Êtes-vous trop compétitif ?

Il peut être difficile de battre les accros au running, mais être passif n’est pas idéal non plus. Si la compétition motive, vous devez tout de même vous concentrer sur votre performance et non celle des autres. Essayez de savoir si votre esprit de compétition est mesuré ou s’il est incontrôlable et a besoin d’être canalisé.

VOUS EFFECTUEZ LA PRÉPARATION D’UN AUTRE, À VOS FRAIS

LA SOLUTION : Être à l’écoute de votre corps est plus efficace que d’essayer d’égaler un adversaire. Augmentez la distance de 5 à 10 % toutes les semaines, prenez en compte la fatigue, les douleurs ou les troubles du sommeil. Ignorer ces problèmes pourrait vous mettre hors course pendant des semaines.

Advertisement

VOUS NE FAITES QUE MANGER, DORMIR, COURIR ET COGITER

LA SOLUTION : Une compétitivité intense peut être contre-productive et ôter tout plaisir au running. Répertoriez tout ce que vous aimez dans la discipline ainsi que vos autres engagements. Prenez du temps pour chacun d’eux. Vous ne perdrez pas de vue la course, et en cas de contre-performance, ce ne sera pas la fin du monde.

Advertisement

VOUS ÊTES MEILLEUR EN ENTRAÎNEMENT QU’EN COMPÉTITION

LA SOLUTION : Ceci suggère que vous pourriez douter de vous sous les feux des projecteurs le jour J. Pour booster votre assurance, souvenez-vous de vos exploits passés. Demandez à un partenaire de vous les raconter : les entendre d’un point de vue extérieur est beaucoup plus persuasif.

VOTRE ROUTINE DE COURSE EST TROP… ROUTINIÈRE

LA SOLUTION : Pimentez les choses en ajoutant une séance de vitesse ou en changeant de parcours pour votre prochaine séance. Sortir de votre zone de confort aide à gagner en vitesse et en énergie et développe la motivation et l’assurance. Vous retrouverez alors plaisir à courir.

VOUS ABANDONNEZ VOTRE PLAN DE COURSE POUR VOUS CONFRONTER AUX ADVERSAIRES ALENTOUR

LA SOLUTION : Vous concentrer sur le peloton n’améliorera pas vos performances. À l’inverse, cela a de grandes chances de compromettre votre objectif. Courez votre meilleure course possible et choisissez un mantra tel que « pars doucement, termine en force ».  Visez les accélérations régulières et ne vous préoccupez pas des autres.

VOUS ÉVITEZ LES DÉFIS TELS QUE LES COMPÉTITIONS

LA SOLUTION : Certains coureurs fuient les compétitions par crainte de l’échec. Dédramatisez en établissant un objectif abordable (notamment finir un semi-marathon) et en vous concentrant sur vos efforts. Vous gagnerez assez d’assurance pour établir de plus grandes aspirations. L’échec est une partie importante du processus d’apprentissage, qui vous aide à maîtriser les courses à venir.

La méditation des coureurs

Jim Rogers, conférencier britannique à l’université de Lincoln, enseigne la méditation consciente. Il explique qu’il existe un parallèle entre la course à pied et la méditation. « Dans les deux cas, vous passez naturellement de votre esprit à votre corps », explique-t-il. Voici quelques-uns de ses conseils.

« Le but de la méditation est simple : tenter de rester dans le moment présent sans être déconcentré par des événements passés ou à venir tels que “Je ne terminerai jamais ce marathon”, ou “Comment revenir de cette blessure ?” »

Une technique essentielle pour rester dans le présent est de maîtriser votre respiration. « Se centrer sur la respiration est l’un des moyens les plus faciles de recentrer un esprit qui s’évade », affirme Jim Rogers, également spécialiste de l’ultra-distance. « Il ne s’agit pas d’évaluer, mais simplement de remarquer. Certains comptent leurs respirations ou visualisent un endroit particulier, notamment l’entrée d’air dans la bouche. »

Advertisement

Profitez du silence. « Je ne suis pas contre la course en musique qui peut dynamiser un long parcours. Cependant, tentez de courir sans musique pour vous recentrer sur vous-même ».

Advertisement

Il enseigne également la technique du scan corporel : « Scrutez chaque zone du corps l’une après l’autre. Ne faites qu’observer, sans tenter de changer quoi que ce soit ». En méditation statique, ce processus est très long et ciblé, mais on peut également l’appliquer en courant.

Essayez à la maison, et entraînez-vous à la méditation avant de l’appliquer à la course. En position assise, concentrez-vous sur la respiration. « Si votre attention s’égare 1 million de fois, recentrez-la 1 million de fois. »

Recentrez votre running

FIXEZ VOTRE OBJECTIF

Définissez et écrivez votre objectif de fin de préparation, par exemple terminer une course en un temps donné ou ne pas marcher en milieu d’épreuve.

ÉVALUEZ-VOUS

Faites-vous des erreurs que vous souhaitez corriger, notamment partir trop vite ou perdre votre concentration ? Définissez des objectifs intermédiaires. Il s’agit d’efforts spécifiques mesurables que vous faites toutes les semaines pour vous aider à atteindre la performance ultime. Par exemple : faire 1 séance de vitesse par semaine, courir au moins 4 jours dans la semaine.

Advertisement

USEZ DES TECHNIQUES DE CONCENTRATION

Essayez les mots et gestes apaisants. Ils boostent votre confiance et vous recentrent sur votre objectif quand vous êtes envahi de pensées négatives, ressentez la fatigue ou perdez le rythme. Répétez des mantras tels que « fort » ou « tout se joue maintenant », concentrez-vous sur la respiration corporelle, le bruit de vos pas, imaginez-vous dépasser d’autres coureurs et encouragez-vous.

Advertisement

SYNCHRONISEZ

La préparation mentale est aussi importante que la préparation physique. Répertoriez toutes les techniques utilisées et les chronos réalisés lors de vos entraînements. Vous commencerez à voir quelles approches sont les plus efficaces pour vous.

PRENEZ L’HABITUDE

La répétition et la régularité sont essentielles pour renforcer les capacités mentales. Si les pensées négatives gagnent du terrain, sortez votre technique de concentration. Si vos points faibles finissent par reprendre le dessus, accélérez 400 à 3 000 m avant l’arrivée à chaque séance et notez ce qui a permis d’améliorer votre performance.

VISUALISEZ VOTRE PLAN DE COURSE

À la fin de votre préparation, prenez 5 min tous les jours pour vous imaginer sur le parcours, visualiser vos foulées, un bon ravitaillement, vos techniques de concentration et la réalisation de votre objectif.

RESPECTEZ VOTRE ROUTINE

La veille de l’épreuve, préparez le même dîner qu’avant chaque sortie longue, gardez votre équipement habituel. Cette sensation de maîtrise apaise et renforce l’assurance.

Écoutez votre esprit

Ni smartphone, ni enfants, ni patron : courir représente l’escapade ultime. Mais quand vous foulez la route, vous n’avez pas forcément l’esprit tranquille. Courir offre la liberté d’accéder à votre for intérieur, souvent étouffé par un monde extérieur en pleine effervescence. Chaque modèle de pensée a des avantages et des inconvénients – sachez faire la part des choses afin d’optimiser votre course.

ORGANISEZ-VOUS

Prévoir une séance de running avant la journée de travail procurera un sentiment de réussite. Mais ne la laissez pas devenir une source de stress. Les coureurs méthodiques doivent s’accorder jusqu’à 15 min pour passer en revue les corvées qui s’accumulent, puis les laisser de côté. Ne cogitez pas trop quand la course devrait vous procurer une grande décontraction. Utilisez la musique pour vous faire oublier la liste des tâches à accomplir ou jouez à un jeu : par exemple, comptez le nombre de coureurs habillés en rouge.

Advertisement

ANALYSEZ

Les muscles ne sont pas les seuls à être noués ou fatigués. Votre esprit peut l’être aussi, et courir est un excellent moyen de l’apaiser. Des experts affirment en effet que la course provoque un relâchement d’une partie du cerveau. Elle libère des endorphines connues comme étant les hormones du bien-être, et le résultat peut engendrer dans l’esprit des sortes d’« épiphanies ». Éviter délibérément de penser aux problèmes permet au subconscient de les filtrer. Apprenez à occulter le train-train quotidien en ignorant les distractions du parcours qui pourraient vous détourner de votre objectif.

Advertisement

RÉFLÉCHISSEZ

De nombreux sportifs ont des difficultés à s’abandonner et passent leur séance à cogiter sur la pression du travail, ou à ressasser des conversations passées. Vous pouvez ressentir de l’anxiété ou de la colère en courant, mais bannissez ces sentiments s’ils menacent de vous nuire.

Compartimentez votre vie, dites-vous « je vais mettre ça dans un tiroir et ne plus y penser. » Après tout, ruminer sans fin va non seulement ôter tout plaisir de votre séance, mais ces ondes négatives risquent aussi de compromettre vos performances.

VAGABONDEZ

Si vous ne ressentez aucune anxiété particulière en partant courir, votre esprit va naturellement errer d’une pensée à l’autre. Le laisser vagabonder où il veut est une incroyable source de détente – c’est la raison pour laquelle bon nombre d’entre nous courent. S’il s’agit de votre unique moment de détente, rêvasser rajeunira votre esprit. Mais soyez prudent : si vous tentez d’améliorer vos compétences, pensez occasionnellement à vos performances, vos rythmes, foulées, postures etc.

Adoptez des stratégies malignes

Fixez-vous un objectif de temps réaliste

Avoir une idée du temps qu’il vous faudra entre le départ et la ligne d’arrivée vous aidera à définir votre allure de course et votre stratégie. Si vous avez couru une plus petite distance au cours des quatre derniers mois, vous pouvez entrer le temps que vous avez établi dans un outil de prédiction d’allure, comme ceux de Runner’s World. Plus votre distance est proche de votre objectif de course, plus l’estimation sera précise. Si vous n’avez pas couru depuis longtemps, regardez votre allure moyenne sur vos dernières sorties longues.

Testez vos gels/barres et boissons

Il est important de tester votre ravito pendant l’entraînement, lors de quelques sorties longues. Levez-vous à l’heure à laquelle vous devrez vous lever le jour J (en prenant en compte le décalage horaire si vous voyagez), Enfilez la tenue et les chaussures de running que vous prendrez le jour de la course et avalez le même petit-déjeuner que grand le jour. Notez ce qui fonctionne.

Advertisement

Planifiez votre matin

Si vous prenez le départ d’un marathon pour la première fois, vous aurez besoin de connaître le programme de votre matinée dans les moindres détails. Faites un programme de ce que vous ferez entre le moment où vous vous levez (et à quelle heure vous devez aller vous coucher la veille pour être reposé) et le départ, y compris les repas, le trajet jusqu’à la course, la queue pour aller aux toilettes et trouver la zone de départ.

Advertisement

Oubliez vos échecs et repartez du bon pied !

Départ trop lent

Ce que vous devriez faire : Revoyez votre échauffement. Faites 3- 8×100 m d’éducatifs, comme des montées de genou.

Jambes lourdes

Ce que vous devriez faire : Diminuez la distance de 30 % la semaine précédant
un 5 km; de 50 % une semaine et demi avant un semi; de 30 % deux semaines avant un marathon et de 70 % la semaine précédant un marathon.

Advertisement

Pressé avant la course

Ce que vous devriez faire : Faites une check-list avec les affaires à prendre, le ravitaillement et ce que vous avez à faire. Commencez à préparer vos affaires la veille et partez en avance.

Advertisement

Stressé ou en panique

Ce que vous devriez faire : Pratiquez la visualisation jusqu’à votre prochaine course et faites en sorte de vous familiariser avec le parcours avant la course.

Nos conseils avisés pour réussir votre course

N’ayez pas peur de faire des erreurs

Si vous y allez trop fort lors d’une sortie, c’est un bon entraînement pour vous réajuster.

Simulez des conditions de course

Vous voulez courir vite sur la route ? Faites du fractionné sur la route.

Advertisement

Connaissez le but de l’entraînement

Donnez tout sur les sorties intensives et allez-y tranquillement sur les sorties de récupération.

Advertisement

Examinez le parcours

Créez-vous des points de repères.

Laissez la vous dicter votre rythme

Il est normal de courir en 4:30/km lorsque vous montez une côte et en 4:15/km lorsque vous en descendez une. Ne cherchez pas absolument à courir toute la course en 4:20/km.

Courez le kilomètre présent

Évitez de penser à ce qu’il reste à courir en début de course. Essayez ensuite d’oublier tout ce que vous avez couru pour ne pas penser à la fatigue.

Travaillez tous les détails

Lorsque votre saison se termine, il est important d’analyser vos réussites et vos échecs pour pouvoir progresser l’année d’après. Si vous avez été performant sur une course, vous voudrez savoir comment renouveler l’expérience. Découvrez ce qui s’est bien passé – ou mal passé – en réalisant les examens « post mortem » suivants… dès que vous aurez retrouvé votre souffle.

Collectionnez les réussites

Notez tout ce que vous avez fait la semaine précédant la course et la semaine de la course, y compris ce que vous avez mangé et bu et l’heure à laquelle vous l’avez fait, vos habitudes de sommeil et les tenues avec lesquelles vous avez couru. N’oubliez pas de préciser le temps qu’il faisait et si vous avez eu des douleurs. Ne négligez aucun détail. Mettez les stratégies qui ont eu de bons résultats à part : elles font désormais partie de votre formule du succès.

Advertisement

Améliorez le reste

Identifiez ensuite les choses sur lesquelles vous n’aviez aucun contrôle, comme cet énorme orage. Ce qu’il reste, ce sont les facteurs que vous pouvez améliorer. Priorisez ces facteurs lors de votre prochain cycle d’entraînement – concentrez-vous sur un ou deux facteurs à la fois pour ne pas vous laisser dépasser.

Advertisement

Analysez votre tête

Étiez-vous distrait ou motivé ? Avez-vous pris du plaisir ? Notez l’état d’esprit dans lequel vous étiez le jour de la course et vos variations d’humeur. Il arrive qu’aux deux tiers de la course, vous vous demandiez ce que vous faites là. Puis la motivation revient dans le dernier tiers. Identifiez les différentes humeurs que vous traversez peut vous aider à trouver des stratégies pour vous adapter.

Choisissez votre mantra

Pour surmonter les moments de stress, vous pouvez utiliser des mantras comme « reste cool et détendu ».

Étudiez vos temps de passage

L’analyse de vos temps de passage vous aidera à évaluer votre stratégie. Si votre allure était régulière ou si vous avez légèrement accéléré dans la deuxième partie de la course (negative split), l’allure est l’un de vos points forts. Si vous avez beaucoup accéléré dans la deuxième partie de la course, fixez-vous un objectif plus ambitieux. Si vos temps de passage montrent que vous avez ralenti au milieu de la course ou un peu après, vous êtes probablement parti trop vite ou votre allure n’a pas été régulière. La prochaine fois, courez près d’un meneur d’allure dont le temps d’arrivée annoncé est 10 min plus long que votre objectif. Restez dans ce groupe d’allure pendant le premier tiers de la course, puis accélérez.

Évitez les coups durs

Surhydratation

L’hyponatrémie – le taux de sodium dans le sang est anormalement faible en raison d’une surhydratation – est assez rare, mais elle est dangereuse pour la santé, car elle peut provoquer un œdème cérébral. Voici quelques conseils pour étancher votre soif en toute sécurité.

Ne buvez pas trop  : Hydratez-vous pour étancher votre soif et ne buvez que des boissons de sport avec des électrolytes.

Advertisement

Prenez du sodium : Pendant la course, votre organisme redirigera le sang vers vos jambes et moins vers vos reins. Le sel sera éliminé dans vos urines et votre organisme ne retiendra que de l’eau sans sodium, augmentant alors le risque d’hyponatrémie.

Advertisement

N’oubliez pas les électrolytes : En cas de chaleur ou d’humidité, emportez des tablettes d’électrolytes ou de sodium, ou prenez des gels riches en sodium.

Le mur

Outre l’alimentation avant et pendant la course (cf. page 90), la préparation et l’allure sont deux éléments essentiels pour éviter l’épuisement des réserves de glycogène.

Concentrez-vous et vérifiez vos temps de passage : Synchronisez votre allure sur votre respiration pour éviter de vous caler sur l’allure des coureurs autour de vous. Et regardez régulièrement votre montre pour maintenir une allure régulière.

Renforcez votre corps : L’une des règles d’or pour renforcer votre corps est d’effectuer une séance par semaine qui représente 20 à 25 pour cent de votre nombre total de kilomètres hebdomadaires.

Devenez plus puissant : Les muscles peuvent cramper lorsqu’ils ne sont pas assez puissants. Vous pouvez prévenir les crampes en faisant des exercices de pliométrie, comme les squats sautés, qui augmentent votre puissance et entraînent vos muscles, vos os et vos tissus à résister à l’impact. Pour exécuter cet exercice, mettez-vous debout et écartez les pieds de la largeur des épaules. Descendez en squat et baissez votre bassin jusqu’à ce que vos cuisses soient parallèles au sol. Vos bras sont le long du corps, un peu en arrière. Sautez très haut en levant les bras. Atterrissez doucement. Commencez par 10 répétitions et augmentez progressivement jusqu’à 20.

La crise d’asthme

Un changement soudain de température ou la présence d’allergènes dans l’air peuvent provoquer des spasmes dans les bronches.

Consultez un allergologue : Un spécialiste peut vous aider à maîtriser les allergènes qui déclenchent les crises d’asthme.

Adaptez votre calendrier : Évitez de courir dans des conditions difficiles, ou revoyez vos objectifs à la baisse pendant les mois où surviennent les pics de pollens si vous souffrez d’allergies.

Protégez-vous : Vous sortez ? Respirez par le nez. Si vous voulez faire un entraînement intense, portez un masque anti-pollution. Il réchauffe l’air avant que celui-ci n’arrive dans vos poumons.

Faites court : Le bronchospasme déclenché par l’effort survient en général au bout de 6 min. Lorsque vous effectuez une séance de fractionné, faites des répétitions inférieures à 6 min.

Provoquez-la : Cela semble discutable, mais certains spécialistes suggèrent de déclencher une crise d’asthme, de récupérer et de courir. Vous êtes immunisé pendant 3 h. Courez intensément pendant 6 min, traitez la crise à l’aide d’un inhalateur puis reprenez votre séance.

Le ventre

Plus de 30 pour cent des coureurs souffrent de crampes, de ballonnements et de la diarrhée du coureur. Voici comment éviter la pause qui s’impose.

Entraînez-vous… à manger : 70 à 80 pour cent des marathoniens qui ne testent pas leur stratégie alimentaire ont des problèmes d’estomac le jour J.

Tenez un journal : Notez ce que vous avez mangé la veille et le matin d’une sortie longue (et l’heure à laquelle vous avez mangé) ainsi que la réaction de votre estomac lors de la sortie. Faites de petits changements. Si vous avez bu deux tasses de café et que vous avez eu mal au ventre, essayez de n’en boire qu’une.

Apprenez les bases : Au cours des 24 h précédent une course, évitez les aliments riches en fibres et les aliments gras. Mangez des glucides issus de céréales complètes et des protéines maigres.

Pensez aux médicaments : Ne prenez jamais de l’aspirine juste avant la course (risque d’altération de la fonction rénale). Vous pouvez en prendre la veille pour soulager vos problèmes intestinaux.

Consultez un médecin : Si vous avez souvent mal au ventre lors de vos sorties de course à pied, consultez un médecin.

Endormez-vous vite

Mettez-vous en condition 

Trouvez un rituel relaxant, comme faire du yoga ou écouter une musique calme.

Hibernez

Éteignez les lumières et baissez le chauffage. Investissez dans des stores et cachez les sources de lumière.

Advertisement

Éteignez tout

Éteignez les écrans une heure avant d’aller au lit – leur lumière empêche la sécrétion de l’hormone du sommeil.

Advertisement

Buvez moins

Une bière ou un verre peuvent aider à s’endormir plus rapidement, mais l’alcool réduit la durée du sommeil profond.

Réduisez la caféine 

Passez au déca (ou au thé vert, qui ne contient que 50 mg de caféine) après 17 h.

Soulagez vos douleurs

Les anti-inflammatoires comme l’ibuprofène empêchent de dormir.

Soyez patient

Si vous souffrez d’insomnies, la course à pied peut diminuer vos symptômes, mais pas tout de suite. Soyez patient.

- Publicité -

Entraînez-vous !

Une bonne santé

- Publicité -
Advertisement

Alimentation

- Publicité -
Advertisement