J’ai mal docteur !

1. Décrivez les circonstances qui entourent la douleur

Que faisiez-vous quand la douleur est arrivée ? Depuis combien de temps dure-t-elle ? Comment et quand est-elle survenue ? Une douleur, si elle résulte d’une blessure ou d’un entraînement trop poussé, ne sera pas la même.

2. Notez ce qui accentue ou ce qui calme la douleur

Est-elle plus vive en montant l’escalier par exemple (syndrome rotulien) ou en restant assis (syndrome du piriforme) ? Certaines positions sont caractéristiques de certaines pathologies.

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3. Expliquez l’évolution de la douleur

La douleur est-elle constante depuis le début ? Est-elle pire ? S’est-elle diffusée ?

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4. Dites ce que vous avez fait

Avez-vous diminué ou arrêté l’entraînement ? Avez-vous juste pris un antalgique et continué à courir ?

5. Racontez votre vie

Quel est votre passé ? Avez-vous déjà eu mal ? Avez-vous déjà eu des blessures ? Quel traitement avez-vous reçu ?

6. Amenez vos chaussures

La façon dont elles sont usées peut en apprendre beaucoup à votre médecin.

Pour aller mieux

Pour éviter les douleurs dans le bas du dos, les fessiers et l’arrière des cuisses, pensez à étirer régulièrement le muscle piriforme. Assis sur une chaise, posez la cheville droite sur le genou gauche et descendez lentement le buste. Tenez la position, puis recommencez de l’autre côté.

Les foulées Charentonnaises 2013

Au-delà du sport, les Foulées sont aussi une grande fête populaire ouverte à tous, femmes et hommes, enfants, jeunes et moins jeunes, licenciés sportifs ou non. Plusieurs courses sont programmées, pour permettre à tous les âges et à tous les niveaux de partager un moment convivial et sportif. Cette année, le Challenge entreprise prend le nom de Jacques Bertault, entraîneur et ami de l’Azur Olympique, disparu cette année.

• COURSE DES ENFANTS 1,5 km à 9h45 et 2,4 km à 9h15
• LE TOUR DE CHARENTON 5 km en individuel et en duo à 10h
• COURSE DES AS 15 km à 10h30 en individuel et en relais et le Challenge Entreprises Jacques Bertault
Informations et inscriptions sur le site de notre partenaire www.topchrono.biz

Lien direct vers l’inscription en ligne
www.topchrono.biz/evenement_…
Lien direct vers le site dédié aux Foulées
http://lesfouleescharentonnaise.ass…

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La politique canine de Mountain Hardwear

Politique canine chez Mountain Hardwear 
Rappel : Pouvoir amener votre chien au bureau est une chance, pas un droit.

1 – Avant d’amener votre compagnon au bureau, vous devez d’abord déposer un formulaire d’inscription et fournir une copie de son carnet de vaccinations à jour. Nous exigeons que tous les chiens soient vaccinés contre les affections canines courantes comme la rage ou la maladie de Carré. Ce carnet de vaccinations doit être renouvelé chaque année.

2 – Votre chien doit être propre et se tenir tranquille. Les aboiements intempestifs, gémissements ainsi que les jouets couineurs ne sont pas tolérés au sein de l’entreprise.

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3 – Les chiens ne sont pas admis dans :
Les salles d’expositions ou de réunions
La cuisine de l’entreprise
La boutique réservée aux salariés, familles et amis
Le foyer
Les toilettes

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4 – Vous devez tenir votre chien en laisse dès que vous sortez de votre bureau et traversez un espace commun aux salariés.

5 – Afin d’éviter tout désagrément, vos chiens doivent rester dans votre propre espace de travail, excepté lors de vos déplacements pour entrer ou sortir du bureau.

6 – Lorsque vous êtes amené à quitter votre bureau momentanément, veuillez désigner une personne pour surveiller votre chien au cas où il se mette à chahuter.

7 – Lavez les gamelles de votre chien dans les grands éviers prévus à cet effet, dans les sanitaires.

8 – Il est interdit d’utiliser le lave-vaisselle, les éviers, les torchons ainsi que les ustensiles de cuisine.

9 – Si votre chien fait ses besoins quelque part au bureau, c’est à vous de nettoyer.

10 – Afin de ne pas perturber les visiteurs, veuillez entrer et sortir du bâtiment par les portes secondaires. Les chiens ne doivent en aucun cas emprunter la porte d’entrée principale.

11 – Votre chien fait ses besoins :
Ne le laissez pas souiller la pelouse de l’entrée
Emmenez votre chien en dehors du périmètre de l’entreprise. Cela ne doit pas vous empêcher d’être de bons voisins et de ramasser. Des sacs sont à votre disposition à côté des sorties de MHW.
Refermez bien le sac avant de le déposer dans une poubelle adéquate, à l’écart du bâtiment.
Une fois leur petit tour achevé, vos chiens sont libres de jouer un moment sur l’aire devant l’entrée principale.

12 – En cas d’agression même minime, d’aboiements incessants ou de gêne quelconque au sein des bureaux, votre chien devra immédiatement quitter les locaux.

13 – Un tel comportement fera l’objet d’une convocation du Conseil canin et pourra aboutir à une exclusion définitive.

14 – Pour toute réclamation, s’adresser à la DRH

À bas les blessures !

© ElliptiGO France

L’ElliptiGO un vélo elliptique au look d’un appareil de gym sorti de l’imaginaire d’un James Cameron ou Georges Lucas et permet aux coureurs de sortir faire le même parcours qu’ils feraient à pied, sans subir les impacts au sol. Il existe trois différents modèles, de 1380 euros environ pour le basique à 2 700 euros pour le haut de gamme en fibre carbone et donc plus light. Cet appareil que nous sommes en train de tester se pose donc comme une alternative aux entrainements traditionnels mais c’est également un sport à part entière. Il existe un championnat du monde de vélo elliptique en salle alors à quand celui pour Elliptigo ?

Voir en ligne : Le blog ElliptiGo français

2011 : Des stats et des Kenyans

Nombre de coureurs ayant fait moins de 2’06 sur marathon : 13

Nombre de coureurs ayant fait moins de 2’06 sur marathon en 2’06 en 2010 : 10

Nombre total de coureurs ayant remporté un marathon en moins de 2’06 avant 2010 : 14

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10ème meilleur chrono Kényan sur marathon : 2’05’45’’

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Nombre minimum de marathonien Kenyan en dessous de 2’04 non sélectionné dans l’équipe olympique kenyane : 1

Nombre de records battu sur les 5 plus grands marathon mondiaux : 5

Nombre de ces records battus par des Kenyans : 5

Plus mauvais chronos de ces nouveaux records : 2’05’37’’

Nombre de pays dont le record national est inférieur à 2’05’37 : 2

Chrono moyen du top 10 du Marathon de New York en novembre 2011 : 2’07’32’’

Record à battre au Marathon de New York 2012 : 2’05’06’’(Geoffroy Mutai)

Geoffroy Mutai a amélioré l’ancien record de Boston cette année de : 2’40’’

Différence de temps entre le record de Geoffroy Mutai et le troisième meilleur temps jamais enregistré au Marathon de Boston : 4’11’’

Différence de temps entre le meilleur chrono 2010 et le meilleur chrono 2011 du Marathon de New York : 2’37’’

Plus grande différence de temps jamais enregistrée auparavant depuis que la course existe sous ce format des 5 quartier (1976) : 1’28’’

Moyenne des chronos de Geoffroy Mutai sur les quatre marathons qu’il a courus entre 2010 et 2011 : 2’04’33’’

Demandez à l’expert

Sébastien Nain, au Marathon des Sables en 2010

L’astuce du jour par Sébastien NAIN, membre du team Vibram et 1er Français au Sultan Marathon des Sables 2010.

Quelle est la meilleure stratégie pour impressionner mes challengers sur la ligne de départ ? Je retrouve souvent les mêmes compétiteurs d’une course à l’autre dans ma région et j’aimerais bien trouver une façon de creuser mon avantage.

Sébastien Nain : La meilleure façon d’impressionner d’autres coureurs est de les avoir déjà battus dans une course précédente ! Si c’est le cas, votre simple présence sur la ligne de départ leur donnera des sueurs froides. Même si vous ne faites que regarder droit devant vous, les yeux fixés sur votre objectif. Si on y réfléchit bien, voir quelqu’un d’ultraconcentré sur sa course a quelque chose d’intimidant…

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Donc, essayez ça. Sinon, je vous conseille d’arriver bien affûté et tout bronzé, car c’est le signe que vous avez passé de nombreuses heures à l’entraînement, à courir dans tous les sens, et que vous êtes également bien reposé. C’est aussi le moyen de mettre en valeur vos muscles et votre tenue dernier cri avec quelques logos de sponsors cousus dessus ! Dès le départ, partez vite, histoire de montrer que vous êtes en confiance, même si vous devez rapidement baisser de train pour vous caler sur votre vrai rythme.

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Soupe toscane

© Beau Allulli

Ribollita

La ribollita, qui se traduit littéralement par « rebouillie », est une soupe traditionnelle toscane aux légumes, notamment faite à base de haricots blancs. Elle se prépare généralement la veille et se cuisine en deux fois, avec tous les ingrédients que l’on a à portée de main.

Pour 4 personnes :
350 g de haricots blancs égouttés et rincés
120 ml d’huile d’olive vierge extra
1 cuil. à soupe d’ail frais haché
1 cuil. à soupe de romarin frais haché
1 gros oignon haché
1 carotte pelée et hachée
1 grosse pomme de terre coupée en dés
2 branches de céleri hachées
1 botte de chou vert frisé hachée grossièrement
3 tomates bouillies et hachées
500 ml de bouillon de poulet
3 tranches de pain toscan (ou pain de campagne non salé) rassis
Du parmesan râpé (facultatif)

Mélangez la moitié des haricots dans un bol en pressant avec le dos d’une fourchette, jusqu’à l’obtention d’une consistance lisse, puis laissez-les de côté. Dans une marmite à fond épais, faites cuire doucement l’ail, le romarin, les oignons, le céleri, la carotte, le chou dans l’huile d’olive durant environ 20 minutes, en remuant de temps en temps. Ajoutez ensuite la purée de haricots blancs et le reste des ingrédients : bouillon de poulet, pomme de terre et tomates. Laissez mijoter à feu doux pendant au moins 1 heure. Enfin, ajoutez le pain et laissez encore mijoter jusqu’à ce que ce dernier soit complètement dissout dans la soupe. Goûtez et rectifiez l’assaisonnement avec du sel et du poivre. Servez-la de préférence le lendemain, arrosée d’huile d’olive et de parmesan.

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Le chef Matt Connors

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CALORIES (PAR PORTION) : 580 kcal LIPIDES : 31 g GLUCIDES : 61 g PROTEINES : 14 g

Une seule portion de ribollita représente 60 % de l’apport quotidien en vitamine A, 45 % en vitamine C et 20 % en fer. Un véritable coup de fouet !

L’idée du mois

Dans le hall d’exposition où vous pouviez retirer votre dossard, était installée une petite dizaine de vélos d’entraînement avec mixeur de jus de fruits intégré. Une bonne idée à adopter pour la maison, pour réduire ses notes d’électricité ! Malheureusement, à notre connaissance, le produit n’est pas encore fabriqué à la chaîne. Si le vélo-mixeur vous fait rêver, il va donc falloir solliciter un copain bricoleur. À vous les smoothies pressés à la force de vos cuisses ! Et, pour ne plus se couper les doigts, il suffit de descendre de vélo. Facile, utile et écologique. Nous, on est pour à 100 % !

Présumé coupable !

© Jack Black

Quand Thomas, engagé sur un trail de deux jours en Dordogne, sent une douleur dans sa cuisse, cela ne l’affole pas plus que cela. « J’avais déjà ressenti ce genre de douleur avant et j’ai vraiment cru que ce n’était pas grand-chose. » Massage, glace et ça repart. Mais le lendemain, sur la deuxième étape, il n’a jamais pu dépasser le premier kilomètre. Après évacuation et radio à l’appui, le verdict est sans appel : fracture de fatigue. Le choc pour Thomas, loin d’imaginer que ce qu’il avait pris pour une douleur presque innocente était une blessure sérieuse. Repos, plâtre, rééducation… et une année loin du bitume et de ses runnings. La pilule est dure à avaler.

Les blessures induites par la course à pied ne sont pas toujours évidentes à reconnaître. Souvent, la douleur est diffuse et fait suite à une course ou à un entraînement poussé et régulier. En déterminer l’origine est plus difficile que pour une blessure soudaine, franche et localisée. Habitués aux douleurs, les coureurs qui s’entraînent beaucoup, ou ceux qui pratiquent l’ultra, ont leurs petits trucs pour se soulager et usent de l’automédication à outrance. Or, sans avis médical, le risque de poser le mauvais diagnostic est de… 100 % ! Même un médecin, s’il n’est pas spécialisé et n’a pas l’habitude de soigner des sportifs, peut éprouver des difficultés à identifier clairement l’origine d’un problème. Alors, plutôt que de jouer les Rambo, mieux vaut étudier plus précisément toutes les possibilités et en parler avec son médecin, en décrivant le plus précisément possible les circonstances de la douleur.

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Où ça fait mal ? Au pied

Vous pensez : fasciite plantaire
Cela peut être aussi : une fracture de fatigue du métatarsien

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La différence
La fasciite plantaire est une inflammation de l’aponévrose plantaire, une membrane fibreuse qui se trouve sous la plante du pied et qui s’étale du talon jusqu’à l’avant-pied. C’est une affection courante en course à pied, dont les causes peuvent être variées. Néanmoins, des entraînements trop longs, trop poussés, ou le port de mauvaises chaussures sont souvent responsables des douleurs.

Une fracture de fatigue est une fracture due à un effort trop intense, quel que soit son niveau, qui entraîne des microlésions répétées sur l’os qui se fragilise. En cas de fracture de fatigue, la douleur est généralement très vive au début, puis s’estompe mais revient sournoisement lors des entraînements, de la marche dans la vie courante, et peut même apparaître la nuit. Elle est persistante malgré les soins et doit amener à consulter. Au moindre doute, mieux vaut en parler à un médecin qui orientera vers une échographie ou une scintigraphie osseuse. Porter de bonnes chaussures, s’entraîner correctement, éviter les sols trop durs sont des réflexes à adopter pour prévenir les pathologies du pied. Mais il ne faut pas non plus négliger le rôle de la nutrition, car les déficits sont souvent en cause lors des blessures chez le coureur. Ainsi, il faut veiller à une bonne hydratation, des apports énergétiques suffisants, des apports corrects en acides gras essentiels et une bonne densité minérale et vitaminique.

Où ça fait mal ? Au genou

Vous pensez : syndrome rotulien (fémoro-patellaire)

Cela peut être aussi : le syndrome de la bandelette ilio-tibiale

La différence
Le syndrome rotulien, une irritation des cartilages qui entourent la rotule, est effectivement une pathologie très fréquente en course à pied, notamment en cas d’entraînements soutenus, si l’articulation est trop sollicitée : courses en côte, terrains escarpés, hypersollicitation des quadriceps…

Le syndrome de la bandelette ilio-tibiale, lui, est une inflammation de ladite bandelette, un tendon fibreux qui relie le muscle fessier au genou. La douleur se situe dans la zone externe du genou et survient généralement à l’effort. Le repos est recommandé et l’arrêt de l’entraînement devra être envisagé selon l’étendue de l’inflammation, qu’elle touche la rotule ou la bandelette ilio-tibiale. Si le genou est gonflé, il peut alors y avoir une lésion associée, un peu de glace peut soulager. Quel que soit le diagnostic, on peut agir en prévention en s’étirant suffisamment après la course (pour des étirements spécifiques, voir sur www.medecinedusport.fr), en limitant les terrains vallonnés, les entraînements en côte, la musculation du quadriceps associée et en se chaussant correctement.

Où ça fait mal ? Dans le bas du dos

Vous pensez : douleurs lombaires

Cela peut être aussi : le syndrome du pyramidal

La différence
Le pyramidal est un muscle qui s’étend du sacrum jusqu’au fémur. Il traverse la région fessière et a des contacts étroits avec le nerf sciatique. S’il est soumis à trop de tension, par insuffisance d’étirement par exemple, il peut provoquer des douleurs sourdes qui peuvent irradier toute la zone, des fesses au dos, et se propager par le nerf sciatique. La douleur diffuse, s’intensifie en position assise. Le syndrome du pyramidal touche en priorité les coureurs qui s’entraînent sur des surfaces dures, mais aussi les coureurs d’ultra et ceux qui augmentent brutalement le nombre de kilomètres parcourus. Seul un médecin ou un kinésithérapeute pourra identifier ce syndrome après une batterie de tests et le différencier d’une sciatique. Une prise en charge adéquate (massages, points de pression…) donnera alors de bons résultats.

Où ça fait mal ? À la tête, au cou, un peu partout

Vous pensez : symptôme grippal, virus
Cela peut être aussi : surentraînement

La différence
Pousser trop loin les capacités de l’organisme à récupérer, c’est le risque du surentraînement. Le problème est que chacun possède des ressources qui lui sont propres et il est difficile de prévoir un surentraînement. Par ailleurs, le surentraînement ne touche pas seulement ceux qui enfilent 200 kilomètres sur une course d’ultra. Il peut toucher n’importe quel coureur, du moment qu’il ne permet pas à son organisme de récupérer suffisamment et correctement entre deux sorties. De plus, il s’installe insidieusement : un système immunitaire qui répond moins bien, une fatigue stagnante, des troubles du sommeil, des blessures et des douleurs plus régulières. Un ensemble de symptômes qui deviennent de plus en plus gênants au quotidien. Sans parler de la baisse des performances, de l’irritabilité et des troubles de l’humeur qui s’ajoutent à ces symptômes. La parade ? Du repos, un plan d’entraînement bien mené et un temps de récupération suffisant entre les séances.

Avec le docteur Frédéric Maton, médecin du sport

Prenez le temps d’un massage

Étirements
Étirements
Il y a plus d’un siècle, les massages ont toujours été plébiscités comme outil indispensable à la récupération des athlètes. Beaucoup de coureurs pensent que les massages augmentent le débit sanguin vers les muscles et permettent un meilleur drainage des toxines. Mais, après un exercice intense, cette hypothèse n’a jamais été scientifiquement validée. Jusqu’à ce qu’une étude canadienne soit officiellement présentée l’année dernière et estimait que « les massages pratiqués après un exercice n’amélioraient pas significativement le débit sanguin et n’éliminaient pas les toxines qui affectent les performances musculaires ». Toujours selon notre expert, Fabrice, un kiné du sport qui voit défiler de nombreux champions dans son cabinet, le massage est intéressant pour son effet décontracturant : « Les mains vont percevoir puis faire céder toutes les tensions accumulées par le muscle lors de l’effort. »

Faut-il essayer ?

Même si les massages ne peuvent pas effacer toutes vos douleurs musculaires d’après-course, car celle-ci reste génératrice de casse musculaire, des études ont en revanche mis en évidence qu’ils diminuaient l’anxiété et la pression artérielle. De plus, le bien-être et le relâchement musculaire obtenus procurent un effet bénéfique… Comme le savent très bien tous ceux qui sont passés sur la table de massage !

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Une bonne santé

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Alimentation

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