Le sightjogging, la visite touristique au pas de course

sightjogging

Phénomène de société en plein essor, le sightjogging consiste à courir aux côtés d’un guide touristique pour découvrir une ville mais surtout un patrimoine.

Vous souhaitez courir tout en visitant Paris, Lyon et bientôt Bordeaux ou encore Nantes ? Le voyagiste Endurance Shop Tour saura guider votre foulée pour une balade tonique et touristique entre monuments et espaces verts.

Marathon de Boston : le monde de la course est sous le choc

marathon de boston
marathon de boston

Simple jogger, marathonien ou champion, tous les coureurs se sentent concernés par le drame qui s’est joué lors du marathon de Boston. Beaucoup ont fait part de leur émotion sur les réseaux sociaux.

Haile Gebreselassie, la légende vivante de la course a été l’un des premiers à avoir twitté un message de soutien, «courir rassemble les gens,  mais ce qui s’est produit est terrible. Mes pensées vont à tous ceux de Boston», Paula Radcliff toujours détentrice du record du monde sur marathon a également fait part de son indignation, «il y a vraiment des grands malades qui peuvent faire des trucs pareils ?! ». Kara Goucher, célèbre marathonienne américaine a préféré s’en remettre à la prière, «mon cÅ“ur est brisé mais ma famille et moi sommes sains et saufs. S’il vous plait, priez pour ceux qui ne le sont pas», a t-elle écrit sur son compte twitter. Kilian Jornet s’est lui aussi ému des explosions de Boston, en appelant à continuer à courir, en hommage aux victimes et pour que la course à pied vive malgré tout.

Une solidarité et une compassion exprimée également au plus haut niveau du monde de l’athlétisme, «nous condamnons cette attaque stupide. Ce qui rend cet acte si ignoble et sa planification si incompréhensible, c’est que les marathons du monde entier sont des actes désintéressés de la générosité humaine. Il ne peut y avoir aucune excuse, aucune raison qui puisse justifier ces explosions à Boston», a réagit Lamine Diack, président de la fédération internationale d’athlétisme.

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Depuis lundi, les communautés de coureurs se sont spontanément regroupées sur Twitter ou Facebook, appelant à rendre hommage aux trois morts des explosions et à soutenir les dizaines de blessés, dont certains sont toujours entre la vie et la mort.

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Dimanche prochain, 37 000 coureurs s’élanceront lors du marathon de Londres en direction de Buckingham Palace. Paula Radcliff appelle tous les finishers à mettre la main sur le coeur au moment de franchir la ligne. Par ailleurs, un moment de silence sera respecté au départ de la course, les marathoniens sont également appelés à porter un brassard noir en signe de deuil. Un message de solidarité voulus en hommage aux victimes de Boston.

Explosions mortelles lors du marathon de Boston

Le principal journal de la ville, fait évidemment sa une sur les deux explosions.

Au moins trois personnes sont mortes et plus d’une centaine ont été blessées lundi dans deux importantes explosions qui se sont produites lors de la 117e édition du marathon de Boston, en plein centre de la ville. Deux bombes ont explosé «simultanément», près de la ligne d’arrivée, à environ 50 à 100 mètres de distance.

La police de Boston a confirmé à 21 heures (heure locale) le bilan causé par les deux engins explosifs. Les bombes ont explosé à douze secondes d’intervalle, 4h09 après le départ, au moment où un très grand nombre de concurrents franchissent la ligne d’arrivée.

Par ailleurs, une autre explosion a eu lieu dans la bibliothèque JFK de l’Université d’Harvard sans faire de victime, le lien n’a pas encore été établi entre tous ces événements.

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Cette année le marathon était dédié aux victimes de la tuerie de Newtown, 26.000 coureurs participaient à cette épreuve. Le plus ancien marathon des Etats-Unis fait partie du World Major Marathon, qui regroupe les plus grands marathons internationaux (Tokyo, Londres, Boston, Berlin, Chicago et New-York). 158 français s’étaient inscrits pour participer à la course.

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C’est parti pour le marathon des sables

Jusqu’au 12 avril, ils seront près de 1.000 passionnés à courir ensemble une épreuve unique au monde, dans le sable et le désert. Il leur faudra traverser des oasis, franchir des dunes et  affronter des champs de cailloux sous une chaleur extrême. Une compétition où il n’y a rien à gagner excepté la satisfaction d’avoir participé une fois dans sa vie une course mythique.  Les coureurs âgés de 20 à 76 ans, se sont entraînés durant des mois, voire des années pour parfaire leur condition physique, et s’élanceront pour le défi de leur vie.  Cette course créée en 1986 par Charles Bauer, est l’une des plus exigeante au monde, tant par la difficulté de courir dans le sable que par le poids porté par les concurrents, qui courent en autosuffisance pendant toute la durée de la course, excepté pour le ravitaillement en eau.

Cette compétition permet aux hommes et femmes venus de tous les univers de se dépasser, de vivre une aventure exceptionnelle, et de se perdre dans la magie saharienne. Cette année la légende italienne, Marco Olmo (64 ans, deux victoires à l’UTMB), espère bien faire se faire remarquer.

Bonne course à tous les concurrents !

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Les étapes :
– 1ère étape – dimanche 7 avril : 37,2 km
– 2ème étape – lundi 8 avril : 30,7 km
– 3ème étape – mardi 9 avril : 38 km
– 4ème étape – mercredi 10/ jeudi 11 avril : 75,7 km
– 5ème étape – vendredi 12 avril : 42,2 km
– 6ème étape « UNICEF » – samedi 13 avril : 7,7 km

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Les Français de plus en plus accro à la course

Cette enquête, publiée le 26 mars 2013, et réalisée pour le compte des Caisses d’Epargne, montre clairement l’intérêt des Français pour le running, comme  loisir. Une activité intergénérationnelle qui touche tout le monde, contrairement à d’autres sports, la pyramide des âges montre une répartition très équilibrée entre les différentes tranches d’âges (21,6 % pour les 15-24 ans, 20,7 chez les 25-34, 27,6 pour les 35-49 ans, et 30,2 chez les 50 ans et plus).

Ainsi, «chez les 15 ans et plus, 5,9 millions de personnes pratiquent le running, dont 3,9 millions d’hommes et 2 millions de femmes», selon Virgile Caillet, le directeur de KantarSport. Des chiffres a tempérer toutefois, car parmi ces presque 6 millions de pratiquants, seul 1,5 million participe au moins fois dans l’année à une compétition.

Par ailleurs, les résultats de l’étude indiquent également une montée en puissance du trail, et des courses natures,  «50 % des gens qui font de la compétition nous disent qu’ils aimeraient participer à un trail. D’ailleurs, 19 % des gens interrogés déclarent faire du trail plutôt que de la course à pied», toujours selon le directeur de KantarSport.

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Ainsi, près de 56 % de Français, soit 28,5 millions de personnes, pratiquent une activité physique au moins une fois par mois. La bonne nouvelle est que la  course à pied arrive en quatrième position des activités sportives quotidiennes les plus pratiquées en France, après la marche active, la natation, la randonnée et devant le VTT. Une étude qui confirme, si besoin  était l’engouement observé ces dernières années pour la course.

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L’étude, divisée en plusieurs parties, a été menée sur différents panels représentatifs de la population française et des pratiquants de running, par internet entre fin janvier et mi-mars.

Plan d’entrainement pour courir une heure…

Ce programme s’adresse à ceux qui partent de zéro en terme de course à pied ainsi qu’aux moins néophites qui savent déjà courir 30 minutes sans s’arrêter. Allez, le running, c’est pour cette année !

P.-S. :Pour le plan d’entraînement réservé aux coureurs qui savent déja courir 30 minutes, Allure 1 correspond à : une allure de course sans essouflement, aisance respiratoire totale. Vous devez être capable de soutenir une conversation. Allure 2 correspond à environ 1km/h plus vite que votre allure 1, à cette intensité vous devez ressentir un essouflement, assez léger pour que vous puissiez parler et ne pas être en détresse respiratoire.

Quand on part de zéro

Casser les règles

Pourquoi l'aérobie nous fait tant de bien?

La plupart des coureurs affirment que…
Les footings tranquilles sont encore la meilleure façon de récupérer des séances d’intensité.

Mais d’autres pensent différemment…
Quelle est la règle ? Une étude, menée sur des coureurs durant la semaine qui suivait un marathon, a démontré que ces séances en footing très léger ralentissaient le processus de récupération. Après un marathon, ou une séance de qualité particulièrement difficile, le mieux est encore de se reposer ou de changer de sport.

La plupart des coureurs affirment que…
Les sorties au seuil, ou un travail qui habitue le corps à fonctionner avec un certain seuil de lactates, sont essentielles pour améliorer le seuil de tolérance à l’accumulation de ces lactates dans le sang.

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Mais d’autres pensent différemment…
Les lactates et l’acide lactique ont été jugés inoffensifs et peuvent même vous aider dans votre course. Ce ne sont pas des déchets et ils ne causent pas de douleurs ou de fatigue.

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La plupart des coureurs affirment que…
Les exercices de plyométrie, comme les pas chassés, les talons-fesses ou les sauts, sont un moyen de devenir plus fort et plus rapide.

Mais d’autres pensent différemment…
Ces exercices peuvent tout aussi bien amener à vous blesser, surtout si vous n’êtes pas déjà entraîné ou que vous les réalisez mal. Le seul bénéfice significatif est l’amélioration de la foulée ou de l’économie de course. Mais, pour la plupart des coureurs, les risques ne valent pas le temps consacré.

La plupart des coureurs affirment que…
Un bain glacé augmenterait le processus de récupération.

Mais d’autres pensent différemment…
Arrêtez ce type de pratique ! Une étude australienne, réalisée en 2007, a démontré que ces coureurs n’allaient pas mieux après avoir pris un bain de glace, plutôt qu’un bain normal dans de l’eau tiède !

La plupart des coureurs affirment que…
La façon dont vous courez dépend principalement de la façon dont vous êtes capable d’utiliser l’oxygène.

Mais d’autres pensent différemment…
Les principaux éléments influant sur votre course sont les muscles sollicités durant la course et non votre capacité respiratoire. Il y a sans doute une plus grande corrélation entre votre temps au sprint et sur marathon, qu’entre des résultats en aviron et sur marathon !

S’entraîner pour un marathon : les bons exercices

S’entraîner pour un marathon nécessite un travail varié ; puissance, vitesse, endurance et mental, tout doit être perfectionné.

S’entraîner pour un marathon avec le fartlek

Avec le fartlek, comme pour toutes les séances intenses, commencez avec 10 à 15 minutes de footing pour vous échauffer, puis attaquez la séance. Alternez des moments de course rapide avec des périodes de récupération. À quelle vitesse devez vous courir ? Selon Fernand Kolbeck : « Aussi vite que vous le souhaitez ! Essayez de vous amuser en courant, c’est une séance ludique en nature. Elle doit vous permettre de travailler votre vitesse. Faites 3 minutes vite et 2 minutes de récup, par exemple, à refaire 5 ou 6 fois, en essayant d’aller plus vite. »

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S’entraîner pour un marathon grâce aux lignes droites

Ce sont des lignes de 100 mètres environ. À faire une fois échauffé. Courez à 90 % environ de votre vitesse maximale

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S’entraîner pour un marathon grâce avec le travail au seuil

Un travail au seuil, à un rythme juste au-dessus de votre production de lactate, c’està-dire au moment où vos muscles produisent de l’acide lactique plus vite que votre corps ne peut l’évacuer. Le but est de reculer cette limite le plus possible. À terme, vous courez plus vite en dépensant moins d’énergie. Fernand Kolbeck utilise l’expression « relâché et lucide ». Cela signifie un rythme suffisamment intense, mais que vous pouvez tenir pendant un certain temps, 40 minutes par exemple. N’oubliez pas les 10 minutes d’échauffement, avant, et les 10 minutes de retour au calme, ap

S’entraîner pour un marathon avec du fractionné

Ce sont des séances de vitesse à faire sur une piste d’athlétisme, généralement une fois par semaine. Fernand Kolbeck préconise de courir à une allure un peu plus élevée que votre allure de compétition sur 5 km. Mais, si vous ne connaissez pas votre allure, la meilleure approximation est encore de courir à une vitesse de 7 à 8 sur une échelle graduée de 1 à 10.

Coup de bluff !

Autant dire qu’ils permettent à toutes celles et ceux qui ne veulent plus consommer de viande, de conserver l’illusion d’une alimentation conventionnelle. « J’ai arrêté la viande il y a 6 mois, clame Isabelle, une coureuse de 36 ans. Pas du tout pour des raisons de santé ou autre ! Mais l’idée des animaux qu’on emmène à l’abattoir m’est devenue insupportable après avoir vu un reportage à la télé. Je ne m’en suis pas rendu compte de suite, mais, le lendemain, je n’ai pas pu avaler mon steak à la cantine. Un truc me bloquait. Il faut dire, que je ne mangeais déjà pas beaucoup de viande et que je n’aime pas les viandes grasses comme l’agneau ou le porc. Mais le bœuf, si. J’avoue que les menus au départ ont été un vrai casse-tête. Je me suis rabattue sur le poisson et les œufs, mais j’en ai vite fait le tour. Puis j’ai essayé les steaks de soja. Une révélation ! Ça n’a pas le goût de la viande certes, mais cela satisfait complètement mes envies… et mes besoins. »

Les steaks de soja, puisque, vous l’aurez compris, c’est de cela qu’il s’agit, connaissent une jolie progression en termes de ventes. Pas un supermarché qui ne propose aujourd’hui des alternatives à la viande sous cette forme. Outre-Atlantique, où ils ont toujours quelques années d’avance sur nous, l’offre est même pléthorique. Du steak haché à la bolognaise, en passant par les saucisses ou même la charcuterie, vous pouvez trouver à peu près tous les produits carnés connus… sans viande. Des produits qui ne sont pas toujours intéressants d’un point de vue nutritionnel, d’ailleurs. Souvent très gras ou très salés, ces substituts relèvent plus des créations marketing que des produits diététiquement corrects.

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Trompe-l’œil

Et le steak de soja ? Est-il une bonne alternative sur le plan nutritionnel ? La première chose à rappeler c’est que, même si un steak de soja peut donner l’illusion de manger un steak de bœuf, ce sont deux produits radicalement différents sur le plan de la composition et de leurs apports nutritionnels. Le principal intérêt de la viande est son apport en protéines. Des protéines indispensables pour préserver la masse musculaire. C’est ce qui en fait un aliment de choix pour tous les sportifs. Mais la viande a d’autres atouts. Très riche en fer, bien pourvue en zinc et en vitamine B12, elle participe à l’équilibre nutritionnel global. En revanche, elle peut être riche en graisses et favoriser le cholestérol. Les viandes les plus grasses, comme l’agneau ou le porc (dans l’échine par exemple), affichent plus de 15 g de lipides aux 100 g. De quoi rapidement faire pencher la balance du mauvais côté. D’ailleurs, nombreux sont ceux, parmi les 2 % de Français « dits » végétariens (la grande majorité étant des personnes ne consommant pas de viande), qui privilégient une alimentation santé : plus de produits issus de la culture biologique, plus de produits frais, moins de graisses, moins de produits transformés et, évidemment, moins, voire pas d’ajouts chimiques aux noms barbares comme les conservateurs, édulcorants, colorants ou autres émulsifiants.

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Le soja : une vraie mine d’or

Le steak de soja correspond donc complètement à leurs attentes. Car, le soja, qui tient une place importante dans l’alimentation en Extrême-Orient, est un aliment qui présente également bien des atouts. Riche en protéines, en fibres, en minéraux et en vitamines, il est pauvre en calories (49 pour 100 g). Seul hic, le soja peut souvent provenir de cultures génétiquement modifiées, dont on ne connaît pas exactement implications sur la santé à l’heure actuelle. Si vous le pouvez, privilégiez des produits certifiés « sans OGM ». Pour tirer le meilleur profit de votre steak de soja, vérifiez l’étiquette et les teneurs en protéines, en lipides et en glucides. Certains ajouts, notamment si le steak est « cuisiné » ou préparé, peuvent faire vite grimper les apports en graisses et en sel. Et n’oubliez pas que les protéines végétales sont moins bien pourvues en oméga-3, vitamine B12 et fer et qu’elles ne sont pas aussi bien assimilées par l’organisme que les protéines animales. Dans un régime sans – vraie – viande, elles doivent donc s’inscrire à tous les repas.

Les fraises, le produit de cet été !

© Kang Kim

Bon pour la santé

Ce fruit tire sa couleur rouge vif des composés antioxydants appelés anthocyanines, qui se trouvent dans d’autres fruits rouges et/ou bleus. Ces substances ont pour particularité d’aider à réduire l’inflammation et de contrer les dommages musculaires dus à l’exercice. Une tasse de fraises contient seulement 49 calories et près de 150 % de la valeur quotidienne conseillée en vitamine C (plus que l’orange !).

Savoir les choisir

Hautement périssables, les fraises sont meilleures 1 ou 2 jours après l’achat ou la cueillette. Mais attention : la chaleur et l’humidité sont les pires ennemies de ce fruit, très apprécié des Français. Il est donc indispensable de stocker ses fraises dans le réfrigérateur jusqu’à 1 heure avant la dégustation. C’est uniquement à ce moment-là qu’il faut les rincer, puis les sécher. Une fois cueillies, les fraises ne pourront plus mûrir, alors sélectionnez celles qui sont déjà bien rouges et offrent un parfum sucré.

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Rapide et simple

Les fraises au vinaigre balsamique : c’est un grand classique des desserts italiens. L’acidité du vinaigre fait ressortir le goût acidulé et sucré des fraises fraîches. Dans un grand bol, ajoutez 2 gouttes de vinaigre balsamique à 1 bonne cuillère à café de sucre. Mélangez délicatement avec 1/2 l d’eau, puis ajoutez les fraises équeutées dans le mélange. Laissez-les mariner pendant quelques minutes et servez.

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Entraînez-vous !

Une bonne santé

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Alimentation

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