Urban Mud Race, relèverez-vous le défi des militaires ?

Qui de mieux placés que des militaires pour proposer un parcours du combattant digne de ce nom ? Partant du constat que les courses d’obstacles avaient le vent en poupe et forts de leur expertise en la matière, les militaires du Fort Neuf de Vincennes ont décidé d’organiser, les 13 et 14 juin, une course d’obstacles grandeur nature au sein même du Fort Neuf.

11 km de plaisir

« Le parcours fera 11 km et il y aura environ 25 obstacles… c’est en fonction de l’humeur du Colonel ! » le décors est planté par le Colonel Alain Didier. La course s’annonce exigeante dans un décors exclusif puisque les militaires ouvriront les portes du Fort Neuf de Vincennes au grand public. La course partira et arrivera dans le Fort avec de nombreux obstacles intra-muros. Une partie de la course se déroulera dans le Bois de Vincennes.

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Un large programme de recrutement

Le Colonel Alain Didier, en charge de l’événement, rappelle que l’armée n’a pas pour vocation de faire des bénéfices. Le but de cet événement est de lancer un large programme de recrutement. L’ensemble des bénéfices seront par la suite reverser à Terre Fraternité, association qui s’occupe des blessés de l’armée de Terre et des familles des militaires tués au combat ou morts en service. 

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Inscriptions Urban Mud Race :

  • 50€ pour les 1 500 premiers inscrits sur chaque journée, puis 60€.
  • Tarif équipe commando : 50€ pour chacun des « commandos » de l’équipe de 4 coureurs quel que soit le moment de l’inscription.
  • www.urbanmudrace.net

Retrouvez le teaser de la vidéo :

Affûtage, 3 pièges à éviter

Les derniers jours/semaines qui précèdent une course sont primordiaux. Après une longue période de préparation, il est désormais temps de penser à l’affutage. Pour éviter les pièges, suivez les conseils de Samir Baala, notre expert coaching.

Derniers jours

« N’essayez surtout pas de rattraper les séances manquées lors des derniers jours. C’est trop tard. Vous allez vous fatiguer inutilement sans pour autant progresser. Ajustez plutôt votre objectif en fonction de votre état de forme. »

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Garder l’intensité

« Réduisez le kilométrage mais pas l’intensité pour garder la mémoire musculaire des efforts passés. Une séance de fractionné (8 x 200 mètres) le mardi avant la course suivie d’une séance d’allure (2 x 5 minutes) le jeudi constituent une bonne piqûre de rappel pour l’organisme. »

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Surveiller son alimentation

« Remplacez un objectif d’entraînement par un objectif d’alimentation. Concentrez-vous sur la diététique la semaine précédant la course. »

Les 10 commandements du coureur solidaire

Courir pour une association est de plus en plus fréquent. De nombreuses courses proposent de reverser une partie ou la totalité des frais d’inscriptions à une fondation investie dans la recherche médicale ou l’humanitaire. Un autre principe solidaire consiste à lever des fonds pour avoir le droit d’accéder à un dossard. Vous aussi vous souhaitez courir pour la bonne cause ? Voici 10 conseils pour devenir un coureur solidaire.

1. DÉMARREZ DE BONNE HEURE

La collecte de fonds prend parfois du temps. Si vous avez choisi une course où les levés de fonds sont anticipés soyez sûr de vous y mettre suffisamment à l’avance, plusieurs mois avant votre course. Un échéancier peut être utile.

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2. CHOISISSEZ UNE ASSOCIATION QUI VOUS TIENT À CŒUR

Engagez-vous de préférence auprès d’une association dont l’action vous concerne directement (une maladie affectant l’un de vos proches, par exemple), ou qui véhicule une histoire personnelle.

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3. TROUVEZ LA BONNE COURSE

Sortez de votre zone de confort : un premier marathon, un trail particulièrement difficile, une course à l’étranger…

4. SOYEZ ORIGINAL

Plus votre démarche sort de l’ordinaire, plus elle a de chances de retenir l’attention. Le déguisement est une valeur sûre.

5. CRÉEZ VOTRE PAGE INTERNET

Seule plateforme française de collecte en ligne, Alvarum vous permet de créer votre page personnalisée, que vous pouvez alimenter régulièrement à la manière d’un blog. Les dons y sont directement adressés à l’association choisie.

6. FAITES-LE SAVOIR

Partagez votre page de collecte sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter…) et par e-mail. Alertez vos proches, vos amis, vos collègues et relancez-les de temps en temps. La presse locale peut relayer les initiatives originales.

7. DEMANDEZ DE L’AIDE

La plupart des associations apportent conseils et outils matériels pour optimiser votre collecte. Demandez également aux personnes de votre entourage d’en parler autour d’elles.

8. MULTIPLIEZ LES INITIATIVES

Vendre des gâteaux faits maison au bureau ou à l’école, promener le chien du voisin en allant courir, emballer des cadeaux pendant la période des fêtes… Toutes les idées sont les bienvenues. N’hésitez pas à contacter les entreprises pour obtenir des lots.

9. NE BAISSEZ PAS LES BRAS

La course approche et vous n’avez pas encore atteint votre objectif de collecte ? Ne désespérez pas, les dons arrivent souvent à la dernière minute, voire après la course.

10. REMERCIEZ VOS DONATEURS

N’oubliez pas de remercier personnellement vos donateurs, en leur envoyant pourquoi pas une photo sur la ligne d’arrivée ou avec votre médaille. Ils sont susceptibles de vous aider à nouveau.

Plan marathon en 3h15 sur 8 semaines

Vous le savez, le marathon de Paris c’est dans deux mois. Pour les coureurs possédant une VMA supérieure ou égale à 16,5 km/h, chez Runner’s World France, nous vous proposons deux plans marathon en 3h30 et 3h15, réalisés par Jean De Latour, entraîneur fédéral de course hors-stade.

Première phase

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Deuxième phase

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Plan marathon en 3h30 sur 8 semaines

Alors que le Marathon de Paris approche à grand pas, il est déjà l’heure de se lancer dans sa préparation. Suivre un plan d’entraînement, c’est un peu comme s’engager sur un nouveau chemin. Le parcours va durer plusieurs semaines et vous amener à vous retrouver dans des situations différentes. Il y a des étapes nécessaires et des passages obligés, l’objectif étant dans tous les cas d’arriver au top de votre forme le jour J.

Suivez ce plan marathon en 3h30 réalisé par notre expert : Jean De Latour, entraîneur fédéral de course hors stade.

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Attention, ce plan ne concerne que les coureurs ne possédant qu’une VMA supérieure ou égale à 16,5 km/h.

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Première phase

 

Deuxième phase

Epson Runsense SF-810 : le cardio à portée de main

Quand il s’agit d’imprimantes ou de vidéoprojecteurs, Epson possède une légitimité incontestée, mais en matière de montres, le fabricant japonais n’est pas vraiment une référence. Pourtant, à l’automne dernier, Epson a dévoilé sa gamme de montres connectées pour le running. Parmi elles, la Epson Runsense SF-810 a particulièrement attiré notre attention de part ses fonctions GPS mais surtout, son capteur cardiaque au poignet.

Fonctions

  • Montre
  • GPS
  • Altimétrie GPS
  • Fréquence cardiaque au poignet (lecteur optique)
  • Exercices programmables sur la montre
  • Analyse de foulée
  • Vibrations
  • Autonomie = 20h (GPS+ fréquence cardiaque) ou 30 h (GPS seul)
  • Etanche à 5 bars

Contenu de la boîte

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A l’ouverture de la boîte on retrouve la Epson Runsense SF-810, son manuel d’utilisation et un socle qui fait office de chargeur par broche via un câble USB.

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Look et Confort

L’Epson Runsense est sobre avec ses teintes de noir (sur le dessus) et de violet (sur le dessous). Elle est plutôt petite pour une montre GPS+cardio. Le capteur cardiaque optique situé sous la montre est discret. Au poignet son bracelet est très agréable et permet un serrage réglable parfait. A noter qu’il faut serrer la montre parfaitement pour avoir des données cardiaques fiables, mais pas d’inconfort à dénoter malgré tout.

Look + confort : 4/4

Précision des données GPS

Dehors, le signal GPS est très vite capturé, plus rapidement qu’une V800 de chez Polar par exemple. Epson l’a annoncé, le gros du travail a été axé sur la fiabilité et la performance des données GPS. Sur le trajet, rien à redire. Les données ont été comparées à des distances mesurées, à d’autres données GPS de montres et aux distances Google Maps. On a une variation de ± 1%. L’altimétrie se fait par GPS également. En milieu urbain sa précision est assez bonne, nous n’avons pas testé la montre en montagne avec de grosses variations de dénivelé, nous posons donc une réserve sur ce point.

Précision des données GPS : 3,5/4

Capteur Cardiaque

C’est le gros point fort de cette montre. Elle propose la lecture de la fréquence cardiaque au poignet grâce à un lecteur optique présenté par Mio sur son Alpha. La lecture de la fréquence cardiaque se fait grâce à la mesure optique du flux sanguin au niveau du poignet. Cette technologie, déjà présente sur les montres Tomtom, souffre d’un manque de précision et de perturbations dues à la poussière ou à la transpiration. Sur cette Epson Runsense, la mesure est assez fiable. Là encore, Epson affirme avoir réalisé un travail important pour améliorer la précisions des données. Sur le terrain, il est vrai que la fréquence cardiaque est beaucoup plus constante que sur une Tomtom. Cependant, on peut parfois perdre le signal, même si la montre est bien positionnée. Il faudra encore attendre un peu avant de se débarrasser définitivement de ses ceintures.

Capteur cardiaque : 3/4

Programmation des exercices

Lors du test avec Epson, on nous affirmait qu’il était possible de programmer la montre sur la plateforme Run connect. Or nous avons cherché, cherché encore, et encore, et rien. Si l’on souhaite programmer ses exercices il faut le faire à la main sur la montre. Elle offre la possibilité de créer quelques exercices même si, pour le moment, les possibilités ne sont pas infinies contrairement à une Garmin ou à une Polar par exemple. Les écrans sont programmables et offrent une large possibilité de configurations différentes.

Autonomie

Le travail réalisé par Epson sur les données GPS ne s’arrête pas à la précision des données mais également aux ressources nécessaires pour faire tourner la puce. C’est pourquoi, malgré une montre assez fine, il est possible de courir 20 heures d’affilée avec son Epson Runsense SF-810 et on peut même espérer 30 heures si l’on désactive le capteur cardiaque. On comprend par ailleurs très vite que cette autonomie est due à une absence d’appétit de la montre en course, car, en mode veille quotidien, la montre se décharge très vite. Impossible de tenir une semaine sans avoir à la recharger. Dommage !

Autonomie : 3,5/4

Plateforme

Epson mise sur un portail Runsense View pour vous permettre d’analyser vos séances. Le téléchargement des données depuis la montre se fait à travers l’application Run Connect. Pour le moment, il s’agit du gros point noir de la Epson Runsense. L’application testée sur iPad ou iPhone est très lente, elle ne réagit pas toujours et souffre de quelques bugs. Le portail quand à lui permet d’analyser les données mais n’offre pas un grand choix d’outils. Les graphiques ne sont pas complètement personnalisables, limitant alors l’utilisateur dans son analyse. Il est impossible de rogner une partie de son entraînement. Cela est embêtant, par exemple, lorsque l’on réalise une course de 10 km et que l’on ne coupe pas l’activité de la montre immédiatement après la ligne d’arrivée. Il n’y a pas de possibilités d’analyser de manière automatique, sa course kilomètre par kilomètre si l’option n’a pas été au préalable activée sur la montre. L’analyse des tours est également très pauvre.

Soyons cependant indulgent. Epson est tout nouveau dans le milieu du running. Tous ces défauts de programmation son facilement modifiables. Nous avons fait remonter notre analyse auprès des responsables de la marque. Espérons qu’une mise à jour soit disponible très rapidement.

Plateforme : 1/4

Conclusion

La Epson Runsense SF-810 est une très bonne montre de running qui, en plus d’un GPS très précis, permet une analyse de la fréquence cardiaque au poignet. Son prix est également un argument de poids face à ses concurrentes directes (Garmin Forerunner 620 ou Polar V800). Pour devenir un véritable best-seller, Epson devra travailler sur sa plateforme qui pour le moment est bien loin de Garmin Connect ou de Polar Flow.

Epson Runsense SF-810
Prix public conseillé : 349,99€
Note Runner’s World France : 15/20

4 exercices pour éviter les blessures

Le pont

Cibles: des fessiers plus fermes, des muscles de hanche stabilisés.

Comment faire ? Allongé sur le dos, les pieds posés sur le sol et écartés de la largeur du bassin, bras le long du corps. Contractez vos fessiers en décollant votre bassin. Lorsque vos cuisses sont dans l’alignement de votre dos, maintenez la position dix secondes puis descendez lentement et recommencez 10 fois. Faites 2 séries de 10 à 15 répétitions.

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Relevez le défi ! En position haute, décollez un pied de quelques centimètres. Ne laissez pas votre bassin bouger. Posez le pied au sol puis alternez avec l’autre. Faites 3 séries de 30.

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La coquille

Cibles : les rotateurs des hanches et le buste.

Comment faire ? Allongé sur votre côté gauche, ramenez la jambe droite sur la gauche et pliez vos deux genoux à 90 degrés. Placez ensuite votre tête sur votre bras gauche tendu dans l’alignement de votre dos. En contractant les muscles abdominaux et en gardant les chevilles bien serrées, levez votre genou droit de 15 à 20 centimètres au-dessus du gauche. Puis baissez-le doucement. Faites 2 séries de 10 à 15 répétitions.

Relevez le défi ! Réalisez le même mouvement en position assise, genoux à angle droit. Placez les mains à l’extérieur des genoux et poussez contre les genoux avec les mains.

Le chien d’arrêt

Cibles : les muscles du tronc.

Comment faire ? Prenez appui sur vos mains et vos genoux, muscles du buste contractés. Levez la jambe gauche bien droite derrière en même temps que vous levez le bras droit devant. Le bas du dos doit rester immobile. Posez si besoin une frite en mousse ou un bâton sur le bas de votre dos afin de mieux vous en rendre compte (l’accessoire ne doit pas bouger pendant le mouvement). Maintenez la position pendant cinq secondes, puis revenez à la position de départ. Répétez de l’autre côté. Faites 10 répétitions.

Relevez le défi ! Dix répétitions à la suite (sur un côté) sans jamais toucher le sol.

La boussole

Cibles : travaille les fessiers et l’équilibre.

Comment faire ? Attachez un élastique ou une bande d’exercice (type Thera-Band®) à un objet stable (une table, par exemple), placez-y votre pied droit et enroulez la bande autour de votre cheville. Faites comme si vous étiez debout sur une horloge : vous faites alors face à 12 heures. En appui sur le pied gauche, muscles du tronc et des fessiers contractés, tirez le pied droit en arrière jusqu’à 6 heures. Répétez ce mouvement 20 fois sans que votre pied ne touche le sol. Ensuite, tournez de 90 degrés sur votre droite : vous faites maintenant face à 3 heures. Recommencez 20 fois les mouvements de votre pied droit vers 6 heures. Puis tournez-vous encore de 90 degrés supplémentaires : vous êtes maintenant face à 6 heures. Tendez votre pied vers cette direction encore 20 fois. Et enfin, tournez-vous encore de 90 degrés pour faire face à 9 heures et réalisez 20 fois de plus le mouvement de votre pied vers 6 heures. Recommencez le tout de l’autre côté.

Relevez le défi ! Effectuez le même exercice debout, sur une serviette pliée, un coussin ou toute autre surface légèrement instable.

Courir sur tapis pour optimiser la rééducation

On en trouve aujourd’hui de plus en plus dans les centres de rééducation sportive et dans certaines salles de sport. Ces tapis de course, qui ont fait leur apparition aux États-Unis, ne sont plus seulement réservés aux seuls vestiaires des grosses écuries de foot, comme le Real Madrid ou le PSG (le prix d’un tel jouet varie entre 30 000 et 60 000 euros) qui les utilisent régulièrement pour soigner leurs joueurs. « J’ai découvert le tapis antigravité à l’université de Stanford aux États-Unis, où j’ai travaillé, explique Hervé Collado, médecin du sport auprès de la Fédération française de triathlon et de paratriathlon. J’ai ensuite convaincu le directeur du centre de rééducation de Capbreton d’acquérir un tout premier exemplaire. » À l’origine, le système a été conçu par la Nasa.

Le principe est assez simple, le tapis de course est placé dans une sorte de housse gonflable, étanche. « L’utilisateur passe ses jambes à l’intérieur de la housse, le bas du corps est totalement isolé. La machine place alors les membres inférieurs en apesanteur, et en conséquence le coureur est délesté d’une partie de son poids » ( jusqu’à 80 %), explique Emmanuel Bozzi, représentant commercial d’Alter- G, la seule marque proposant ce système en France.

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« Un coureur de 100 kilos n’en pèsera plus que 20 ! « 

« Si l’on pousse au maximum, une personne pesant 100 kilos subira les traumatismes des impacts au sol d’un coureur pesant seulement 20 kilos. Les bénéfices pour les sportifs blessés qui souhaitent reprendre l’entraînement plus rapidement sont forcément très intéressants, complète Hervé Collado. Cela permet la reprise progressive des appuis. L’outil se révèle particulièrement adapté à la rééducation après une fracture ou une entorse grave des membres inférieurs – cheville, genou ou fémur. » C’est un bon moyen de mesurer précisément les progrès des patients, car on peut augmenter progressivement le poids du corps. Les séances durent de 10 à 15 minutes et la vitesse du tapis est réglée par le thérapeute, la machine pouvant aller jusqu’à 19 km/h.

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Performance et guérison.

Que ce soit pour un tapis antigravité ou pour un tapis de course aquatique, l’effet recherché est le même. « Toutefois, la résistance de l’eau est plus forte, on peut donc moins jouer sur le poids. Mais l’eau a aussi un effet bienfaisant et antalgique plus important. » N’espérez pas pour autant vous débarrasser d’une séance de fractionné en courant paisiblement dans votre piscine, l’objectif principal restant la réhabilitation après blessure. Néanmoins, ce système est largement utilisé pour les séances de décrassage et pour la récupération après un gros effort. « Certains athlètes augmentent aussi leur kilométrage et leur capacité cardio-vasculaire sans subir de traumatisme des membres inférieurs. » Plusieurs légendes de la course à pied l’utilisent dans leur entraînement, comme la championne du monde en titre de marathon, Paula Radcliffe, ou le célèbre entraîneur américain Alberto Salazar, qui le recommande à ses coureurs.

« Nous proposons un modèle de tapis antigravité spécifiquement conçu pour l’entraînement, capable d’atteindre une vitesse de 28 km/ h », explique le représentant commercial d’Alter-G. Le Centre technique national de Clairefontaine ou encore l’INSEP (Institut national du sport, de l’expertise et de la performance), deux structures sportives spécialisées et reconnues, ont succombé aux avantages des tapis antigravité. Mais aujourd’hui, vous aurez tout de même plus de chance de vous trouver face à un de ces engins dans un centre spécialisé en rééducation. Mais ça, on ne vous le souhaite pas.

Semi de Boulogne : une course à records

Même si à l’avant de la course, les records ne sont pas tombés cette année, le peloton, lui, a connu une édition 2014 fructueuse. En effet, parmi les personnes ayant déjà participé à un semi-marathon, 49,6% d’entre-elles ont vu leur record amélioré au bout des 21km dans les rues de Boulogne-Billancourt.

Un parcours plat, ou presque

Il est vrai que le parcours du Semi de Boulogne est réputé pour être plat, ou du moins sur le papier. Il faut malgré tout se méfier d’une côte assez longue juste avant le 10e km et de deux tunnels « casses-pâtes » sur le retour. Ces trois difficultés surmontées, le parcours est roulant à souhait. Ce dimanche, la météo plutôt clémente au vu des averses de ces deux derniers jours, a permis à de nombreux concurrents d’établir leur record personnel.

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Chez les élites

C’est l’Ethiopien Itayal ATnafu qui remporte la course en 1h01min03sec suivi à une seconde du Kenyan James Rungaru (1h01min04sec). L’Ethiopien Yihunilign Adane (1h01min34sec) complète le podium.

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Chez les femmes la Kenyane Bekelech Daba Bedaba l’emporte en 1h11min10sec. Zewdnesh Ayele Belachew termine deuxième en 1h11min37sec alors que la française Laurane Picoche complète le podium en 1h12min32sec.

Retrouvez tous les résultats sur : www.semi-marathonbb.fr

Prenez de la hauteur sur La Verticale de la Tour Eiffel

La Tour Eiffel est le symbole de la ville de Paris. Ce monument de plus de 300 mètres de haut domine la Capitale depuis 1889. Tout touriste qui se respecte rêve d’y monter, mais tout traileur digne de ce nom a déjà imaginé au moins une fois grimper au sommet le plus vite possible.

C’est désormais possible grâce à La Verticale de la Tour Eiffel, la toute dernière course de l’EcoTrail. Au programme, 279 mètres d’ascension qui vous mèneront jusqu’au sommet en passant par 1665 marches (quand même…) L’épreuve sera organisée en soirée du vendredi 20 mars 2015.

Le lendemain, les courses habituelles de l’EcoTrail (30, 50 et 80 km) auront lieu comme lors des éditions précédentes. Les traileurs du 80 km retrouveront eux-aussi la Tour Eiffel car l’arrivée du grand format se fera au premier étage de la Dame de Fer.

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Retrouvez toutes les informations sur www.verticaletoureiffel.fr et sur www.traildeparis.com

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