Comment se préparer pour un trail ?

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Le trail demande un effort irrégulier et une adaptation permanente aux conditions de course, sans oublier des qualités physiologiques, musculaires mais également psychologiques. Tout le contraire de la course sur route où la réussite passe, en partie, par le maintien d’une allure régulière et où le parcours réserve assez peu de surprises. En course nature, le travail du dénivelé occupe une place importante. Sans vouloir vous transformer en chamois spécialiste des sommets, voici quelques conseils utiles pour bien appréhender les côtes et vous permettre de surmonter les obstacles.

COMMENT ABORDER LE DÉNIVELÉ ?

Lors de vos sorties en endurance, essayez de rester le plus relâché possible. Évitez les crispations sur tout le haut du corps, mains, bras, épaules, et même les muscles du visage. En vous penchant vers l’avant, vous allez courir à « l’économie », être plus endurant dans l’effort, tout en limitant les tensions parasites. Grâce à cette posture, vous allez améliorer la fréquence de la foulée et augmenter le nombre de cycles sans pour autant allonger le pas. Le but étant de développer une foulée courte à la place de grandes enjambées.

Au fil des kilomètres, vous allez ainsi limiter l’apparition des crampes et des contractures, développer une foulée rapide et adapter une posture relâchée, qui vous aideront à mieux vous adapter aux conditions. Autre difficulté : les brusques changements de terrain, qui demandent une bonne capacité de réaction. Le trail demande beaucoup de concentration. Alors surprenez-vous en changeant régulièrement de direction, de parcours, en intégrant successivement des portions rapides ou des côtes, sans les prévoir à l’avance. Un excellent entraînement pour travailler la concentration et réagir rapidement face aux obstacles imprévus.

LA VO2 MAX

Maintenez une séance de VO2 max hebdomadaire (fractionné ou séances en côte) ou mélangez les deux pour mobiliser le système cardiovasculaire. Là aussi, laissez libre cours à votre imagination, et conservez simplement une récupération suffisamment courte pour maintenir un rythme cardiaque élevé.

TENIR SUR LA LONGUEUR

L’endurance et la résistance sont deux autres qualités importantes. Une capacité à soutenir un effort long et intense va vous aider à passer les moments difficiles. Idéalement, ce type d’entraînement est plutôt à réaliser sur des parcours similaires à ceux de vos courses. Les séances de résistance (seuil) doivent être assez longues (8 à 15 minutes), ou mêmes intégrées à votre sortie longue du week-end.

LA RANDO-COURSE

Prévoyez dès maintenant quelques belles balades sur des sentiers vallonnés. La rando-course autorise des sorties assez longues de plusieurs heures et reproduit assez fidèlement les conditions de course, sans pour autant s’épuiser en s’entraînant plusieurs heures d’affilée. À moins d’être des champions, les traileurs alternent surtout de longues marches actives avec des périodes de course plus courtes, notamment dans les montées. Autant vous y préparer dès maintenant !

LE WEEK-END BLOC

Le week-end bloc a pour objectif de concentrer sur un temps relativement court (deux ou trois jours) un volume d’entraînement important, à intensité faible ou modérée. L’objectif est d’aider les muscles à mieux utiliser l’oxygène et de mobiliser les graisses comme carburant principal de l’effort (important sur les épreuves longues). C’est également l’occasion de travailler les descentes en se lâchant un peu sur la vitesse, pour s’habituer aux contraintes musculaires de la course. Là aussi, n’hésitez pas à marcher, car ce ne sont pas les mêmes muscles qui travaillent et pas de la même façon. Rien n’empêche de prévoir ces week-ends avec un groupe d’amis.

EN COMPLÉMENT

Envisagez des activités comme le vélo ou le ski de fond en hiver – une excellente alternative pour les coureurs sujets aux blessures. Pratiquer ces activités permet aussi d’augmenter le volume d’entraînement. N’oubliez pas les séances de gainage et de renforcement des muscles du dos, incontournables pour résister aux chocs et aux déformations, digérer les séances, optimiser votre préparation, et accessoirement pour limiter le risque de blessure. À prévoir tous les matins (de 10 à 15 minutes suffisent).

6 pièges à éviter en course à pied

Vous suivez votre préparation à la lettre ? Vous respectez les temps de récupération ? Les étirements sont devenus une seconde nature et la diététique fait désormais partie de votre quotidien ? À priori, vous savez éviter les problèmes. Mais le diable se cache toujours dans les détails. Nous allons vous aider à débusquer tous les petits pièges avant qu’ils ne se transforment en gros pépins.

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PRÉSERVEZ VOS PIEDS

Vous portez vos runnings très souvent, a priori plusieurs fois par semaine à l’entraînement. À la longue, elles peuvent provoquer certaines blessures d’usure au niveau des tendons, des articulations ou des ligaments.

À FAIRE Retirez-les le plus souvent possible, ou pensez à défaire vos lacets. Ainsi, certains coureurs ont l’habitude de faire leur retour au calme, pieds nus.

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© Thomas MacDonald

NE QUITTEZ PLUS LA BOUTEILLE (D’EAU)

S’il n’est pas très facile de courir avec une bouteille à la main, essayez tout de même de boire régulièrement durant l’entraînement. Vos muscles et votre corps en général vous diront merci, l’entraînement n’en sera que plus profitable.

À FAIRE Procurez-vous une ceinture légère, porte-bidons (surtout en été). Cela vous évitera de trimballer une bouteille encombrante et vous pourrez y ajouter des boissons isotoniques. Autre solution : cacher des bouteilles sur votre parcours.

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© Thomas MacDonald

NE FORCEZ PAS SUR LES ÉTIREMENTS

Vous pensiez que vous étirer très souvent et avec la plus grande amplitude possible serait forcément une bonne chose pour vos muscles ? Pas vraiment, car tout dépend d’abord de l’intensité. Il ne faut jamais forcer, et il faut toujours éviter la douleur.

À FAIRE Réalisez vos étirements pour qu’ils soient le plus doux possible. Accompagnez chaque mouvement avec votre respiration (en expirant sur l’étirement). En forçant, vous pourriez provoquer des microdéchirures (surtout à froid).

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© Thomas MacDonald

PASSEZ AU RENFORCEMENT

Nous avons tous des déséquilibres musculaires. Seul un travail de renforcement et de gainage peut limiter voire résoudre les problèmes de posture, sources de nombreuses blessures d’usure.

À FAIRE Ne vous limitez pas au bas du corps, le haut compte tout autant. Le gainage abdominal est aussi très important (surtout pour les traileurs), il participe à un meilleur geste technique et soulage les contraintes articulaires.

 

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© Thomas MacDonald

NE VOUS SURESTIMEZ PAS

Courir avec un petit rhume ou une douleur n’est pas sans risques. Votre organisme va devoir travailler sur plusieurs fronts à la fois (la course et la maladie). Vous augmentez mathématiquement les risques de blessure.

À FAIRE Donnez-vous toujours suffisamment de temps de repos pour être certain d’avoir totalement récupéré avant de poursuivre une préparation.

 

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© Thomas MacDonald

LIMITEZ LE PORT DE LA BASKET

Des baskets « de ville » inadaptées ou trop usées peuvent traumatiser le fascia plantaire, tout comme des talons hauts vont contraindre les muscles du mollet et le tendon d’Achille.

À FAIRE Observez l’arrière de vos chaussures. Si elles penchent d’un côté, alors les semelles sont usées. Choisissez des chaussures plus confortables, avec un vrai soutien de la voûte plantaire.

Women’s Vision Test Tour

Courez, Testez, Partagez

Vous pouvez nous rejoindre sur la tournée test Julbo 100% féminine pour tester en conditions réelles nos produits.

Le Women’s vision Test Tour, ce sont 15 dates partout en France, chaque soir, la tournée s’arrête dans une ville et offre la possibilité à 30 participantes, préalablement inscrites, via le formulaire sur notre site, de vivre une expérience running d’une heure avec les conseils avisés d’une coach professionnelle. L’après-séance étant tout aussi important que la sortie en elle-même, ce sera un moment convivial comme on sait le faire chez Julbo.

AU PROGRAMME

– une séance de running encadrée et conviviale

– les tests des dernières lunettes de soleil pour femmes

– des conseils pratiques d’une coach professionnelle en la personne de Nolwenn Faivre.

– le plein de surprises, de cadeaux, de rencontre, d’échange et de plaisir !

Les inscriptions sont gratuites et ouvertes à toutes alors profitez-en !

Nous serons aussi présents sur les réseaux sociaux, avec un groupe fermé sur Facebook reservé aux femmes et l’actu est à suivre avec le hashtag #WomensVision !

Courir seul : les bons conseils

Courir seul, c’est courir quand on veut, sans contrainte, sans dépendre des autres. C’est vrai. Mais c’est aussi le risque de rentrer dans une routine tranquille au fil des semaines, de se laisser porter par la facilité. « Le groupe tire toujours vers le haut », explique ainsi Makis Chamalidis, psychologue du sport, spécialisé en préparation mentale et en team building. Or, quand on court seul, on ne bénéficie pas de cette dynamique de groupe qui pousse à progresser et à se dépasser. D’où l’intérêt de suivre des plans d’entraînement avec des objectifs précis pour encadrer la pratique. Ou de s’aider avec des applications qui permettent de suivre les sorties.

GARDEZ LE CONTACT

Courir en solo, ce n’est pas forcément être isolé. Vous n’avez pas de partenaire d’entraînement, soit. Mais vous avez tout intérêt à garder un contact étroit avec le monde du running en général et des coureurs en particulier. Pourquoi ? Comment ? Là encore, il s’agit de trouver de vrais boosters. En pratique, vous avez de multiples possibilités de garder (voire de créer) le contact. Inscrivez-vous à plusieurs sur une course (même si vous ne vous entraînez pas ensemble), surfez sur le Net et échangez avec les autres (réseaux sociaux, forums), y compris sur vos difficultés ou vos résultats. Ne soyez pas timide ! Vous serez étonné du soutien que vous recevrez de parfaits inconnus, passionnés comme vous.

VARIEZ LES SORTIES

Forcément, quand on court seul, la lassitude peut plus facilement s’installer. Surtout si vous parcourez invariablement la même boucle, à la même vitesse. Vous limiterez ce risque d’ennui en variant autant que possible les séances. Pour dynamiser les sorties et progresser, la bonne idée peut être d’inclure du fractionné. « Sans fractionné, on finit par stagner voire régresser, explique ainsi Jean- Claude Lanthier, entraîneur fédéral demi-fond et courses hors stade (CHS) »… et donc par s’ennuyer.

JOUEZ À FOND LA CARTE SOLO

S’entraîner seul, c’est se concentrer uniquement sur soi. Et c’est plutôt une bonne chose pour coller au plus près à son état de forme (et pas à celui du voisin). Du coup, pour être efficace, jouez à fond sur la modulation de vos sorties: sorties difficiles les jours où vous êtes au top de votre forme, sorties beaucoup plus cool si vous n’avez pas dormi une partie de la nuit…

Comment éviter les crampes ?

Lorsque l’on pratique un sport d’endurance comme la course à pied, il est fréquent de devoir faire face aux crampes. Beaucoup de choses sont dites à leur sujet, mais qu’en est-il réellement ? D’où viennent les crampes et comment peut-on les éviter ?

D’OÙ VIENNENT LES CRAMPES ?

Il faut tout d’abord différencier la crampe – contraction musculaire involontaire sans lésion musculaire – des lésions musculaires (comme la contracture, l’élongation, la déchirure ou le claquage) ou des courbatures (douleurs apparaissant plusieurs heures après l’effort).

La crampe est une contraction soudaine du muscle qui apparait lors d’un effort important mais ne provoque aucune lésion musculaire. Plusieurs hypothèses ont été avancées quant à leur origine. Pour autant, la science n’a, pour le moment, pas encore réussi à valider catégoriquement l’une d’entre-elles.

  • Une carence en électrolytes. On en parle souvent dans les programmes d’hydratation du sportif : une carence en magnésium, potassium, sodium ou calcium pourrait être la cause des crampes. Il a été montré que le calcium et le magnésium pouvaient jouer des rôles importants sur le relâchement musculaire même sur une personne sédentaire. Cependant des études menées sur des sportifs de haut niveau n’ont pas permis de vérifier qu’une carence en électrolytes favorisait réellement l’apparition de crampes.
  • Une mauvaise hydratation. Nous le savons, s’hydrater est essentiel lorsque l’on court. Malgré tout, là aussi aucune étude scientifique n’a révélé qu’une mauvaise hydratation pouvait entrainer l’apparition de crampes.
  • Des jambes lourdes. Bien souvent, lorsque l’on se refuse à s’accorder un moment de récupération avant une course (pour « faire du jus » comme on dit dans le jargon) ou que l’on zappe l’échauffement, on arrive sur une course les jambes encore lourdes. La machine est alors sollicitée brutalement au début de l’effort. Cette période peut être propice à l’apparition de crampes.
  • Une prédisposition. Malheureusement nous ne naissons pas tous égaux. Certains pourront se gaver de Mac Do sans jamais prendre un gramme, d’autres n’auront jamais de crampes de leur vie. C’est comme çà, ce n’est pas juste. Nous avons tous nos forces et nos faiblesses et il nous faudra composer avec. De plus, il a été montré que les personnes ayant déjà contracté des crampes seront plus susceptibles, à conditions identiques, d’en avoir à nouveau lors d’un effort intense.

COMMENT ÉVITER LES CRAMPES ?

La cause exacte n’étant pas identifiée, il est donc difficile d’offrir une formule magique pour éliminer définitivement les crampes. Cependant, quelques conseils pourront peut-être vous aider à retarder leur apparition.

  • Hydratez-vous. Ca ne coute rien et c’est fondamental pour votre métabolisme. N’attendez pas d’avoir soif pour boire, bien souvent, avoir soif indique déjà la présence de problèmes potentiels.
  • Prenez des pastilles d’électrolytes. Même si les études scientifiques n’ont rien révélé à ce sujet, le magnésium joue clairement un rôle dans le relâchement musculaire. Des petites pastilles d’électrolytes existent pour les coureurs. Prenez-en une toutes les heures d’effort.
  • Etirez vous régulièrement. Un muscle étiré régulièrement sera plus disponible et résistera mieux aux contractions musculaires intempestives. De manière générale, un muscle souple est un muscle heureux.
  • Faites du jus et échauffez-vous. Observez une phase de récupération une semaine avant une grosse course et accordez vous au minimum 15 minutes d’échauffement avant une course pour préparer vos muscles en douceur.

5 étirements pour être plus résistant

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Ce type d’étirements consiste à donner une contraction supplémentaire à un muscle alors que celui-ci est déjà en tension, et de la faire suivre par des mouvements rapides et dynamiques. Par comparaison aux étirements passifs, où l’objectif est plutôt de mettre le muscle en tension passive, sans contraction ajoutée (ce sont les étirements généralement les plus connus). Voici comment réaliser au mieux ces étirements activo-dynamiques pour se préparer à un entraînement intense ou à une compétition sur courte distance. Notre expert, Fabrice Roos, kinésithérapeute du sport et traileur, nous livre toutes les ficelles.

POURQUOI FAIRE DES ÉTIREMENTS ACTIVO-DYNAMIQUES ?

Tout simplement car ils vont préparer le muscle et les tendons aux contraintes de tensions qu’ils vont subir lors d’efforts intenses. Ces étirements vont diminuer la viscosité et donc le risque d’accidents musculaires. Un simple étirement passif va réduire l’excitabilité du muscle, ce qui n’est pas indiqué avant un effort.

QUAND LES RÉALISER ?

Pendant l’échauffement, juste avant une séance spécifique sur piste ou de seuil en nature par exemple ; ils peuvent être précédés ou suivis par des éducatifs en athlétisme (talons-fesses, pas chassés, fentes…).

COMMENT FAIRE ?

Amenez le muscle en très légère tension puis ajoutez une contraction active volontaire pendant 6 à 8 secondes ; effectuez le même mouvement pour l’autre jambe puis enchaînez par des mouvements rapides (environ une dizaine). Répétez 2 séquences par muscle.

ADDUCTEURS

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© Philippe Vogel

Le genou droit fléchi, la jambe gauche tendue, décalez le bassin vers la droite jusqu’à une petite mise en tension des adducteurs, puis enfoncez le pied gauche dans le sol. Mouvements rapides : pas chassés latéraux droit et gauche.

 

 

 

 

 

MOLLETS

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© Philippe Vogel

La jambe arrière tendue, la jambe avant légèrement fléchie, les bras poussent vers le haut dans le prolongement du corps. Écrasez les orteils du pied arrière dans le sol (sans bouger le pied). Mouvements rapides : sautillements sur place genoux tendus.

 

 

 

 

 

 

QUADRICEPS

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© Philippe Vogel

Le pied droit dans la main droite, la jambe d’appui légèrement fléchie, décreusez le bas du dos (ventre rentré), reculez le genou droit jusqu’à une petite mise en tension à l’avant de la cuisse. La main opposée pousse vers le haut, puis poussez le pied droit dans votre main pendant 6 à 8 secondes. Mouvements rapides : sautillements sur place en laissant les genoux se plier.

 

 

 

 

 

 

ISCHIO-JAMBIERS

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© Philippe Vogel

Le genou d’appui légèrement fléchi, amenez le buste en avant, sans courber le dos. Les mains poussent vers le haut dans le prolongement du corps. Puis écrasez le talon dans le sol vers l’arrière. Mouvements rapides : talons-fesses.

 

 

 

 

 

 

 

PSOAS

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© Philippe Vogel

Les 2 genoux sont légèrement fléchis, le bassin est rétroversé (réduire le creux lombaire) ; les mains poussent vers le haut. Puis tendez le genou droit jusqu’à une petite tension à l’aine ; poussez le pied droit dans le sol vers l’avant (sans le déplacer). Mouvements rapides : montées de genoux.

Under Armour Speedform Gemini 3 : le test

Under Armour SpeedForm Gemini 3 modèle homme

UNDER ARMOUR SPEEDFORM GEMINI 3, UNE SUPER-PUISSANCE, 130 €

Entièrement repensée pour 2017, la Gemini est dotée d’un mesh technique sur la première moitié de l’empeigne. Combiné à un mesh tissé de façon plus dense au niveau du médio-pied et à un renforcement à l’arrière de la chaussure, il maintient le talon et le médio-pied sur la mousse haut de gamme d’Under Armour. Cette chaussure joue dans la cour des grands en offrant une foulée plus agréable que la plupart des modèles au profil similaire.

Poids homme : 280,6 g
Poids femme : 232,5 g
Drop homme : 11,1 mm
Drop femme : 8,7 mm

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Reebok Osr Harmony Road : le test

Reebok Osr Harmony Road modèle homme

REEBOK OSR HARMONY ROAD, LA SURPRISE DU CHEF, 119,95 €

Reebok (oui, Reebok!) est de retour avec une chaussure remarquable qui a agréablement surpris nos testeurs. (En réalité, il y avait 2 nouveaux modèles. La seconde, la Sweet Road, qui est dotée d’une plate-forme similaire, est une chaussure plus légère et plus ferme ; elle est donc plus adaptée pour la vitesse.) L’Harmony Road est une chaussure polyvalente: un modèle confortable pour les entraînements quotidiens qui offre un atterrissage en douceur et une transition talon-orteils fluide. Son ingrédient secret est un matériau amortissant très réactif, conçu en collaboration avec la société BASF et placé sous le talon. Vu du dessous, on dirait des pâtes ditalini – un méli-mélo de petits tubes jaunes comprimés. Ce mélange se compresse grâce à l’espace supplémentaire.

Poids homme : 303,3 g
Poids femme : 252,3 g
Drop homme : 13,2 mm
Drop femme : 11,1 mm

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Adidas Supernova : le test

Adidas Supernova modèle femme

ADIDAS SUPERNOVA, LA MEILLEURE ÉVOLUTION RUNNER’S WORLD, 140 €

Adidas a introduit la semelle intermédiaire en mousse Boost dans son modèle Energy Boost en 2012. Chez RW, nous avions beaucoup aimé la Supernova Glide également dotée de cette technologie – nous avions attribué le prix «Choix de la rédaction» aux versions 6 et 7. Cette nouvelle édition est en fait la neuvième, mais Adidas a retiré «Glide» du nom. L’équipementier a revu l’ensemble de la chaussure pour la rendre plus souple et s’adresser ainsi à un plus grand nombre de coureurs. Pour augmenter l’amorti, il a ajouté encore plus de Boost au niveau du talon, ce qui procure une importante sensation de rebond. Les tests réalisés dans notre labo ont montré que l’amorti au niveau du talon et de l’avant pied était beaucoup plus souple. Une plaque de mousse en EVA plus ferme assure la stabilité du pied sur la semelle intermédiaire.

L’AVIS DU TESTEUR

« J’étais fan de la Supernova Glide 6 quand elle est sortie. Les versions suivantes ont été améliorées. Aujourd’hui, toutes les marques intègrent des mousses de nouvelle génération sous le pied, mais la technologie Boost d’Adidas reste la plus dynamique. »

Poids homme : 306,2 g
Poids femme : 260,8 g
Drop homme : 10,6 mm
Drop femme : 11,2 mm

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Nike Air zoom Vomero 12 : le test

Nike Air Zoom Vomero 12 modèle femme

NIKE AIR ZOOM VOMERO 12, INCROYABLEMENT FLUIDE, 150 €

Le confort est de mise sur cette nouvelle version de la Vomero. Le système Flywire a été légèrement modifié sur le médio-pied: des petites sangles accrochées aux lacets au niveau des passants sont intégrées dans le mesh, de chaque côté du pied, pour une meilleure répartition de la pression. La semelle extérieure en caoutchouc de la version précédente a été remplacée par une semelle en mousse durable, procurant ainsi une transition incroyablement fluide et toute en douceur.

Poids Homme : 294,8 g
Poids femme : 246,6 g
Drop homme : 8,4 mm
Drop femme : 8 mm

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