portion d’un aliment riche en bifidobactéries (lait fermenté, yaourt, kéfir ou produit enrichi en bifidus) par jour.

POUR MAIGRIR, ÉPICEZ VOS PLATS

Plusieurs études montrent que la capsaïcine, ce composant que l’on trouve notamment dans le piment, permet de brûler des calories (notamment les sucres et les graisses), régule l’appétit et aide à contrôler son poids. De fait, les piments (frais et séchés) ou les sauces comme le Tabasco sont de bons alliés de votre ligne. Dans le même genre, la catéchine, un flavonoïde contenu dans le thé vert, réduirait la faim.

EN PRATIQUE
À la place d’un deuxième café, prenez un thé vert. Agrémentez vos plats de pâtes ou vos soupes d’une pincée de piment.

POUR MAIGRIR, CHANGEZ DE VAISSELLE

Une étude menée par l’université Cornell, aux États-Unis, montre que 92 % des personnes terminent systématiquement leur assiette. Évidemment, c’est plus ou moins embêtant selon l’aliment en question et la taille de l’assiette. Mais vous éviterez les abus en tout genre en diminuant la taille du contenant.

EN PRATIQUE
Troquez vos assiettes pour des versions mini (à entrée ou dessert) et utilisez de tout petits contenants pour les aliments les plus gras. Vous réduirez globalement les quantités de nourriture ingérées.

POUR MAIGRIR, ADOPTEZ LE CROSS TRAINING

Conservez votre niveau d’entraînement (ou augmentez-le), mais ajoutez 1 ou 2 autres activités physiques en complément pour stimuler des zones musculaires qui travaillent moins pendant le running et brûler un maximum de calories.

EN PRATIQUE
Le vélo et la natation sont de très bonnes options, par exemple… et vous pourriez prendre goût au triathlon !

POUR MAIGRIR, BOUGEZ !

Les entraînements, le cross training… c’est bien ! Mais si en dehors de vos quelques heures de sport hebdomadaires vous passez votre vie sur une chaise, vous ruinez tous vos efforts (et mettez votre santé en danger, la sédentarité étant la principale cause de troubles cardio-vasculaires).

EN PRATIQUE
Pas de voiture en dessous de 500 m, les escaliers au lieu de l’ascenseur, et au bureau, ne restez pas assis plus de 30 min d’affilée (vous pouvez téléphoner debout, en marchant, par exemple), et pratiquez des exercices d’étirement pendant la journée.

5 bonnes raisons de manger le matin

© Mitch Mandel

Pour les coureurs, manger le matin est essentiel. Voici un guide du petit-déjeuner parfait pour tous types de coureurs.

MANGER LE MATIN PERMET D’ENTRETENIR SES MUSCLES

Après une nuit de sommeil, votre corps est complètement vidé et plus précisément au niveau des protéines musculaires. En conséquence, il est indispensable d’alimenter vos muscles avec des acides aminés, les composants des protéines.

MANGER LE MATIN PERMET DE CONTRÔLER SON POIDS

Ceux qui ne sautent pas le petit déjeuner maîtrisent mieux leur poids et ont moins de gras que les autres. Un petit déjeuner régulier aide à trouver l’équilibre alimentaire pour le reste de votre journée.

MANGER LE MATIN PERMET DE BOOSTER SON CERVEAU

L’apport en glucides (le taux de sucre dans le sang) est indispensable pour votre cerveau. Pour les enfants comme pour les adultes, faire l’impasse sur le petit déjeuner peut avoir des effets dévastateurs : compréhension orale, calcul, lecture ou encore la mémoire. Pour les enfants, prendre le temps de manger un petit déjeuner, c’est l’assurance d’une meilleure concentration à l’école et d’une socialisation accrue.

MANGER LE MATIN PERMET D’AMÉLIORER SON ALIMENTATION GLOBALE

Privilégier le petit déjeuner permet aussi de mieux contrôler son alimentation pour toute la journée. Vous mangez plus équilibré et vos apports en nutriments s’en voient augmentés. Un simple bol de céréales au lait accompagné de fruits participent à l’apport en calcium, vitamine D, protéines.

MANGER LE MATIN PERMET DE RÉDUIRE LE RISQUE DE MALADIES

Prendre un petit déjeuner, c’est aussi maîtriser son taux de cholestérol, et donc réduire le risque de problèmes cardiaques à venir. Ceux qui mangent des céréales (particulièrement celles à base d’avoine) assimilent plus de fibres qui réduisent le mauvais cholestérol. Et ceux qui consomment des œufs le matin ont montré des taux de cholestérol aussi bons que ceux qui n’en mangent pas (ou ne petit déjeunent pas). Alors pourquoi se priver de cet apport en protéines ? De plus, le petit déjeuner permet de réguler la tension artérielle, ce qui explique pourquoi le diabète de type 2 est moins élevé chez ceux qui s’alimentent dès le matin. CQFD.

FACE-À-FACE

OEUF À LA POÊLE contre OEUF BROUILLÉ

© Lily Paluda
© Lily Paluda

Tous deux fournissent 6 g de protéines. C’est ce que vous mettez dans la poêle qui compte, à condition de ne pas rajouter de la crème dans l’œuf brouillé. Privilégiez une poêle antiadhésive et donc moins de matières grasses.

PANCAKE ANGLO-SAXON contre GAUFRE FRANÇAISE

© Lily Paluda
© Lily Paluda

Optez pour le pancake. Il contient un peu plus de protéines qu’une gaufre. Vous le faites vous-même ? Ajoutez 1⁄2 c. à soupe de protéines de lactosérum en poudre (la classique Whey protein américaine) pour améliorer votre récupération.

FLOCONS D’AVOINE contre CÉRÉALES SUCRÉES TYPE CHEERIOS

© Lily Paluda
© Lily Paluda

Vous vous en doutez, les préparations à base d’avoine fournissent plus de bres que les céréales et 2 fois plus de protéines (7 g contre 3 g). À recouvrir de yaourt, de baies et de noisettes pour compléter.

BONUS : MANGEZ MALIN POUR COURIR MIEUX

Adaptez vos repas en fonction de l’heure à laquelle vous allez vous entraîner.

VOUS COUREZ LE MATIN ? MANGEZ CECI

AVANT : 1 tartine banane et miel

POURQUOI ? Pour fournir à votre cerveau les glucides les plus importants (idéalement 1 g pour 1 kg), et ainsi être capable de mieux assimiler votre entraînement.

APRÈS : 2 œufs brouillés avec 1 salade de feta,
1 morceau de patate douce et 1 smoothie baies-kéfir.

POURQUOI ? Post-workout, vos muscles réclament des glucides et une bonne dose de protéines. Axez votre repas autour des œufs ou d’un produit laitier pour la fabrication de protéines.

VOUS COUREZ À MIDI ? MANGEZ CECI

UN PETIT DÉJEUNER : 2 tranches de pain complet tartinées de yaourt grec à la vanille, des fraises et des noix.

POURQUOI ? Privilégiez un solide petit déjeuner qui vous permettra de tenir jusqu’à votre course de midi et de rester actif au travail avant et pendant l’entraînement. Ensuite, bien sûr, déjeunez.

Grâce au yoga, diminuez le risque de blessures

Beverly Mathews recommande la posture allongée de la tête de vache pour étirer vos fessiers et vos ischio-jambiers. © Mitch Mandel

Le yoga est très bénéfique pour le corps car il apporte plus de souplesse, améliore l’amplitude des mouvements et rajoute de la force musculaire, sans oublier le mental, car il fait aussi travailler la concentration et la gestion du stress, ce qui peut être intéressant pour un coureur. La pratique du yoga améliore donc les performances en course à pied et diminue le risque de blessure. Il soulage également les courbatures et les tensions dans les muscles mobilisés par votre pratique régulière de la course à pied. Voici quelques postures que vous conseille notre yogi, à réaliser après votre entraînement et/ou pendant votre jour de repos.

POSTURE DU CHIEN TÊTE EN BAS

Objectif : Pour étirer les ischio-jambiers, les mollets et la voûte plantaire, et renforcer les épaules.

© Mitch Mandel
© Mitch Mandel

Posture : Commencez sur vos mains et vos genoux. Alignez vos poignets dans l’axe de vos épaules et vos genoux dans l’axe de vos hanches. Tendez vos doigts et poussez sur vos paumes de main. Rentrez vos orteils et décollez vos genoux du sol. Tendez doucement vos jambes en soulevant votre bassin pour former un V inversé. Effectuez 10 profondes respirations. Lorsque vous sentez vos muscles se relâcher, tendez un peu plus vos jambes et rapprochez vos talons du sol.

POSTURE DE LA FENTE BASSE

Objectif : Pour étirer les muscles fléchisseurs de la hanche, et renforcer les ischio-jambiers et les quadriceps.

© Mitch Mandel
© Mitch Mandel

Posture : À partir de la posture du chien tête en bas, avancez votre pied droit et placez-le entre vos mains. Descendez votre genou gauche et, tout en gardant le genou droit en place, faites glisser le gauche vers l’arrière. Posez le dessus de votre pied gauche sur le sol et redressez votre torse. Ramenez vos bras sur le côté et tendez-les vers le ciel. Positionnez votre coccyx vers le sol et levez la tête pour regarder vos mains. Effectuez 10 respirations, relâchez et recommencez avec l’autre jambe.

POSTURE DES ORTEILS

Objectif : Pour prévenir la fasciite plantaire en étirant les tibias et la voûte plantaire.

© Mitch Mandel
© Mitch Mandel
© Mitch Mandel
© Mitch Mandel

Posture : Mettez-vous à genoux sur votre matelas de yoga en vous asseyant sur vos pieds, les orteils retournés sur le sol (vous pouvez placer une brique yoga ou un oreiller entre vos talons et vos mollets). Effectuez 10 respirations. Ensuite, posez vos pointes de pied sur le sol, placez vos mains derrière vous et penchez-vous en arrière tout en essayant de lever vos genoux. Si vous n’y arrivez pas, pas de panique. Vous sentirez quand même que ça tire au niveau de vos tibias et de votre voûte plantaire.

POSTURE ALLONGÉE PIED EN MAIN

Objectif : Pour étirer les ischio-jambiers.

© Mitch Mandel
© Mitch Mandel

Posture : Allongé sur le dos, les jambes étendues sur le sol. Ramenez votre genou droit contre votre poitrine, passez une sangle de yoga (ou une serviette) sous votre voûte plantaire et tenez les deux extrémités avec votre main droite. Essayez de tendre votre genou droit. Lorsque vos ischio-jambiers se détendent un peu, tendez davantage. Surtout, ne forcez pas. Vous devriez avoir une bonne sensation d’étirement au niveau de la partie inférieure de l’arrière de la cuisse. Effectuez 10 respirations
et changez de jambe.

POSTURE DU PIGEON COUCHÉ

Objectif : Pour délier les tensions, et assouplir les hanches.

© Mitch Mandel
© Mitch Mandel

Posture : Allongez-vous sur le dos, ramenez vos genoux contre votre poitrine, les cuisses parallèles et écartées selon la largeur de votre bassin. Ramenez votre cheville gauche sur votre cuisse droite. Passez votre bras gauche sous votre mollet gauche et votre bras droit à l’extérieur de la cuisse droite. Croisez vos mains derrière la cuisse droite et fléchissez votre pied gauche. Si besoin, placez un oreiller sous celle- ci. Effectuez 10 respirations puis changez de jambe.

POSTURE ALLONGÉE DE LA TÊTE DE VACHE

Objectif : Pour augmenter l’amplitude de mouvement de votre bassin, et détendre vos fessiers et vos ischio-jambiers.

© Mitch Mandel
© Mitch Mandel

Posture : Allongez-vous sur le dos et croisez vos genoux en plaçant votre jambe droite sur votre jambe gauche. Maintenez votre pied droit avec votre main gauche et votre pied gauche avec votre main droite. Ou attrapez vos tibias. Ramenez vos talons vers votre corps, puis vers l’extérieur et vers le haut. Effectuez 10 respirations puis recommencez avec la jambe gauche sur la jambe droite.

POSTURE DE LA TORSION ALLONGÉE

Objectif : Pour détendre le bas du dos, et étirer les fessiers.

© Mitch Mandel
© Mitch Mandel

Posture : À partir de la posture allongée de la tête de vache (la jambe droite sur la jambe gauche), penchez vos jambes sur le côté gauche en maintenant le haut de votre dos et votre tête sur le sol. Tendez vos bras sur les côtés et tournez votre tête vers la droite. Effectuez 10 respirations et changez de jambe (et donc de côté pour la torsion).

POSTURE DES JAMBES SUR LE MUR

Objectif : Pour libérer la tension dans les jambes, les pieds et le dos, et étirer les ischio- jambiers et les fessiers.

© Mitch Mandel
© Mitch Mandel

Posture : Allongez-vous en positionnant votre bassin près d’un mur avec vos jambes contre celui-ci (en l’air). Rapprochez votre bassin du mur pour que ce soit le plus confortable possible. Maintenez cette position autant de temps que vous le désirez (10 respirations, 10 minutes…). Certaines personnes font même une sieste – le sommeil est très réparateur.

7 raisons de ne pas rester assis

7 raisons de ne pas rester assis

Vous avez un job qui vous oblige à passer des heures devant un écran ? Mauvais plan. Très mauvais plan même. Rester assis est aussi mauvais pour la santé que fumer (même pour les coureurs) d’après des recherches récentes. Voici 7 raisons qui vous feront lever vos fesses de votre fauteil.

RESTER ASSIS PERTURBE LA CIRCULATION SANGUINE

La position assise prolongée perturbe la circulation sanguine et les échanges, anéantit la créativité et joue sur l’humeur.

RESTER ASSIS AFFAIBLIT LES MUSCLES

Rester avachi sur un bureau affaiblit certains groupes musculaires, comme ceux du bas du dos, du buste, et de la poitrine. « Or, quand vous courez, vos bras accompagnent le mouvement d’arrière en avant, ce qui implique une torsion du buste et donc un risque plus important de développer des blessures comme le syndrome de la bandelette ilio-tibiale ou des douleurs dans le pied ou le tibia« , explique Nikki Reiter, spécialiste en biomécanique.

RESTER ASSIS AUGMENTE LES RISQUES CARDIO-VASCULAIRE

Certains muscles des membres inférieurs contiennent des enzymes qui ne remplissent plus pleinement leur rôle en cas de position assise prolongée. Résultat ? Une augmentation du risque de pathologie cardiaque.

RESTER ASSIS AUGMENTER LES RISQUES DE CANCERS

La sédentarité est responsable d’une augmentation du risque de développer plusieurs formes de cancers : côlon, sein, poumon, prostate.

RESTER ASSIS PROVOQUE UN RELÂCHEMENT DES LIGAMENTS

Après seulement 20 minutes passées sur une chaise, les ligaments de la colonne se relâchent. « C’est une mauvaise chose pour les coureurs, explique Stuart McGill, directeur du laboratoire de biomécanique de l’Université de Waterloo (Canada), car les muscles et les ligaments n’assurent plus aucun maintien. Il faut environ une demi-heure pour que la colonne retrouve sa « rigidité », ce qui est important quand on doit avancer. »

RESTER ASSIS AUGMENTE LE RISQUE DE BLESSURES

Les muscles fessiers (notamment le moyen fessier) ont tendance à s’allonger quand on reste assis trop longtemps, ce qui empêche de stabiliser complètement le plancher pelvien quand on court. Du coup, d’autres muscles et tendons sont alors plus sollicités, ce qui peut engendrer nombre de blessures bien connues des coureurs : syndrome de la bandelette ilio-tibiale, élongation, douleurs du genou, pronation du pied excessive…

RESTER ASSIS RÉDUIT VOS PERFORMANCES

Quand vous êtes assis, les muscles fléchisseurs de la hanche se raccourcissent, or ils sont primordiaux dans la course puisqu’ils permettent la flexion de la jambe. « Le mouvement est donc de moins bonne qualité et votre foulée moins efficace« , conclu Nikki Reiter.

9 aliments à éviter quand on court

Les aliments suspects

Certains aliments peuvent paraitre intéressants d’un point de vue nutritionnel. Pourtant, ils peuvent être contreproductifs et nuire à vos performances. Voici neuf aliments qu’il faut éviter.

LES YAOURTS AROMATISÉS

Les yaourts sont une bonne source de protéines, calcium et potassium, des nutriments indispensables au squelette et aux muscles. Mais les yaourts aromatisés sont très riches en sucre. Jusqu’à 20 g par portion (5 g apportés par le lactose et 15 g de sucre ajouté).

La bonne option : Les yaourts nature, qui ne contiennent aucun sucre ajouté. Agrémentez de fruits, fruits secs, compote sans sucre.

LE PAIN AUX CÉRÉALES

Sur le papier, le pain aux céréales (ou multigrains) a tout pour plaire. En réalité, sans être un « mauvais » aliment, il peut véhiculer une image erronée. Réalisé à base de farine raffinée, il peut être plus riche en sucre et calories que la version sans graines, surtout s’il est fabriqué industriellement. Et il n’a pas plus de nutriments que le pain blanc.

La bonne option : Le pain complet fabriqué avec des farines complètes, enrichi ou non avec des graines.

LES GRAISSES HYDROGÉNÉES

Les graisses hydrogénées sont le résultat d’un processus industriel (hydrogénation) qui rend les graisses plus stables à la chaleur. Le problème ? Ce procédé augmente aussi le nombre d’acides gras saturés (ou trans), délétères. Les graisses saturées jouent un rôle sur l’augmentation du « mauvais » cholestérol (le LDD). Comme elles sont aussi plus difficiles à transformer en énergie par l’organisme, elles pourraient également réduire les capacités physiques.

La bonne option : Traquer les graisses hydrogénées dans les étiquettes et les éliminer de l’alimentation.

LA BIÈRE

Un demi pour se détendre après un entraînement difficile ? Pourquoi pas. Mais attention, la bière n’est certainement pas la meilleure boisson pour récupérer. « Même si la bière contient un peu de glucides – 2 à 3 g pour 100 ml –, ce n’est pas une boisson indiquée pour récupérer », explique Gilles Dreux. L’alcool est un diurétique et nuit à la bonne réhydratation.

La bonne option : Si vous voulez mincir, c’est zéro alcool.

LES BOISSONS DE L’EFFORT

Rien à redire sur le produit lui-même, intéressant (voire indispensable) pour les efforts prolongés (1 h ou plus). En revanche, totalement inadapté pour les efforts de courte durée (moins de 45 min). « Attention, les boissons dites sportives contiennent du sucre et beaucoup de calories », prévient notre expert.

La bonne option : Réserver uniquement aux entraînements intensifs.

LES BOISSONS ÉNERGISANTES

À ne pas confondre avec les boissons énergétiques (de l’effort). Beaucoup de coureurs sont accros à ces canettes qui donnent un regain d’énergie. Pour autant, si vous voulez un coup de pouce grâce à la caféine, préférez le café. Une étude publiée dans le British Journal of Nutrition a montré que les athlètes qui consommaient des boissons énergisantes augmentaient un peu leur vitesse et leur endurance mais souffraient plus d’insomnies et de nervosité.

LES BARRES PROTÉINÉES

Beaucoup de coureurs prennent l’habitude de consommer des barres protéinées juste après l’entraînement. Pourtant, mieux vaut éventuellement consommer un vrai snack et augmenter les portions de protéines au cours de la journée si elles ne sont pas suffisantes. « C’est la meilleure façon pour que l’organisme refasse les stocks », explique notre expert.

La bonne option : Si votre alimentation est variée et équilibrée (poisson, viande, produits laitiers, légumineuses…), vous n’avez pas besoin d’apports en protéines supplémentaires.

LES SODAS

Vous le savez, les sodas ont mauvaise réputation car ils sont très chargés en sucre. Beaucoup de coureurs les remplacent donc par des versions sans sucre. Malheureusement, une étude publiée l’année dernière dans la revue Nature tend à montrer que ces sucres artificiels seraient responsables de l’altération de la flore intestinale, augmenteraient les intolérances au glucose ainsi que le risque de développer un diabète. Bien sûr, d’autres études doivent venir corroborer ces premiers résultats. L’aspartame pourrait, en outre, amplifier les problèmes de transit chez les coureurs.

La bonne option : Mieux vaut s’abstenir ou se contenter d’une petite cannette de temps en temps.

LES ALIMENTS DITS « ALLÉGÉS »

Si vous faites partie de ces coureurs qui veulent perdre du poids, la tentation est grande de substituer des produits de régime à des produits traditionnels. Pourtant, une étude irlandaise a montré que les gens avaient tendance à consommer les produits dits « allégés » en quantités plus importantes que s’il s’agissait de produits traditionnels. Par ailleurs, attention aux mentions qui induisent des idées fausses. Faible en gras ne veut pas dire faible en sucre et en calories. Et inversement.

Comment récupérer après votre semi marathon ?

© Mark Matcho

Un semi-marathon peut servir de préparation avant d’entamer un marathon ou simplement de référence pour tenter un chrono sur une autre distance. Dans tous les cas, voici comment optimiser les bénéfices de votre entraînement.

Récupérez d’abord après votre semi-marathon

C’est un préalable obligatoire avant d’envisager une suite à votre semi-marathon. Votre organisme doit avoir absolument récupérer de la course et vous devez avoir éliminé la fatigue musculaire (ou mentale) de l’entraînement et de la compétition. Vous ne devez avoir aucune sensation de douleur. Mettez à profit les techniques professionnelles (chaussettes de récupération, électrothérapie, cryothérapie…).

Préparez la suite de votre semi-marathon

Quelques séances de kinésithérapie sont un vrai plus pour éliminer les toxines accumulées et pour étirer correctement les muscles et les tendons. Le sommeil et l’alimentation vont également jouer un grand rôle dans votre récupération. Restez à l’écoute de vos sensations et de votre envie. Il est inutile de forcer si le mental ne suit pas. Courez un semi-marathon avant un marathon… Pour les coureurs préparant un 42 km, le semi-marathon de préparation est une étape quasi obligatoire. Il permet de se tester et de roder les derniers détails (matériel et alimentation). Dans ce cas, le semi n’est pas couru en performance, mais à allure marathon. Cela donne généralement une bonne indication à mi-parcours, après 4 ou 5 semaines de préparation. Il ne faut pas perdre de vue qu’il s’agit avant tout d’une course de réglage et non d’un objectif en soi. Car, après le semi, la préparation continue.

… ou pour embrayer sur un 10km

Vous pouvez envisager cette option si vous avez déjà bien récupéré de votre précédente course. La préparation spécifique entre un semi-marathon et un 10 km n’est pas si différente ; elle peut même être complémentaire. Vous pouvez très bien conserver les bénéfices de votre préparation pour la suite. Respectez 15 jours entre la fin de votre semi et le 10 km : la 1ère semaine sera consacrée à la récupération active, la 2ème à un travail d’entretien spécifique à VMA courte.

Le semi-marathon, idéal pour lancer votre saison de course

Au cours de ces quelques semaines de préparation, vous avez acquis une bonne forme physique et amélioré votre niveau. Les séances spécifiques ou d’endurance vous auront affûté et fait progresser dans toutes les zones aérobies. Par conséquent, profitez-en pour surfer sur cette vague positive et démarrer votre plus belle saison. Les occasions pour rebondir sont nombreuses, qu’il s’agisse de préparer de nouvelles échéances, d’utiliser sa préparation comme base de travail pour encore améliorer son niveau ou tout simplement de conserver les bénéfices obtenus en termes de perte de poids. C’est la meilleure façon d’optimiser vos acquis. Ne tardez pas trop, car les pics de forme ne sont pas si fréquents.

Toutefois, enchaîner les courses n’est pas sans risques. Ce type de stratégie est réserver aux coureur les plus aguerris et déjà expérimentés, qui se connaissent parfaitement.

Distances concernées

Toutes les distances allant du 5 km au semi-marathon. Les distances supérieures nécessitent une récupération plus importante et une préparation en amont différente.

Respecter les délais

On estime qu’il faut respecter 1 à 2 semaines entre 2 courtes distances (5 km et 10 km) et 2 à 3 semaines pour un semi- marathon. Les champions ont un truc : alterner entre les compétitions cibles et les courses d’entraînement courues en dessous de leurs possibilités maximales. Un bon moyen d’accumuler de l’expérience.

Gérer son entraînement

Toute la difficulté sera de bien entretenir ses qualités aérobies, sans engendrer de fatigue excessive. Il faut éviter les séances à allure spécifique – 5 km, 10 km ou semi-marathon – et mettre l’accent sur la VMA courte et la récupération. Ne pas oublier que la course du week-end compte aussi pour un entraînement.

Les 5 commandements du running après 40 ans

© Zohar Lazar

On perd 3 à 6 % de sa vitesse après 40 ans, 10 % par décennie de 50 à 70 ans, puis 15 % par décennie après 70 ans. Pourquoi ? Parce que la densité osseuse, la souplesse et la masse musculaire ne sont plus optimales. Mais on peut ralentir le processus en suivant ces conseils.

1. APRÈS 40 ANS, DU RENFORCEMENT MUSCULAIRE TU FERAS

Si vous n’avez jamais fait de renforcement musculaire jusqu’à présent, c’est encore plus important maintenant. La masse musculaire perd 8 % par décennie après 40 ans. Le renforcement permet de maintenir la masse musculaire au top et de diminuer les risques de douleur au niveau des articulations ou du dos. Faites 30 min de musculation, 2 fois par semaine en travaillant l’ensemble des groupes musculaires. Inutile d’utiliser des poids.

2. APRÈS 40 ANS, TE MASSER DU DEVRAS

Les raideurs musculaires ont tendance à s’installer avec l’âge. En vous massant tous les jours (à l’aide d’un rouleau de massage), vous assouplirez vos muscles ainsi que vos articulations. Insistez sur les zones les plus sollicitées par le running.

3. APRÈS 40, TRAVAILLER LA VITESSE TU CONTINUERAS

D’anciennes blessures et une VO2 max (capacité de l’organisme à transporter l’oxygène dans les muscles) en déclin peuvent dissuader les seniors de travailler la vitesse. Pourtant, les portions courtes et rapides avec pivot sont idéales pour stimuler les neurotransmetteurs, et donc la coordination. Commencez par inclure de courts intervalles (10 à 20 secondes de course rapide, 30 à 60 secondes de récupération, x 10). Plus fort, faites 60 secondes de course rapide, 2 min de course lente, x 3.

4. APRÈS 40 ANS, À TES OS TU PENSERAS

La densité osseuse n’est plus la même avec l’âge, d’où un risque plus important de fracture. Consommez du calcium et de la vitamine D chaque jour (1,2 mg de calcium pour les femmes de plus de 50 ans et les hommes de plus de 70 ans, et 600 UI de vitamine D au-delà de 50 ans). Pour faire le plein de calcium : laitages, épinards, tofu, haricots rouges, choux. Pour la vitamine D : poissons gras, huile de foie de morue, exposition solaire.

5. APRÈS 40 ANS, TES OBJECTIFS TU ADAPTERAS

Ne vous accrochez pas à vos performances passées. Trouvez de nouvelles distances, de nouvelles courses que vous n’avez encore jamais tentées. Initiez-vous au trail, au triathlon, aux courses par étapes… Vous trouverez très certainement de quoi poursuivre votre passion, même si votre vitesse n’est plus tout à fait la même qu’à 20 ans !

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