Alerte inscriptions : Wings For Life World Run, c’est maintenant

Le Wings For Life World Run est un concept qui est né l’année dernière. Souvenez-vous de cette course qui ne possède pas de ligne d’arrivée.

Le but ? Parcourir le plus de kilomètres possibles sans se faire rattraper par plusieurs voitures lancées à la poursuite des participants.

L’originalité ? Elle se déroule simultanément dans 35 pays et sur 6 continents.

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Cette course créée par Red Bull au profit de la fondation Wings For Life se tiendra le 3 mai 2015 à 13h (heure française) à Rouen. Les inscriptions sont d’ores et déjà ouvertes.

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L’an passé, 35 000 participants ont participé à la première édition et 3 millions d’euros ont été collectés pour la fondation Wings For Life afin de financer la recherche sur les lésions de la moelle épinière.

Le prix du dossard  est fixé à 30 euros avant le 1er mars, puis à 40 euros au-delà du 1er mars.

Retrouvez toutes les informations sur www.wingsforlifeworldrun.com/fr

 

5 astuces pour courir quand il fait froid

En 2008, au mois de novembre, sur une piste creusée et déneigée exprès d’Alaska, Dunbar Trevor a couru un cross de 3200 mètres  malgré de fortes chutes de neige. Distance parcourue en 9 minutes et 1 seconde ! Un chrono digne des meilleurs du pays. Pourtant, l’hiver n’est habituellement pas la meilleure période pour un chrono. Enfin, c’est ce qu’on pensait jusque-là. Cet exploit prouve que, même par temps froid et neigeux, il est tout à fait possible de fournir un effort intense. Sans forcément chercher à faire des étincelles, maintenir un certain niveau d’entraînement pendant l’hiver peut même vous apporter un avantage au moment des compétitions du printemps. Mais attention, il ne s’agit pas de reproduire en hiver l’entraînement que vous suivez par ailleurs, quand il fait doux ou chaud. Non, des réglages s’imposent. Voici 5 astuces pour courir quand il fait froid.

Augmentez la durée de l’échauffement

Pensez à rester constamment en mouvement – les longues phases d’étirement et la marche lente sont adaptées en juillet, mais pas en plein mois de décembre, en début de séance. Commencez donc avec un footing en accélérant durant 2 minutes, puis continuez avec des étirements et des exercices dynamiques tels que des remontées de genoux, des coups de pied, des sauts, des talons-fesses et enfin quatre à six grandes foulées avant de vous lancer dans le footing à proprement parler.

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La bonne vitesse

Même après un échauffement vigoureux et rythmé, vos muscles n’en demeurent pas moins plus froids qu’à l’accoutumée, ce qui peut augmenter le risque de blessure. Commencez donc par une course assez rapide durant 10 à 20 minutes, ou en faisant plusieurs sessions de 5 minutes ou plus et, peu à peu, enchaînez avec des sessions plus courtes mais plus rapides. Gardez vos forces pour la fin, lorsque la température de votre corps sera la plus élevée.

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Pensez à l’effort, pas au rythme

Lorsque les conditions climatiques vous obligent à courir sur les routes verglacées ou enneigées, oubliez le chrono. Car avec le terrain glissant, vos sept couches de vêtements, etc., vous allez nécessairement perdre du temps. Ainsi, si vous envisagiez de courir en fractionné sur 800 mètres à votre meilleure vitesse sur un 5 kilomètres, courez plutôt les 5 kilomètres en produisant le meilleur effort possible compte tenu des circonstances. Et ne vous focalisez pas sur la distance exacte ; à plus ou moins 10 % ça sera l’affaire.

Récupérez activement

Alterner des périodes de course et de repos complet durant l’entraînement engendre de fortes fluctuations dans la courbe de chaleur corporelle. Essayez de conserver au maximum cette chaleur en les alternant de façon plus progressive, c’est-à-dire course lente, marche modérée, puis marche rapide, par exemple.

Travaillez en montée

Continuer de s’entraîner en hiver exige un peu de flexibilité. Selon la météo, n’hésitez pas à reporter un footing. Et si l’épisode neigeux dure trop longtemps et vous empêche de vous exercer au même rythme que d’habitude, adaptez-vous ! Pour un maximum d’intensité, travaillez en montée : monter et descendre plusieurs fois vous fera gagner en intensité. Pensez en revanche à bien vous tenir droit à chaque foulée.

Kalenji s’empare des Templiers !

La marque l’annonçait hier soir sur son site, Kalenji vient de signer un contrat de partenariat pour quatre ans avec la course du Festival des Templiers. Ce partenariat vient appuyer une volonté de la marque française de se développer dans le milieu du trail.

Un développement logique

Kalenji est en pleine expansion dans le trail. La volonté de la marque de Décathlon d’intégrer Thierry Breuil directement aux équipes de développement de produits le prouve. Après avoir trusté l’entrée de gamme du marché avec des produits qui sont loin d’être anecdotiques et qui confirment leur potentiel sur les sentiers, voila que Kalenji renforce ses partenariats de course avec le Festival des Templiers.

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Un pari d’ores et déjà gagnant

En choisissant les Templiers, Kalenji s’offre une véritable visibilité puisque l’ensemble des courses de cet événement trail rassemble près de 8500 coureurs en un week-end. De quoi définitivement supprimer l’image de produits pour débutants qui colle à la marque. Ce contrat de 4 ans vient appuyer le partenariat que Kalenji possède déjà avec des courses comme le Trail de l’Aubrac ou la Course des Terrils.

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4 astuces pour gérer le stress d’avant-course

travailler son mental

Maux de ventre, insomnies, envies pressantes, irritabilité, autant de signes qui ne trompent pas. Le stress d’avant-course est en train d’avoir raison de vous et si vous ne le contenez pas, il peut vous faire passer à côté de votre objectif. Voici 4 astuces Runner’s World pour mieux apprendre à le gérer.

Respirez

Inspirez par le nez en comptant jusqu’à 4, bloquez votre respiration en comptant jusqu’à 4, expirez par la bouche en comptant jusqu’à 4, bloquez de nouveau en comptant jusqu’à 4, puis recommencez. Dans la plupart des cas, cet exercice (qu’utilisent fréquemment les soldats sur le terrain) abaisse le rythme cardiaque et distrait votre cerveau des soucis.

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Planifiez

Notez sur un papier toutes vos inquiétudes au sujet d’une course. Les craintes incontrôlables ? Rayez-les. Pour celles que vous pouvez contrôler, élaborez un plan d’action afin de les surmonter. Cela vous permettra d’améliorer votre entraînement et vous rappellera que vous avez tout examiné.

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Ecoutez de la musique

Vos tubes préférés stimulent les pensées positives et vous empêchent de trop cogiter. La musique possède également une grande influence sur les pulsations cardiaques : des mélodies douces les abaissent si elles sont trop élevées tandis que les airs enjoués et rythmés, au contraire, les élèvent. Une playlist bien calibrée pourra vous aider dans la préparation de votre compétition.

Visualisez

Imaginez votre meilleure course : à quoi ressemble l’aire de départ, quelle odeur, quelle sensation ? Quelle conversation vous vient alors à l’esprit ? Quelle émotion au coup de feu du départ ? Ecrivez toutes vos impressions, mémorisez-les et gardez-les à l’esprit pour calmer vos pensées négatives et vous préparer au succès.

Et si vous courriez à travers les plus beaux parcs nationaux des Etats-Unis ?

Guillaume Arthus, un jeune français de 23 ans a réalisé ce que personne n’avait encore réalisé avant lui : une course de 47 jours à travers les plus grands parcs nationaux américains, muni de sa seule caméra. Passionné de Trail running et cinéaste amateur, Guillaume a souhaité faire partager sa passion de la course hors des sentiers battus. En un mois et demi, il aura traversé près de 16 000 km de territoire, et en aura couru 800. Soit, près d’un semi-marathon par jour.

Des plus beaux instants de son périple, Guillaume Arthus en aura fait un court-métrage de 22 minutes, unique en son genre, accessible sur Youtube. Il l’a intitulé « Journey ».

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Une aire de jeu absolue pour les coureurs

« Le parc où j’ai préféré courir ? Pinnacles, sans aucun doute. La faune et la flore, la forêt, les grottes, la montagne… tout est là » se rappelle Guillaume avec nostalgie.

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Comme beaucoup des grands parcs, Pinnacles n’est pas qu’un circuit de Trail : c’est une aire de jeu fabuleuse pour les coureurs. Les immenses blocs de granit, posés sur leur séant, ont donné naissance à une multitude de cavités ; des marches taillées dans la roche, en haut d’une montagne ; un labyrinthe, plongé dans la semi-pénombre, et que Guillaumeavisité, armédesalampefrontale…avantdedébouchertoutausommet.« J’ai levé la tête, et, juste au dessus de moi, trois condors décrivaient un ballet aérien sous un soleil radieux. En contrebas, les autres sommets disparaissaient encore sous des bancs de brume. C’était un instant magique ».

Sur Mars ou bien au temps des dinosaures

La diversité des paysages au sein des parcs offre aux amoureux de la nature et du Trail d’innombrables raisons d’entreprendre un tel voyage.

Dans le parc de Redwood, certains arbres sont âgés de 2 000 ans. Le plus grand d’entre eux, baptisé Hyperion, mesure 115,5 mètres. Dans cette forêt primaire, les séquoias géants côtoient les fougères dantesques. « Les limaces y sont jaune banane, se souvient Guillaume. On s’attend presque à ce qu’un tigre à dents de sabre surgisse de derrière un souche ! ». Un incroyable retour en arrière, comme au temps du Jurassique.

Les arbres géants du parc de Redwood

A Bryce Canyon, les roches colorées de rouge et d’orange agrémentent un paysage dentelé, craquelé. Une géologie martienne, où les lacets serpentent dans les gorges rouges de canyons au tracé alambiqué, et où les épaules des coureurs frottent, entre deux parois rocheuses. Dans les grands amphithéâtres naturels, les cheminées de fées, ces piliers légendaires, se dressent sous un soleil de plomb, à l’assaut du ciel azuréen.

Et le plus beau souvenir ?

« C’était au sein du parc de Badlands, répondit Guillaume après une hésitation. C’est vrai que les Arches ou le Grand Canyon offrent des paysages à couper le souffle, mais Badlands… c’était quelque chose. Et puis, c’était aussi l’émotion du dernier parc, avant de rentrer à la maison ».

Badlands, un paysage érodé, des prairies luxuriantes qui tranchent avec la noirceur des falaises et du ciel, des chemins précaires au bord de gouffres noirs. Une explosion colorielle et, pour les nantis, un plongeon fantastique au sein des paysages du Mordor, la sombre contrée imaginée par le Seigneur des Anneaux, de Tolkien.

Retrouvez la vidéo complète de « Journey » 

Raphaëlle Gayon Rédactrice web & print freelance

Trois bonnes raisons de faire du fractionné

Réaliser une séance test, une bonne idée pour prendre ses marques !

Le fractionné, également appelé « interval training », est une méthode d’entraînement qui consiste à alterner des phases de course rapide avec des phases plus lentes. Par exemple 30 secondes à allure rapide et 30 secondes à allure lente. Cet enchaînement très codifié est crucial, parait-il, pour progresser. Il permettrait d’améliorer son endurance, sa résistance et de travailler sa technique de course. Si vous doutez encore des bienfaits du fractionné, voici 3 bonnes raisons pour vous convaincre.

1. Vous serez plus en forme plus vite

Après six semaines de travail d’endurance intense en fractionné, les sujets d’une étude pour le Journal of Physiology ont montré une meilleure résistance métabolique et une meilleure performance. Et ce, en réduisant leur dose de sport hebdomadaire de 4 heures 30 à 90 minutes. Pour arriver à ce résultat, ils ont effectué de 4 à 6 répétitions de sessions de 30-30 (30 secondes à fond, 30 secondes lentement), avec 4 minutes de récupération entre chaque session et ce, trois jours par semaine.

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2. Vous paraîtrez plus svelte

Après douze semaines d’entraînements en fractionné, des coureurs en surpoids ont perdu en moyenne 2 kilos, selon une enquête du Journal of Obesity. Et cela inclut une réduction de 17 % de leur bedaine, cette graisse viscérale particulièrement malsaine localisée autour de l’abdomen.

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3. Vous serez moins stressé

Le fractionné aide à chasser le stress autant que la graisse. Des chercheurs de l’Université du Missouri ont même conclu que les courtes séances de forte intensité sont le moyen le plus efficace de faire retomber la tension mentale.

Le « negative split », bonne ou mauvaise stratégie ?

Questions de coureurs du 26 juillet 2014

Bonjour, je viens de faire mon premier marathon. Un temps de 3h10min27sec. Quand je regarde les temps des autres coureurs, tous ou presque ont un temps au semi équivalent à moins de la moitié de leur temps final (sauf les premiers pour qui le temps est quasiment la moitié). Je m’explique, en général, les coureurs qui, par exemple, ont terminé avec un temps de 3h, ont passé le semi avec un temps inférieur à 1h30, ceux qui comme moi ont réalisé un temps d’environ 3h10 ont passé la mi-course entre 1h25 et 1h35, moi, j’ai passé la mi-course à 1h37, ce qui veut dire que j’ai été plus vite sur la seconde moitié de la course, contrairement à plus de 90% des autres coureurs. Qui peut me dire ce que cela signifie ? Ai-je mal géré ? (Christophe)

Bonjour, Christophe. Vous avez fait ce qu’on appelle un negative split. Le negative split consiste à courir la deuxième partie de sa course plus rapidement que la première partie. Bonne ou mauvaise stratégie ? Ce qui compte est que vous ayez une stratégie. Quand vous parlez de gestion, tout dépend de quel était votre but initial et quel était votre feuille de route ? Si vous avez atteint votre objectif, votre gestion a été parfaite.

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Cependant, si votre question est de savoir si vous pouviez faire mieux, là, ça devient plus complexe. En course à pied, il existe quatre grandes stratégies de course. Regardons-les ensemble, à vous ensuite de choisir celle qui vous correspond le mieux.

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Stratégie n°1 : Le negative split

Cette stratégie est donc celle que vous avez appliquée. Elle va s’adresser davantage à des gens jouant énormément sur le mental. En effet, physiologiquement, elle peut ne pas être la meilleure des tactiques pour performer, mais les personnes possédant un fort mental sont capables de se transcender en considérant qu’une fois la moitié de la course passée, ils sont sur une pente descendante et peuvent enclencher la seconde. Pour réussir un bon négative split, quelques règles doivent être respectées. Il faut bien évidemment que votre allure moyenne vous conduise à votre objectif. Il faut découper la course en réalité en 3 parties. Un premier tiers où vous serez sous votre allure moyenne, un second tiers où vous serez à votre allure moyenne, un derniers tiers où vous serez au dessus de votre allure moyenne. Il vous faudra également connaître ces trois allures de telles sortes que la dernière partie ne vous fasse pas exploser en vol. Il ne doit pas avoir trop de différences entre les allures sous peine de passer à côté de votre objectif si les jambes ne répondent plus dans la dernière partie.

Stratégie n°2 : Le positive split

Vous l’aurez compris, il s’agit de la stratégie inverse. Elle concerne, comme vous l’avez précisé, 90 % des gens. En réalité, il ne s’agit pas réellement d’une volonté de la part du coureur, mais d’une régression normale au fil de la course. Les coureurs qui effectuent un positive split, cherchent en réalité à réaliser une course constante, et s’effondrent bien souvent sur la dernière partie. Il faut admettre que le mur est là, serrer les dents, et attendre que çà passe. Cette stratégie est beaucoup moins bonne pour le moral que le negative split, car on voit ses allures diminuer au fil des kilomètres.

Stratégie n°3 : Le métronome

Comme vous l’avez mentionné, cette stratégie concerne les premiers concurrents. De vrais suisses ces kenyans ! Ils sont réglés à la seconde près pour chacun des kilomètres. Il faut une énorme expérience pour réussir à réaliser une course constante du début à la fin. Ce sont des heures d’entraînement qui permettent d’arriver à un tel résultat en étant certain de ne pas exploser ou de ne pas être trop lent. C’est également la meilleure stratégie, semble-t-il, pour battre son record personnel.

Stratégie n°4 : Les sensations

Certains spécialistes préconisent depuis peu, de ne plus se fixer de feuille de route en fonction de l’allure, mais préfèrent courir aux sensations. Ils expliquent alors que la course doit être divisée en plusieurs parties avec une zone d’aisance, une zone d’effort modéré et une zone d’effort intense. Nous n’avons jamais pratiqué ce genre de course et n’avons donc aucun retour d’expérience sur le sujet. Vous pouvez malgré tout lire un article à ce sujet ici.

4 règles à respecter pour courir de nuit

Lorsque l’on court la nuit, la perception de l’environnement est différente ainsi que le toucher du sol. On développe son acuité visuelle, sa vigilance et l’on travaille davantage son équilibre. Certains coureurs prennent même du plaisir à courir la nuit et recherchent des sensations nouvelles en s’entraînant uniquement dans la nuit noire. Ces coureurs apprécient le silence et l’obscurité devient un puissant calmant pour évacuer le stress de la journée. Voici 4 règles Runner’s World France pour courir la nuit.

Commencez tranquille

Il faut du temps pour s’habituer à courir la nuit, dans l’obscurité. Faites donc des sorties courtes. Essayez quelques boucles autour de chez vous avant de vous lancer sur des courses plus longues ou sur des trails de nuit.

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Soyez prévoyant

Portez sans faute des vêtements réfléchissants. A choisir, prenez un téléphone portable plutôt qu’un iPod. Prévenez quelqu’un de votre sortie et de l’endroit où vous allez courir, ainsi que de l’heure à laquelle vous devriez revenir.

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Plus on est nombreux, plus on est en sécurité

Un groupe vous rend plus visible par les véhicules qui approchent et vous préserve d’éventuels dangers. En trail, vos partenaires de course peuvent vous prévenir des changements de terrain.

Adoptez la frontale

Courir avec un frontale est un plus pour vous aider à y voir plus clair dans l’obscurité. Cependant, vous concentrer uniquement sur le cercle de lumière devant vous peut rétrécir votre champ de vision et provoquer des nausées. Les habitués projettent le rayon devant eux et ne regardent la lumière que durant de très brèves période.

Diagonale des Fous 2015 : le retour du Volcan !

Depuis que le départ a été décidé à Saint-Pierre en 2013, la Diagonale des Fous avait vu son parcours privé du Volcan, passage emblématique de la grande course. Les organisateurs avaient à coeur de corriger rapidement le tir afin d’offrir aux coureurs le spectacle qu’ils méritent. Cependant, des problèmes administratifs, logistiques et financiers ont ralenti le projet. Nous l’apprenons  aujourd’hui à travers un communiqué de presse de Robert Chicaud, président de l’association Grand Raid, l’édition 2015 du Grand Raid de la Réunion devrait à nouveau fouler les terres du volcan.

« Nous vous avions informé d’un volonté du Comité Directeur de renouer avec les pentes du Volcan. Pour ce faire, nous nous sommes rapprochés de nos partenaires l’ONF et le Parc National de La Réunion pour nous assurer de la faisabilité de notre projet initié par Denis BOULLE, le Directeur de Course.

Dans un deuxième temps, nous avons sollicité le Conseil Général pour le financement des travaux à entreprendre. Le 29/10/2014 en Commission Permanente, le coût des travaux à exécuter a été voté. C’est dire que nous allons aborder la phase opérationnelle qui nécessairement sera confiée à l’ONF. Ainsi, pour 2015, à partir de Notre Dame De La Paix, un nouveau tracé sera offert aux compétiteurs de la « Diagonale des Fous » :

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  •  Après avoir traversé la forêt communale de Petite Ile, le sentier se dirigerait vers Piton Rond Point pour redescendre vers le sentier des Trois Sources permettant de déboucher sur la Rivière des Remparts (ce sentier permettra de relier la Plaine des Grègues à La Rivière des Remparts)
  • Après avoir remonté la Rivière des Remparts, il conviendra de franchir le sentier du Dimitile afin de rejoindre Grand Coude
  • Après avoir traversé le Village de Grand Coude, l’itinéraire devait passer par le sentier de la Prise ou peut être le sentier Bérénice, après quoi, le GR devrait conduire jusqu’à la Plaine des Sables

A ce jour, rien n’est définitif dans la mesure où le Parc National de La Réunion doit formaliser son accord et dans la mesure où des négociations sont encore prévues avec les communes de Petite Ile, de Saint Joseph et certains propriétaires terriens. Mais sans être excessivement optimiste, l’on peut dire que notre projet est en bonne voix. Tout cela n’a pu se faire qu’avec l’aide et le concours du Parc National de la Réunion, de l’ONF et des communes concernées et l’engagement financier du Conseil Général.

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Bien évidemment, la réhabilitation de ces trois sentiers servira également les intérêts du tourisme.« 

Comment s’entraîner avec un coureur plus rapide ?

Comment passer de la route au trail en toute simplicité ?

Lorsque l’on court en groupe, il est fréquent de devoir courir avec un coureur plus rapide que soi. Cela peut, par ailleurs, être bénéfique pour chacun des coureurs. Voici deux séances pour vous permettre de vous entraîner avec un coureur plus rapide que vous.

1. Chacun son rythme, mais ensemble

Sur des séances de fractionnés, deux coureurs de niveau différent peuvent réaliser une séance ensemble, en courant sur des temps d’effort identiques, mais en parcourant une distance différente, tout en récupérant ensemble. Par exemple : le coureur A possède une VMA de 16 km/h et réalise une séance de 10 x 300 m : 1 min 12 s en récupérant 1 min sur 100 m. Le coureur B possède une VMA de 21 km/h et réalise des 400 m en 1m12 s. Il récupère avec le coureur A sur 1 min en faisant 50 m avec A et 50 m pour revenir au départ du 400 m. A et B, en ayant des niveaux très différents, partagent une partie de la récupération ensemble. Ils peuvent donc se motiver et s’encourager. Le défi pour le coureur A est de ne pas être rattrapé par B avant l’arrivée de ses 300 m alors que, pour B, c’est le contraire : il garde A en point de mire.

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2. Au rythme du meneur

Il s’agit d’une séance, au rythme modéré, qui devrait vous permettre de rester avec votre partenaire de course pendant la séance.

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  • Commencez par un échauffement de 5 à 10 min, en marchant ou en footing facile.
  • Après l’échauffement, les deux coureurs doivent rester ensemble à une allure modérée. L’un après l’autre, un coureur choisit le parcours, les virages (rue, direction…), de manière aléatoire. Si le meneur va plus vite que le suiveur, alors celui-ci doit le rattraper et le doubler avant la fin des 3 minutes.
  • Courez en alternance, l’un après l’autre, jusqu’à ce que chaque coureur ait pris 3 fois la tête de la course.
  • Terminez la séance par 10 minutes de footing facile.
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Entraînez-vous !

Une bonne santé

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