Quel en-cas pour courir ?

Vous êtes du genre à manger n’importe quoi avant une course ? Vous grignotez selon votre faim sans vous préoccuper de la durée ou de l’heure de départ de la sortie ? Mauvaise pioche ! L’en-cas d’avant-course est non seulement important pour que vous vous sentiez bien pendant l’épreuve, mais il peut jouer aussi sur votre performance en cas d’effort prolongé. Vous avez besoin d’un en-cas qui apporte les bons nutriments, qui vous permet d’avoir l’énergie nécessaire et qui satisfait les papilles ? En voici trois qui vous apporteront tout ce qu’il vous faut et qui, et ce n’est pas accessoire, vous raviront le palais. Mangez, et mangez bien. Mais n’oubliez pas non plus de boire ! « Il est important de rester toujours bien hydraté », conseille Florence Pujol, nutritionniste et auteur de Je mange et je suis bien (éditions Puf). « Donc boire en petites portions tout au long de la journée est conseillé. Attention, à l’inverse, il vaut mieux éviter de consommer plus d’un demi-litre d’eau juste avant la course ! Par ailleurs, l’eau ne peut remplacer les en-cas, car elle n’apporte aucun nutriment. »

Entraînement de 60 minutes : Patate douce et parmesan râpé (150 kilocalories)

La patate douce est très intéressante car c’est une bonne source glucidique et, même si elle contient des fibres, elle est digeste. Autre atout, elle est rassasiante. Si vous êtes du genre à avoir toujours faim, la patate douce est une bonne option, car vous vous sentirez plus rempli qu’avec une quantité équivalente de riz, par exemple. Si vous avez les intestins fragiles, ne consommez pas la peau, sinon elle est tout à fait comestible, d’autant qu’elle est mince. Côté nutritionnel, la patate douce est très bien pourvue en vitamine E et C, en magnésium, calcium, fer et potassium. Sa teneur en potassium – un électrolyte qui joue un rôle essentiel dans les contractions musculaires – la rend aussi intéressante que la banane pour les coureurs.

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Préparation

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Saupoudrez une demi-patate douce (choisissez-la petite) cuite au four avec une grosse cuillère à soupe de parmesan fraîchement râpé et d’herbes fraîches finement ciselées (ciboulette, coriandre, persil plat) ou séchées (thym, herbes de Provence, origan).

Pour une sortie de moins d’une heure

Prévoyez plutôt un quart de patate douce et diminué le parmesan de moitié.

Entraînement de 90 minutes : tartines à la confiture et au fromage (280 kilocalories)

Ce sandwich est plutôt nourrissant et assez chargé en glucides. Néanmoins, il se confectionne en 2 minutes et surtout il ne reste jamais sur l’estomac. Facile à digérer, il est surtout bienvenu pour fournir de l’énergie pendant une sortie assez longue. La confiture apporte les sucres dont vous aurez besoin rapidement et permet de restaurer les stocks de glycogène. C’est donc un bon carburant. La rasade de vinaigre balsamique donne beaucoup de goût sans ajouter de graisses inutiles. Au final, un snack rassasiant et suffisamment énergétique pour une sortie d’une heure trente.

Préparer

Choisissez un pain qui se digère bien (évitez le pain complet), ce peut être de la baguette ou des pains ronds – type bagel. Comptez un quart de baguette ou un petit pain rond. Coupez puis tartinez avec une petite cuillère de vinaigre balsamique. Ajoutez la confiture de figue et une tranche assez fine de fromage type comté (on le trouve très facilement prétranché pour les sandwichs et les salades en grande surface) ou cheddar.

Pour une sortie d’une heure

Divisez le pain et le fromage par deux, conservez la même quantité de confiture.

Entraînement de deux heures : œufs brouillés et avocat sur lit de riz complet (240 kilocalories)

Cette recette est idéale dans le cadre d’un brunch précourse. En revanche, si vous avez du mal à digérer les œufs, mieux vaut vous abstenir ou les remplacer pour un peu de jambon dégraissé. Le riz brun possède la même charge glucidique que le riz blanc, mais, contrairement à celui-ci, il procure de l’énergie sur une plus longue période, en se comportant comme un glucide lent. Comme il contient plus de fibres, il est plus rassasiant. Ajoutez à cela les œufs – des protéines – et vous avez un plat qui cale bien la faim… pendant plusieurs heures. L’avocat apporte de bonnes graisses insaturées, ainsi que de la vitamine B6, qui joue un rôle sur le métabolisme en produisant de l’énergie à partir du glycogène musculaire.

Préparer

Arrosez 50 g de riz cuit avec une cuillère à café de vinaigre de cerise. Ajoutez les œufs brouillés (comptez un gros œuf pour une personne) et le huitième d’un avocat bien mûr, finement émincé. Parsemez de fleur de sel et d’un tour de moulin à poivre.

Pour une sortie d’une heure

Divisez le riz par deux et supprimez l’avocat.

Coureurs, limitez votre risque cardiaque

fréquence cardiaque
Courir avec sa fréquence cardiaque.

La fréquence des facteurs de risque cardiaque est presque similaire entre marathoniens et coureurs d’ultra-trail. Dans l’enquête de 2007 sur l’UTMB (Ultra-Trail du Mont-Blanc), 2 % des coureurs sont des fumeurs actifs, 25 % d’anciens fumeurs, 11 % ont du cholestérol en excès, 3 % de l’hypertension, 1 % sont d’authentiques coronariens traités et 9 % ont des antécédents familiaux coronaires. De plus, un tiers d’entre eux n’a jamais fait d’électrocardiogramme, 47 % n’ont pas fait de test d’effort et 80 % n’ont pas fait d’échographie cardiaque… Ce qui laisse à penser que le certificat médical de non contre-indication à la pratique de la course est le plus souvent délivré sur le seul examen clinique et la bonne tête du coureur.

Ces chiffres diffèrent peu de ceux des marathons plus classiques, comme celui du Médoc que nous avons également étudié. Certains facteurs de risque ne peuvent pas changer. C’est le cas de l’âge (plus de 83 % des décès causés par des maladies cardiaques surviennent chez les personnes de 65 ans et plus), du sexe (les hommes sont non seulement plus touchés que les femmes par les maladies cardiaques, mais ces maladies sont aussi souvent plus mortelles chez les hommes) ou de l’hérédité (les maladies du cœur, l’hypertension, un niveau élevé de cholestérol, le diabète et même l’état de forme, tous ces éléments ont des composantes génétiques).

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Le facteur génétique peut ainsi entrer pour 30 à 50 % dans la détermination d’un accident cardiaque. En revanche, le reste peut être mis sous contrôle. Pour ne pas laisser la génétique gérer seule votre état de santé et pour limiter la casse, courir est un moyen efficace. Mais il en existe d’autres.

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Le tabagisme

Les fumeurs ont 2 à 4 fois plus de chance de souffrir de maladies cardiaques que les non-fumeurs. Si vous faites partie des 42 % de Français qui fument, il n’y a pas trente-six solutions : arrêtez !

Un taux élevé de cholestérol dans le sang

Lorsque le taux de cholestérol augmente, les risques de maladies cardiaques aussi. Prenez rendez-vous chez un nutritionniste pour qu’il vous conseille un autre régime alimentaire, plus faible en gras.

L’hypertension

L’hypertension augmente les risques d’attaque cardiaque et de problèmes aux reins. Évitez de trop saler vos plats et de manger des plats préparés car ils contiennent souvent trop de sel.

Une vie sédentaire

Des exercices réguliers diminuent les risques cardiaques en favorisant le contrôle du taux de cholestérol, du diabète et de l’obésité, tout en faisant baisser la pression artérielle. Courir 10 kilomètres par semaine est bien le strict minimum. En passant à plus de 25 kilomètres, vous entrez dans le groupe des personnes les plus en forme du monde. Oui, du monde ! Rien que pour ça, ça vaut le coup, non ?

Le surpoids et l’obésité

L’excès de poids augmente le travail que doit fournir le cœur pour un effort identique, ce qui peut plus facilement mener à des problèmes cardiaques mortels. Là encore, prenez rendez-vous chez un nutritionniste pour faire le point.

Le diabète

Le diabète augmente sérieusement le risque de problèmes cardio-vasculaires. Essayez de conserver un poids constant et raisonnable et évitez les sucres rapides.

Le stress

La manière dont vous réagissez au stress peut augmenter le risque de problèmes cardiaques. Essayez la méditation ou d’autres méthodes alternatives. Hum… La course à pied peut-être ?

L’alcool

Une consommation modérée d’alcool peut vraiment réduire le risque de maladies cardiaques. Trop boire peut, en revanche, faire augmenter la pression sanguine ainsi que le risque de problèmes cardiaques ou rénaux… sans oublier les risques d’obésité et la dépendance (alcoolisme).

Taux de nutriments, respectez-vous vos besoins journaliers ?

Découvrez six « super » aliments antiblessures

Selon une étude européenne publiée dans les Annals of Nutrition and Metabolism, plus de la moitié de la population n’atteint pas les bons taux de nutriments suivants : Vitamine D, Acide folique (Vitamine B9), Calcium, Sélénium, Iode, Vitamine C. Ici, nous vous précisons les apports journaliers recommandés pour chacun de ces nutriments et vous expliquons où vous pouvez les trouver afin de combler vos besoins journaliers.

Apports Journaliers Recommandés (AJR)

Les AJR correspondent aux apports journaliers recommandés en France pour un adulte moyen de sexe féminin. Pour un homme, les besoins journaliers peuvent être plus importants. Voici les AJR pour les nutriments suivants :

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  • Vitamine D : 5 µg
  • Acide Folique (Vitamine B9) : 200 mg
  • Calcium : 800 mg
  • Sélénium : 55 µg
  • Iode : 150 µg
  • Vitamine C : 80 mg

Nutriments, à quoi servent-ils et où les trouver ?

  • Vitamine D : garde les os et les dents solides. On peut les trouver dans les poissons gras, les oeufs, et le lait enrichi.
  • Acide folique (Vitamine B9) : produit des cellules sanguines. On en trouve dans les brocolis, les pois chiches et le riz complet.
  • Calcium : maintient une bonne densité osseuse. On peut le trouver dans les produits laitiers, les épinards et les noisettes.
  • Sélénium : prévient l’altération des cellules. On en trouve dans la viande, le poisson, les noix du Brésil.
  • Iode : favorise le bon fonctionnement des hormones thyroïdiennes. On en trouve dans les fruits de mer.
  • Vitamine C : aide à la cicatrisation des blessures et à la bonne santé des cellules. On peut en trouver dans les kiwis, les oranges et les poivrons rouges.

Quelle est votre relation avec la course à pied ? Faites le test !

Réaliser une séance test, une bonne idée pour prendre ses marques !

Certains (surtout ceux qui ne courent pas !) ont du mal à comprendre que vous puissiez préférer la course à pied à une soirée arrosée entre amis ou à un moment de farniente, alors qu’il n’y a pas d’activité plus saine pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête. Pourtant, quelquefois, il n’y a qu’un pas entre la pratique saine et normale et l’obsession, la pratique excessive. Quel coureur êtes-vous, votre pratique est-elle normale ou frôlez-vous le surentraînement ? Faites notre test pour y voir plus clair.

1 – Ma principale motivation pour courir est :

  • Grâce à la course, je me sens bien. (1 point)
  • Courir me permet de brûler un max de calories. (2 points)
  • J’aime la compétition et la performance. (3 points)
  • J’aime aller au bout de moi et tester mes limites. (4 points)

2 – Quand je cours, qu’est-ce qui se passe dans ma tête ?

  • Rien de particulier, je laisse mon esprit divaguer. (1 point)
  • Je prévois mon plan d’entraînement pour la semaine. (2 points)
  • Je suis concentré sur mon entraînement. (3 points)
  • J’essaie de courir plus vite, plus loin. (4 points)

3 – Si je ne me sens pas en forme

  • Je réduis mon entraînement, mon corps a besoin de repos. (1 point)
  • Je maintiens mon entraînement, pas question de louper un jour. (2 points)
  • Je maintiens mon entraînement, j’ai un plan précis que je préfère suivre. (3 points)
  • Je maintiens mon entraînement, c’est en m’entraînant plus que je resterai en forme. (4 points)

4 – Je n’ai pas fait le temps espéré sur une course

  • Je suis déçu mais j’ai pris plaisir à courir. (1 point)
  • Je m’inscris à une autre course immédiatement. (2 points)
  • Je réfléchis à ce qui aurait pu être amélioré pendant la course. (3 points)
  • Je mets en place un plan d’entraînement plus poussé. (4 points)

5 – Après ma course

  • Je me sens bien. (1 point)
  • Je suis trop fatigué pour penser à quoi que ce soit. (2 points)
  • Je visualise la course pour analyser mon temps. (3 points)
  • J’ai déjà en tête mon prochain entraînement. (4 points)

6 – Un coureur me double pendant un entraînement

  • Je le remarque à peine. (1 point)
  • Je n’aime pas, je me sens moins bon. (2 points)
  • J’essaie de le rattraper. (3 points)
  • Je décide de pousser mon entraînement, avec plus de sprints. (4 points)

Résultats

  • 6 à 9 points : l’équilibre. Vous avez une attitude très saine et très positive. La course, pour vous, ce n’est que du plaisir, certes lié à un effort, mais pour une finalité positive. Votre bien-être est indépendant, non pas de la pratique, mais de vos résultats.
  • 10 à 14 points : la drogue. Vous êtes en état de dépendance. Si tout tourne autour de la course et de vos entraînements, il est temps de faire un break. On ne vous dit pas d’arrêter, mais d’intégrer quelques jours de repos dans votre planning et de faire d’autres activités. Essayez de courir pour le plaisir simplement, sans compter les temps d’entraînement ou les calories dépensées.
  • 15 à 20 points : la performance avant tout. Seuls vos résultats comptent. C’est bien dommage, car vous perdez de vue ce qui vous a amené à la course. Essayez d’oublier un peu vos temps, vos classements, et votre chrono pour retrouver le plaisir de la course pour la course. Inscrivez)vous à des épreuves pour le fun et non plus pour décrocher des médailles.
  • 21 à 24 points : le surentraînement. Vous y êtes ! De l’entraînement toujours plus, des courses douloureuses, de la fatigue, etc… Aller toujours plus loin en pensant que c’est la solution pour aller mieux, c’est s’enfoncer en fait dans le surentraînement. Gardez en tête que, globalement, vos sorties doivent être à 80 % des moments positifs et confortables et à 20 % des moments plus difficiles, plus douloureux.

Quel est le kilométrage idéal pour préparer une course ?

Les coureurs à pied ont souvent la mauvaise habitude de trop en faire, pensant que plus ils en feront, mieux ça sera. Faire plus de kilomètres se justifie jusqu’à un certain point : celui qui va vous permettre d’atteindre votre objectif. Au-delà, chaque kilomètre supplémentaire risque de vous rapprocher de la blessure. Les 6 règles suivantes vous donnent des fourchettes kilométriques pour toutes les distances et tous les niveaux. Cela devrait vous aider à trouver votre chiffre magique.

Règle n°1

Plus la course est longue, plus le kilométrage à l’entraînement devra être long. Logique. Si vous préparez un 10 km pas la peine de vous entraîner 100 km ou plus par semaine comme les marathoniens de très bon niveau le font régulièrement.

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Règle n°2

Plus vous voulez être performant, plus le kilométrage à l’entraînement doit, là encore, être long. Si votre objectif est juste de finir une course, vous pouvez le faire avec beaucoup moins de distance dans les jambes que si vous voulez faire exploser un chrono.

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Règle n°3

Il y a des kilomètres qui comptent plus que d’autres (1e partie). Quand, chaque semaine, vous réalisez un entraînement de fractionné sur piste ou sur côtes, vous allez récupérer plus difficilement que si vous aviez fait le même volume kilométrique à une vitesse d’endurance fondamentale. C’est pourquoi, quand vous ajoutez de la qualité à vos entraînements, pensez à réduire le nombre de kilomètres par semaine ou par mois, afin de compenser.

Règle n°4

Il y a des kilomètres qui comptent plus que d’autres (2e partie). Plus vous courez vos kilomètres à une vitesse éloignée de votre vitesse de compétition, moins ils seront bénéfiques… pour votre compétition justement ! On ne devient bon que dans le domaine dans lequel on s’entraîne. Si vous courez longtemps, mais doucement, vous allez devenir capable d’avaler des kilomètres et des kilomètres à la vitesse d’une tortue !

Règle n°5

N’augmentez pas trop vite les kilomètres. Pour éviter de vous blesser, il faut en effet ajouter progressivement de la distance. En général, vous pouvez ajouter en moyenne 1 à 2 kilomètres à chaque sortie, chaque semaine, étant entendu que vous allez ensuite maintenir ce niveau pendant 2 semaines avant de continuer à progresser sur ce rythme. Par exemple, si vous avez l’habitude de courir 6 fois par semaine, vous pouvez augmenter votre kilométrage de 6 à 12 kilomètres par semaine, puis rester à ce kilométrage pendant 2 semaines avant de chercher à progresser encore.

Règle n°6

Un coureur en bonne santé, c’est mieux. Si au delà de 100 km par semaine, vous vous blessez régulièrement, alors vaut mieux revoir votre objectif à la baisse, et filer chez le médecin du sport. Faire plus de kilomètres que le voisin ne sert à rien si vous passez 4 mois par un sur la touche. Pendant ce temps, votre voisin, lui, il continue de courir…

Mizuno et Lamborghini s’associent !

Mizuno, équipementier japonais et Lamborghini, célèbre constructeur italien d’automobiles haut de gamme ont annoncé leur collaboration pour présenter une nouvelle chaussure : la Wave Tenjin.

Ce partenariat s’étendra sur cinq ans avec une gamme complète de textile et de chaussures. Les deux marques semblent ravies de mettre en commun leur force de développement et de communication. « Une telle collaboration est un honneur pour Mizuno. Lamborghini est une marque de renommée mondiale en parfaite harmonie avec notre passion pour la technologie, l’innovation et la qualité. Aujourd’hui est le moment idéal de présenter Mizuno aux afectionados de la marque Lamborghini » a affirmé Takeshi Shichijo, le Directeur Général de Mizuno Corporation.

De son côté Lamborghini, à travers Stéphane Winkelmaa, Président et Directeur Général a déclaré : « Lamborghini est renommée pour ses voitures de sport de haut de gamme. Les passionnées auront l’opportunité d’afficher leur amour pour Lamborghini à travers cette chaussure et les futures collections créées en partenariat avec Mizuno. »

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Voici les images de la nouvelle Wave Tenjin.

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Recette du coureur : haricots blancs façon bourguignon

Ingrédients pour 6 personnes

  • 3 c. à s. d’huile d’olive
  • 1 barquette de champignons de Paris, lavés et coupés en gros morceaux
  • 1 gros oignon finement émincé
  • 150 g de jambon cru maigre, coupé en fines lamelles
  • 3 gousses d’ail hachées
  • 1 c. à c. de thym séché 2 feuilles de laurier
  • 30 g de farine
  • 25 cl de vin rouge (un bourgogne, type merlot ou gamay)
  • 50 cl de bouillon de légumes ou de volaille
  • 3 grosses boîtes de haricots blancs, rincés et égouttés
  • 2 c. à s. de persil frais haché Sel et poivre du moulin

À vous de jouer !

Faites chauffer deux cuillères à soupe d’huile dans une marmite à fond épais, sur feu moyen. Ajoutez les champignons et laissez cuire 6/8 minutes jusqu’à ce que les champignons aient rendu leur jus et qu’ils aient une jolie couleur. Salez et poivrez. Versez dans un plat et réservez. Ajoutez la dernière cuillère d’huile dans la marmite, puis les oignons. Laissez cuire les oignons 3 minutes en les remuant tout le temps, jusqu’à ce qu’ils soient fondants. Ajoutez le jambon, l’ail, le thym, le laurier. Laissez cuire 2 minutes en remuant. Saupoudrez de farine et remuez encore. Couvrez avec le vin et le bouillon. Ajoutez les haricots. Portez à ébullition puis baissez le feu. Couvrez et laissez cuire à feu doux pendant 20 minutes. Parsemez de persil frais. Servez.

Valeurs nutritionnelles

  • Kilocalories par portion : 377
  • Glucides : 44 g
  • Fibres : 9 g
  • Protéines : 22 g
  • Lipides : 11 g

Trois points essentiels pour travailler sa vitesse

1 – Le relâchement

Essayez de vous relâcher un maximum. Courir hors d’haleine durant plusieurs centaines de mètres est très dur et vous crisper inutilement ou faire des grimaces ne vous aidera pas à avancer plus vite. Libérez-vous de toutes tensions inutiles, concentrez-vous sur vos jambes ainsi que sur le mouvement des bras et des hanches.

2 – L’efficacité

Focalisez-vous sur l’essentiel. Une foulée efficace est l’un des secrets pour aller vite sur la piste. Essayez de diminuer les temps où vos pieds sont en l’air et raccourcissez la distance des foulées. Vos mouvements doivent être le plus économique et efficace possible.

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3 – Les bras

Vos bras ne doivent pas exagérément se balancer lors de vos entraînements en endurance, mais, pour des 100 m ou des 400 m, ils doivent servir à l’économie de la foulée. Essayez de les utiliser pour avancer plus vite.

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Comment connaître ses limites ? Faites le test !

Utilisez ce test aussi souvent que nécessaire. Si vous obtenez 40 ou plus, levez le pied ; reposez-vous davantage et courez moins. Un résultat inférieur à 15 montre que vous êtes en forme et que votre entraînement est équilibré. Un total entre les deux n’est pas forcément significatif, mais se doit d’être noté. Faites attention aux changements importants de scores entre deux tests, c’est aussi le signe d’un possible surentraînement.

1 – Comment allez-vous aujourd’hui ?

  • Très, très bien (- 2 points)
  • Très bien (-1 point)
  • Bien (0 point)
  • Moyen (1 point)
  • Mal (3 points)
  • Très mal (5 points)

2 – Combien d’heures avez-vous dormi la nuit dernière ?

  • Plus de neuf (-1 point)
  • Huit ou neuf (0 point)
  • Sept (1 point)
  • Cinq ou six (3 points)
  • Moins de cinq (5 points)

3 – La nuit dernière a duré :

  • Comme d’habitude (0 point)
  • Une heure de plus que d’habitude (1 point)
  • Deux heures, voire plus, de plus que d’habitude (3 point)
  • Une heure de moins que d’habitude (1 point)
  • Deux heures de moins que d’habitude (3 points)
  • Trois heures, ou plus, de moins que d’habitude (5 points)

4 – Avez-vous été malade durant cette dernière semaine ?

  • Oui (5 points)
  • Non (0 points)

5 – Comment a été votre dernier entraînement ?

  • Très, très facile (-3 points)
  • Très facile (-1 point)
  • Facile (0 point)
  • Moyen (1 point
  • Difficile (3 points)
  • Très difficile (5 points)
  • Très, très difficile (7 points)

6 – Comment sont vos muscles ?

  • Très, très bien (-3 points)
  • Très bien (-1 point)
  • Bien (0 point)
  • Un peu douloureux (1 point)
  • Douloureux (3 points)
  • Très douloureux (5 points)
  • Très, très douloureux (7 points)

7 – Avez-vous les jambes lourdes ?

  • Non (0 point)
  • Un peu (1 point)
  • Assez (3 points)
  • Beaucoup (7 points)

Recette du coureur : Omelette façon frittata aux pois chiches et aux cerises

INGRÉDIENTS POUR 6 PERSONNES

  • 8 oeufs légèrement battus
  • 1 grosse boîte de pois chiches, rincés et égouttés
  • 150 g de cerises surgelées et dénoyautées, coupées finement
  • 60 g de fromage de chèvre (type bûche), grossièrement émietté
  • 60 ml de lait d’amande
  • 1 branche de thym frais ciselé
  • 2 cuillères à soupe de miel liquide
  • 1 cuillère à soupe d’huile d’olive
  • 5 feuilles de menthe finement émincées

A VOUS DE JOUER

  • Préchauffez le four à 180 °C.
  • Dans un grand bol, mélangez les oeufs, les pois chiches, les cerises décongelées, le chèvre, le lait d’amandes, le miel liquide, le thym. Mettez l’huile à chauffer à feu moyen dans une poêle pouvant aller au four.
  • Versez la préparation et laissez cuire 2 minutes sans mélanger.
  • Transférez la poêle dans le four et continuez la cuisson pendant 20minutes, jusqu’à ce que l’omelette soit cuite à coeur.
  • Laissez refroidir 5 à 10minutes puis transférez délicatement dans une grande assiette.
  • Parsemez de feuilles de menthe et servez.

VALEURS NUTRITIONNELLES

  • Kilocalories par portion : 395
  • Glucides : 25 g
  • Fibres : 4 g
  • Protéines : 22 g
  • Lipides : 22 g
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Une bonne santé

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