Comment faut-il s’alimenter pour un entrainement ?

Comment faut-il s'alimenter avant un entrainement ?

Il est fréquent de s’interroger sur sa façon de s’alimenter pour un entrainement ? Que ce soit pour un 5 kilomètres ou pour une sortie longue, ce que vous mettrez dans votre corps avant, pendant et après la course est là clé pour vous aider à atteindre votre objectif. Essayez de manger quelques heures avant d’aller vous entrainer et ne négligez pas le repas d’après course. N’oubliez pas, l’entrainement est le moment idéal pour valider certaines habitudes. Testez les produits que vous voudriez emmener en course, et tentez de valider le temps qu’il vous faudra entre votre dernier repas et le début de votre course.

Pour un 5 kilomètres (300 kcal consommées).

Avant : 1 banane moyenne (105 kcal).

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Pendant : rien ou de l’eau

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Après : En fonction de l’heure de l’entrainement, prévoir un repas ou un snack dans les 30 minutes qui suivent l’entrainement.

Pour un 10 kilomètres (600 kcal consommées).

Avant : 1 petit pot de compote de pomme (102 kcal).

Pendant : De l’eau, toutes les 15 à 20 minutes.

Après : Identique au 5 km.

Pour un 20 kilomètres (1200 kcal consommées).

Avant : 1 part de quatre-quarts (ou gâteau au yaourt ou muffin) avec une cuillère de pâte à tartiner et une banane (281 kcal).

Pendant : 1 ou 2 gels énergétiques toutes les heures, avec de l’eau.

Après : Pourquoi ne pas vous faire plaisir avec des oeufs à la coque et mouillettes et un fruit, par exemple. Si vous n’avez pas faim, prenez un chocolat chaud puis un vrai repas dans les heures qui suivent.

Pour un 35 kilomètres (2000 kcal consommées).

Avant : 1 bol de céréales avec du lait et une banane, 50 cl de boisson isotonique (500 kcal).

Pendant : 1 ou 2 gels énergétiques toutes les heures, avec de l’eau.

Après : Nous vous proposons 1 sandwich poulet-crudités et un fruit. Si vous n’avez pas faim, prenez un chocolat chaud avant un vrai repas dans les heures qui suivent.

Comment passer de la route au trail en toute simplicité ?

Comment passer de la route au trail en toute simplicité ?

Les courses de trail ont de plus en plus le vent en poupe. Du simple 20km en plaine à l’Ultra Trail du Mont Blanc, il existe un format pour tous les niveaux. Aussi, de plus en plus de coureurs, attirés par cet esprit nature et découverte, souhaitent passer de la route au trail. Voici quelques éléments qui vont vous aider dans votre transition.

Changez de surface

Courez sur sentier, mais conservez des séances sur route pour développer votre vitesse anaérobie. Concentrez-vous sur le temps passé et l’effort accompli plus que sur les kilomètres parcourus. Vous ne courrez jamais autant de kilomètres sur les sentiers que vous n’en faites sur l’asphalte.

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Adoptez la bonne mentalité

Pensez que votre record personnel n’a aucune signification sur les sentiers. Tachez avant tout de prendre du plaisir et de découvrir l’environnement qui vous entoure.

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La bonne tactique à adopter

Repérez en détail le parcours et le profil du trail envisagé pour mettre toutes les chances de votre côté et éviter les déconvenues.

Les compétences à développer

Travaillez vos faiblesses, notamment les côtes et les descentes, qui sont souvent le point faible des nouveaux traileurs. Dévaler les singletracks raides qui font la spécificité de certains trails peut être effrayant, voire dangereux. Pourtant, c’est (aussi) une compétence que vous aurez à acquérir pour être compétitif. Les coureurs sur route comme les traileurs peuvent faire une deuxième séance de 30 minutes à allure très facile du lundi au vendredi.

Votre semaine d’entraînement coup de point route/trail.entrainement

5 astuces avant d’acheter sa chaussure de running !

5 astuces avant d'acheter sa chaussure de running !

1. Focalisez-vous sur le confort (et pas sur le look)

Vous êtes magnifique dans ces chaussures aux derniers coloris. Peut importe que le modèle vous lacère les pieds ! Après tout le confort n’est que secondaire en course à pied, n’est-ce pas ? On en reparlera quand vous aurez les pieds en sang à mi-distance de votre marathon ! Dans certains cas, un ou deux modèles uniquement conviendront à l’anatomie du coureur, si il les refuse pour des raisons esthétiques, il courra directement à la blessure. Vous aurez tout le reste de la journée pour vous occuper de votre apparence, en course à pied, il faut se sentir bien dans ses baskets !

2 – Achetez en fin de journée !

Non pas que vous puissiez compter sur la fatigue du vendeur pour espérer une remise…non, non ! La vraie raison est que vos pieds gonflent durant la journée, tout comme en course. Essayer des chaussures de running en fin de journée permet de mieux se rendre compte du confort qu’elles offriront durant vos runs !

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3 – Soyez certain de la pointure.

Chaque marque et chaque modèle taille différemment. Même si vous reprenez la même chaussure que la saison dernière, une nouvelle version peut tailler différemment. Allez les essayer en magasin spécialisé.

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4 – Apportez vos chaussettes !

Même si certains magasins proposent de vous prêter des chaussettes, ce ne sont pas vos chaussettes de course ! De même, vos chaussettes de ville ne font pas la même épaisseur. Amenez lors de votre achat, vos propres chaussettes de course pour vous rendre réellement compte des sensations au sein de la chaussure.

5 – Allez courir !

Peu importe vos sensations en étant debout dans le magasin, elles n’offriront aucun renseignement sur le confort de la chaussure en course. Pour vous faire une idée, demandez à aller faire quelques pâtés de maisons avec la bête pour obtenir de vraies sensations.

Comment bien tomber en course à pied ?

Comment bien tomber en course à pied ?

Se prendre les pieds dans un trottoir, un nid-de poule, une pierre ou une racine est chose courante chez les coureurs à pied. Mais le risque de se blesser sur ce genre d’incidents ne doit pas être négligé. Mieux vaut prévenir que guérir, aussi Runner’s World France vous donne quelques astuces pour apprendre à bien tomber en course à pied. Intégrez les pour que cela devienne par la suite des réflexes, car, dans ces moments, très peu de place est laissée à la réflexion.

1. Evitez le visage

Rentrez le menton et tournez la tête, mais ne tentez en aucun cas de ralentir la chute avec vos mains (sauf si vous êtes un ancien judoka et savez rouler sur l’épaule.)

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2. Ne vous contractez pas

C’est le meilleur moyen de vous casser quelque chose. Lorsque vous vous sentez tomber en course à pied et que vous voyez que vous ne pourrez rien y faire, laissez-vous aller, accompagnez le mouvement même. Cela évitera à votre corps de se retrouver dans des positions improbables qui vous conduiraient à la fracture.

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3. Visez les fesses

Pendant la chute, essayez justement de rouler ou de tordre votre corps de façon à vous poser sur les fesses et surtout pas sur le dos. Pas facile, mais plus sûr.

4. Contrôlez l’atterrissage

Gardez les poignets, les coudes et les genoux pliés le plus près possible du corps. Essayez de répartir la force de l’impact en atterrissant autant que possible sur le centre de votre corps, les extrémités comme les poignets et les épaules étant beaucoup plus fragiles.

Risque cardiaque en course à pied : 16 questions à se poser avant de commencer

Risque cardiaque en course à pied : 16 questions à se poser avant de commencer.

La course à pied est un sport exigeant, pour les jambes, pour la tête mais également pour le cœur. Nous vous présentons ici quelques questions qui permettront d’évaluer votre risque cardiaque en course à pied avant de débuter. Si vous pouvez répondre oui à l’une de ces questions, contactez un spécialiste pour faire le point sur votre pratique sportive.

Questions sur vous

  • Vous êtes-vous déjà évanoui ou avez-vous déjà eu de gros vertiges DURANT un effort ?
  • Vous êtes-vous déjà évanoui ou avez-vous déjà eu de gros vertiges APRES un effort ?
  • Avez-vous déjà ressenti de l’inconfort, des douleurs, des pincements ou des pressions inhabituelles dans votre poitrine pendant l’effort ?
  • Avez-vous déjà souffert d’arythmie cardiaque ?
  • Est-ce que votre docteur vous a déjà diagnostiqué :
  • Une tension haute ?
  • Un souffle cardiaque ?
  • Du cholestérol ?
  • Une infection cardiaque ?
  • De la fièvre rhumastismale ?
  • La maladie de Kawasaki ?
  • Est-ce qu’un docteur vous a déjà prescrit un test d’effort pour votre cÅ“ur ?
  • Avez-vous du mal à respirer durant un effort ?
  • Vous sentez-vous plus fatigué ou avez-vous plus de mal à respirer que vos amis durant un effort ?

Questions sur votre famille

  • Est-ce qu’un membre de votre famille est décédé à la suite de problèmes cardiaques ou de manière inexpliquée avant 50 ans (incluant des noyades inexpliquées ou des accidents de voiture inexpliqués) ?
  • Est-ce que quelqu’un dans votre famille souffre de cardiomyopathie hypertrophique, du syndrome de Marfan, d’arythmie du ventricule droit ou de tout autre maladie cardiaque ?
  • Est-ce que quelqu’un dans votre famille possède un pacemaker ?

La Color Run débarque à Marseille !

La Color Run débarque à Marseille !

En avril dernier, ils étaient près de 13 000 à s’être donnés rendez-vous à Paris pour The Color Run by Lipton Ice Tea. Le principe complètement déjanté de cette course consiste à partir en tee-shirt blanc, de traverser des « zones colorées », afin de se faire saupoudrer de flocons multicolores. Une expérience qui a séduit dès sa première édition puisque l’édition parisienne s’est courue à guichet fermé. La Color Run pose désormais ses valises à Marseille où se tiendra, le 4 octobre, la deuxième édition. A la fin du 5 km coloré entre les plages du Prado et le Parc Borély, les participants pourront prendre part au Festival Finisher proposé par NRJ Marseille.

Revivez la course parisienne à travers cette vidéo.

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Pour en savoir plus rendez-vous sur www.colorrun.fr

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5 erreurs à éviter en course à pieds

5 erreurs à éviter en course à pieds

Vouloir faire trop vite, trop fort, trop souvent, ces maladresses qui partent pourtant d’un bon sentiment, peuvent vous couter très cher. Aujourd’hui nous vous présentons 5 erreurs à éviter en course à pied.

Erreur N° 1 : Augmentez son kilométrage trop vite

Une règle existe qui précise que le kilométrage hebdomadaire ne doit pas être augmenté de plus de 10% d’une semaine à l’autre. Cependant, une augmentation trop rapide ne se fera pas forcément sentir de suite. Vous pourrez sentir la fatigue plusieurs semaines plus tard, fatigue qui pourra vous amener à vous blesser !

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A faire : Plutôt que de vouloir augmenter votre kilométrage chaque semaine, essayez d’augmenter de manière raisonnable votre kilométrage pour le valider sur quelques semaines, puis passez à l’étape suivante si vous vous sentez en forme.

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Erreur N°2 : Confondre vitesse et précipitation

A vouloir courir tous vos runs à fond, vous vous fatiguerez, aussi bien physiquement que mentalement. Vous en viendrez même à vous déprimer en voyant à quel point ce run si facile au début vous parait si dur aujourd’hui. Cette fatigue arrive beaucoup plus rapidement si vous ne faites qu’enchainer les séances difficiles.

A faire : Commencez par construire vos bases en aérobie en réalisant des séances en endurance. Votre corps va alors s’adapter afin d’obtenir la force et l’équilibre nécessaires pour vous permettre de courir des runs plus difficiles. Considérez les séances difficiles comme une cerise sur le gâteau, prenez l’habitude de courir aux sensations (lisez notre article ici) plutôt qu’en fonction de votre vitesse. C’est le meilleur moyen de rester dans la bonne allure.

Erreur N°3 : Changer brutalement de surface

Attention aux changements de surface trop brusques. Si vous avez l’habitude de courir sur des chemins ou sur des surfaces souples et que vous décidez de passer sur la route, vous devrez faire attention aux chocs ! Les douleurs vous rappelleront à l’ordre si vous ne soignez pas la transition.

A faire : Plus vous avez l’habitude de courir sur des surfaces souples et plus il vous faudra être patient si vous désirez passer sur route. Si vous couriez tous vos runs sur une surface souple, effectuez une sortie par semaine sur surface dure pendant deux semaines, et ajoutez ensuite un run sur dur par semaine.

Erreur N°4 : Affronter les éléments

Le froid ou la chaleur sont des éléments redoutables pour le corps. Il doit alors dépenser énormément d’énergie pour maintenir sa température. Dans ces conditions, un run, même facile, peut s’avérer devenir la pire expérience physique de votre vie.

A faire : Ne lutter pas contre les éléments et protégez-vous ! N’est pas Anton Krupicka qui veut ! Si il fait froid, couvrez vous correctement, surtout au niveau des extrémités (zone de déperdition de chaleur préférentielle). Si il fait chaud, évitez les heures chaudes (de 12h à 16h), privilégiez les zones d’ombres, buvez beaucoup, ne vous mettez pas torse-nu mais portez des vêtements clairs, une casquette et des lunettes de soleil.

Erreur N°5 : Bâcler la récupération

A vouloir en faire trop, trop vite, trop souvent, on en oublie bien souvent la récupération. Et pourtant, elle fait partie intégralement de la préparation du sportif. Si vous en faites trop vous finirez par vous blesser, vous déprimer, vous épuiser. Au lieu de progresser, vous régresserez à coup sûr !

A faire : Faites-vous un plan, si vous ne savez pas le faire, demandez conseil à un coach professionnel. Ce plan devra comprendre des jours de repos complet afin de préserver votre corps et votre esprit. Ces jours de repos vous permettront également d’assimiler vos séances. Votre corps tirera lui-même les leçons de ce que vous lui imposez pour améliorer son rendement.

Courir aux sensations, une stratégie gagnante !

Courir aux sensations, une stratégie gagnante !

Avec les révolutions des cardiofréquencemètres et des GPS, nous sommes nombreux à passer nos séances d’entrainement les yeux fixés sur l’écran de la montre. On en oublie parfois que courir aux sensations peut être la meilleure manière de progresser. S’écouter permet de mieux se connaître, de mieux anticiper les blessures, et de savoir ajuster le tir en fonction de l’état de forme du moment. Nous ne nous résumons pas simplement à une suite de chiffres tels que notre VMA ou notre FCM. Voici, quelques conseils pour apprendre à courir aux sensations.

Les couleurs du bonheur

Jaune : l’effort facile. Pensez à ce smiley sur Facebook. C’est l’image que doit représenter votre sensation sur ce type d’effort. Vous devez être capable de tenir une conversation en faisant des phrases complètes.

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Orange : l’effort modéré. Vous pouvez toujours parler en courant mais en un ou deux mots succincts. Vous entendrez votre respiration mais vous resterez en parfaite possession du contrôle de votre forme.

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Rouge : l’effort intense. Vous passez dans la zone anaérobique. Votre respiration devient difficile, vous cherchez l’air.

Comment courir aux sensations en compétition ?

Sur un 5 km.

Les débutants devraient passer les deux premiers kilomètres dans la zone jaune avant de passer à l’orange. Les expérimentés peuvent s’échauffer dans la zone jaune puis couper la course en deux, entre la zone orange et la zone rouge.

Sur un 10 km.

Les débutants devraient courir toute la course dans la zone jaune. Les confirmés, eux, devraient attaquer dans le orange avant d’accélérer progressivement au 5e km pour aller chercher la zone rouge sur le 7e km.

Semi-marathon.

Les débutants pourront courir les 10 premiers kilomètres dans le jaune, ils augmenteront leur allure du 11e au 20e kilomètres, pour être dans la zone orange, et finiront dans le rouge sur le dernier kilomètre pour le sprint final. Les coureurs expérimentés peuvent courir les 7 premiers kilomètres dans le jaune, les 7 suivants dans le orange et finir le dernier tiers dans le rouge.

Marathon

Les débutants courront les 20 premiers kilomètres dans le jaune, les 20 suivants dans l’orange et pourront tenter la zone rouge sur les deux derniers kilomètres. Les expérimentés pourront courir les 16 premiers kilomètres dans le jaune, passeront les 14 kilomètres suivant dans la zone orange et pourront aller chercher la zone rouge au niveau du mur des 30 km.

Quinoa : la recette du coureur

Quinoa : la recette du coureur !

A première vue, le quinoa ressemble comme deux gouttes d’eau à une céréale. En réalité, c’est une plante herbacée de la même famille que celle des épinards, cultivée depuis plus de 5 000 ans dans les Andes. Ceci posé, ce qui est surtout important de retenir avec le quinoa, c’est son incroyable richesse nutritionnelle, notamment en protéines, minéraux et oligoéléments (fer, magnésium, calcium,…) et fibres (7 g pour 100 g). Sa teneur en manganèse, par exemple, est remarquable (la moitié des besoins journaliers peuvent être couverts par une portion), alors que sa richesse en protéines (15%) le rend particulièrement intéressant pour les sportifs. Autre atout, le quinoa aurait des propriétés anti-inflammatoires et cicatrisantes. Une portion de la recette que nous vous proposons ici apporte 32g de glucides lents et 7 g de protéines de bonnes qualité.

La recette au Quinoa

Salade de bettrave, brocoli, quinoa, grenade, graines de tournesol et de citrouille.

Ingrédients pour 4 personnes.

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  • 150g de bettrave cuite
  • 80 g de brocoli cuit
  • 50 g de quinoa cuit
  • 2 cuillères à soupe de graines de citrouille
  • 2 cuillères à soupe de graines de tournesol
  • 4 cuillères à soupe de graines de grenade
  • 1 citron
  • 1 rasade de bon vinaigre de vin
  • Huile d’olive
  • 50 g d’huile de colza de bonne qualité
  • Feuilles de salades douces et amères (roquette, feuilles de chêne, mâche…)
  • Sel et poivre
  • Sucre en poudre.

Comment faire ?

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  • Réchauffez doucement la bettrave coupée en morceaux et arrosez avec l’huile d’olive, le vinaigre et le sucre. Goûtez et salez. Vous devez avoir un bon équilibre entre le sel et le sucre.
  • Dans une poêle, faites brunir les graines de tournesol et de citrouille dans l’huile de colza.
  • Ajoutez les brocolis détaillés en bouquets, les grenades et le quinoa dans la poêle. Remuez pour bien mélanger. Assaisonnez de sel, de poivre et de jus de citron.
  • Disposez les bettraves dans les assiettes, puis ajoutez le mélange avec les brocolis et le quinoa. Ajoutez quelques feuilles de salades. Servez.

UTMB : François d’Haene intouchable

UTMB : François d'Haene intouchable !

Incroyable, le mot n’est pas assez fort pour décrire ce que vient de réaliser François d’Haene. Le traileur du team Salomon vient de remporter l’édition 2014 de l’UTMB en établissant le nouveau record de l’épreuve en 20h11min44sec. On a longtemps cru qu’il serait capable de descendre sous les 20h mais finalement, une fin un peu difficile l’a forcé à ralentir le rythme alors qu’il savait qu’il avait course gagnée.

« C’est parti vite ! »

François d’Haene avoue avoir souffert du départ canon imposé par ses adversaires, trois espagnols, Iker Karerra, Tofol Castaner et Luis Alberto Hernando. Mais cette stratégie, le géant français la tournera finalement à son avantage en restant caché. « On avait bien compris qu’on n’était plus que quatre devant et que l’un de nous irait forcément au bout« . Il a attendu son heure et a posé son attaque au levé du jour, alors qu’Iker Karrera, lui, accusait le coup après une attaque trop violente à la sortie de Courmayeur. Finalement, François d’Haene finira seul. Une nouvelle victoire à mettre à son actif, après celle de l’Ultra-Trail du Mont Fuji cette année.

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Direction Réunion !

Il avait annoncé vouloir participer cette année, à la fois à l’UTMB et à La Diagonale de Fous à La Réunion. Après cette victoire autour du Mont Blanc, François d’Haene confirme. « Je n’ai pas mal, je me sens bien physiquement. Je crois que je suis en meilleure forme fin août cette année que l’année dernière, on verra bien ce que cela donnera à La Réunion! »

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Les espagnols main dans la main

Après l’explosion de Luis Alberto Hernando, les Espagnols se sont retrouvés à deux. Ne pouvant pas partir en chasse de François d’Haene, ils ont décidé de faire course commune pour franchir la ligne d’arrivée main dans la main. Ils sont arrivés à Chamonix en 20h55 de course.

Podium Homme UTMB

1 – François d’Haene (FRA) : 20h11min44sec

2 – Iker Karrera (ESP) : 20h55min42sec

2 ex aequo – Tofol Castaner : 20h55min42sec.

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Entraînez-vous !

Une bonne santé

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Alimentation

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