Découvrez six chaussures spéciales marathon

Découvrez six chaussures spéciales marathon.

Skechers GOmeb Speed 2

Skechers GOmeb Speed 2.

Malgré son look épuré, cette Skechers fait bien parti des chaussures spéciales marathon. Elle s’appuie sur le succès du premier modèle en renouvelant la M-Strike Technology qui favorise une attaque médio-pied. La semelle intermédiaire Resalyte permet d’absorber convenablement les chocs. Le drop de 4mm et son poids plume en font résolument une chaussure dédiée à la vitesse et au coureur averti sur marathon.

Notre avis : Oubliez ici tout concept d’amorti et de confort, ici on garde le strict minimum pour aller le plus vite possible. La plaque de stabilité sous l’ensemble du pied permet d’accompagner la foulée, toujours dans le but de se projeter vers l’avant. Le dynamisme est impressionnant et donne envie d’en rajouter une couche à chaque foulée. Les plots placés au niveau de la semelle extérieure, propres à la marque américaine, offrent une accroche sensationnelle sur le sol sec ou mouillé. Rappelons que ce genre de chaussures ne s’adresse qu’à un certain type de coureurs, légers et dynamiques, à l’attaque médio-pied, recherchant  la performance.

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Poids : 193g (42,5H) / Prix : 115€

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Nike LunarGlide+ 5

Cette LunarGlide+ 5 est un concentré de technologies made in Nike. On y retrouve la technologie Flywire, qui permet d’offrir un maintien parfait au pied au niveau du mesh. l’amorti Lunarlon de la chaussure, composé d’une mousse à la fois souple et résistante, offre également un rebond dynamique tout en favorisant la légèreté. La LunarGlide+ 5 est compatible avec l’application Nike+.

Notre avis : Lorsque nous avons essayé cette chaussure, la première impression de confort semblait cacher le dynamisme annoncé. Sur le terrain, il n’en est rien. La LunarGlide+ 5 brise tous les codes en offrant une totale polyvalence. Confort, bon maintien, la chaussure répond dès qu’on la sollicite et l’amorti réagit très bien. Son comportement ne varie pas, que ce soit sur terrain dur ou stabilisé. On peut monter dans les tours et accélérer, cette Nike est très joueuse. Une véritable révélation. Nous la conseillons à tout coureur cherchant des chaussures spéciales marathon confortables ne négligeant pas le dynamisme.

Poids : 281g (42H) / Prix : 130€

Asics Gel-Kayano 20

Ces chaussure spéciales marathon sont un best-seller. On retrouve sur cette dernière version toutes les technologies habituelles, à savoir l’absorption des chocs par le système Gel, sous le talon et l’avant-pied, et le système de maintien Dynamic DuoMax antipronation. Des innovations viennent s’ajouter à cela : la tige FluidFit en mesh extensible et respirant, composée de nombreux renforts multidirectionnels qui permettent d’épouser parfaitement la forme du pied, et le système FluidRide, placé au niveau de la semelle intermédiaire, qui renforce l’amorti sans alourdir la chaussure.

Notre avis : Dès les premières foulées, on ressent cette impression d’amorti grâce au fameux Gel, bien marqué au niveau du talon mais plus discret sur l’avant-pied, accordant plus de place au dynamisme. Malgré une certaine lourdeur, la Kayano compense avec un renvoi efficace sur la phase d’impulsion. La semelle accroche parfaitement au sol, même sur les changements de directions soudains. Petit bémol, mêm si le système DuoMax contre la pronation est très bien pensé, les coureurs universels ou supinateurs n’y trouveront pas leur place.

Poids : 310g (42,5H) / Prix 175€

Saucony Triumph 11

Cette Saucony Triumph 11 est LA représente des chaussures spéciales marathon de chez Saucony. Le système PowerGrid assure l’amorti et la réactivité. Des encoches de flexion sous la semelle assurent la transition avant-arrière de la chaussure. Le talon est maintenu par le Sauc-Fit qui offre également une plus grande flexibilité à la chaussure.

Notre avis : Le look de cette Saucony est très flashy, peut être un peu trop ? Le confort nous fait vite oublier ce petit détail. On est bien et le pied n’est pas à l’étroit. Le drop, de 8mm, reste confortable. Le dynamisme de la chaussure est très bon et l’amorti très convenable. Même sur des séances de fartlek ou de vitesse, la Triumph 11 ne se laisse pas submerger. Petit bémol, la chaussure est légèrement lourde pour être sûr d’offrir les meilleurs résultats en compétition.

Poids : 295g (42,5H) / Prix : 150€

NB 1080 V4

Cette 1080 V4 allie amorti et stabilité afin d’offrir aux coureurs une protection pour de longues distances. La stabilité est assurée par le système T-Beam alors que l’amorti est assuré par le système N2. La technologie Abzorb vient compléter ce système pour améliorer la stabilité notamment au niveau du talon. Au niveau supérieur, le FantomFit permet de réduire les irritations grâce à la superposition de coutures. Le drop de 8 mm permet de conserver un confort de foulée au fur et à mesure des kilomètres.

Notre avis : Si on devait décrire cette NB 1080 V4 en un mot, ça serait SECURITE ! En effet, dès qu’on la chausse, on se sent protégé avec son amorti remarquable du talon aux orteils! Et tout en ayant cette excellente absorption des chocs, elle conserve un dynamisme intéressant. Concernant le confort, son mesh, sans couture et ultra respirant, rend ce modèle agréable à porter, permettant un ajustement parfait du pied avec le chausson et une absence de frottements appréciable. Au niveau adhérence, elle est clairement conçue pour la route, elle pourra vous accompagner sur chemin mais il ne faut pas en attendre le même répondant si le terrain est trop technique. Pour résumer, cette version 4 de la New Balance 1080 au look flashy est destinée aux coureurs souhaitant des chaussures spéciales marathon avec un maximum de protection, vous pourrez ainsi avaler un grand nombre de kilomètres en toute sécurité.

Poids : 292g (42,5H) / Prix : 149,50€

Kalenji Kiprun LD

L’ensemble des modèles de la gamme Kalenji se dote désormais du K-Ring. Ce petit donut situé à l’arrière de la chaussure est chargé d’assurer l’amorti lors de l’impact du talon. Ainsi, c’est 12% d’amorti en plus par rapport à la version précédente des Kalenji LD, les chaussures spéciales marathon de chez Kalenji. Le concept Arkstab assure la stabilité tandis que le drop a été rabaissé de 2mm. Le modèle homme se décline en version universelle ou pronation alors que chez les femmes, seule la version pronation existe.

Notre avis :  Cette Kalenji Kiprun LD surprend par son effet « mousse » autour de la cheville qui propose de belles sensations. L’avant du pied bénéficie d’un excellent placement ainsi que d’une liberté de mouvement agréable. C’est sur les sorties longues que ce modèle s’exprime clairement et offre un maintien ainsi qu’un amorti fort appréciables. Lorsque la foulée fatigue, la chaussure répond et permet de conserver une allure soutenue. Niveau grip, là aussi, rien à dire, que ce soit sur sec ou sur humide, la semelle accroche idéalement. En conclusion, malgré une certaine lourdeur, ce modèle sait se montrer confortable et offre un amorti et un maintien exceptionnels sur longues distances. Idéal pour des coureurs recherchant des chaussures spéciales marathon avec un très bon rapport qualité/prix.

Poids : 330g (43H) / Prix : 89,95€

Découvrez six « super » aliments antiblessures

Découvrez six « super » aliments antiblessures

La myrtille, premier aliment antiblessures. Les polyphénols que contient en nombre cette baie sauvage améliore votre résistance osseuse, selon une étude publiée dans le Journal of Bone and Mineral Research. Consommez-en trois poignées par semaine.

Le miel, deuxième aliment antiblessures. Les acides aminés de ce liquide doré aide votre organisme à absorber le calcium de manière efficace, selon les scientifiques américains de l’Université de Purdue. Consommez-en une cuillière à soupe, trois fois par semaine.

Les fèves de soja (ou edamane), troisième aliment antiblessures. Ces haricots d’origine japonaise contiennent des protéines de soja, riches en isoflavones, des hormones végétales aux propriétés anti-inflammatoires. Une étude de l’Université d’Oklahoma montre même que la consommation quotidienne de ces protéines pendant trois mois permet de réduire une douleur au genou. Consommez-en 100g, trois fois par semaine.

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Le maquereau fumé, quatrième aliment antiblessures. Ce poisson riche en omégas 3 aide à réduire de manière significative douleurs articulaires et raideurs matinales, disent les chercheurs de la Harvard Medical School. Consommez-en deux filets par semaine.

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Le poivron rouge, cinquième aliment antiblessures. C’est le champion toutes catégories en vitamine C, cruciale pour la réparation du tissu et du cartilage. Consommez-en trois fois par semaine.

Les graines de citrouille, sixième aliment antiblessures. Elles sont bourrées de magnésium, qui combat le vieillissement des cellules et crée du collagène dans les tendons et les ligaments, selon une recherche de l’Académie Nationale des Sciences. Consommez-en 20g, trois fois par semaine.

Ecotrail de Paris, quand le trail s’invite en ville.

Ecotrail de Paris, quand le trail s’invite en ville.

Pour la septième édition de l’Ecotrail de Paris, ce sont à nouveau trois courses principales qui sont proposées aux concurrents : 30, 50 et 80 kms. Au total ce sera plus de 7000 participants qui arpenteront les sentiers franciliens. Les 3 courses de l’Ecotrail.

  • Le 30 kms partira le samedi 29 mars 2014 à 10h00 de Meudon et réunira 3300 coureurs. Du côté des favoris, Pierre Gayraud est clairement attendu suite à sa 3ème place de l’année dernière.
  • Le 50 kms partira à 10h45 de Versailles et verra 1900 coureurs s’affronter. Benoît Gandelot et Alexandra Piedigrossi, tous deux 2ème de l’Ecotrail 2013, se présentent comme favoris sur cette distance intermédiaire.
  • Le 80 kms, épreuve reine et étape du Trail Tour National 2014, partira à 12h00. Ce sont également 1900 concurrents qui s’élanceront sur cette distance ultime. Le niveau sera relevé avec la présence de Sylvain Court, Erik Clavery, Michael Boch et Manu Gault chez les hommes. Chez les femmes, un duel semble se profiler entre Sylvaine Cussot et Laurelyne Gaussens.

L’Ecotrail de Paris, une course labellisée « Développement durable, le sport s’engage® ». Cela fait maintenant 3 ans que l’Ecotrail affiche fièrement ce label labellisée « Développement durable, le sport s’engage® » synonyme de partenariat avec l’Officie National des Forêts et d’un effort considérable réalisé sur la propreté et sur l’empreinte carbone de la course. Ce label est décerné par le Comité National Olympique et Sportif Français. Comment suivre l’Ecotrail ? Trois solutions vous seront proposées pour suivre en direct l’Ecotrail de Paris.

  • Vous pouvez suivre la géocalisation en temps réel d’un coureur grâce à NEXXTEP et LIVE TRAIL.
  • Une Webradio, Radio Moustic, commentera la course en direct du village de l’Ecotrail. Musique, Interviews, commentaires vous seront proposés tout au long du programme.
  • Vous pourrez également suivre l’événement à travers les applications Iphone et Android « Eco-Trail Paris Ile-de-France »

Suivez-nous lors des tables rondes web radio. Runner’s World France a été invité lors des tables rondes web radio, le vendredi 28 mars, de 15h15 à 17h15. A l’occasion de cet événement nous participerons à des discussions autour de l’International Trail Running Association et de l’Ultra-Trail World Tour. N’hésitez pas à vous connecter sur Radio Moustic pour nous suivre.   Pour toujours plus d’événements n’hésitez pas à nous suivre sur notre page Facebook.

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L’hydratation, quand et comment faire le plein ?

L'hydratation, quand et comment faire le plein?

L’hydratation est primordiale au cours d’une séance effectuée en pleine chaleur. Si vous n’êtes pas suffisamment hydraté, votre volume sanguin baissera et votre coeur devra travailler davantage pour alimenter vos muscles et vous garder au frais. En matière d’hydratation, chaque coureur possède des besoins différents, qui varient en fonction du poids, du niveau de sudation par rapport à la température, à l’humidité et à l’altitude par exemple. Pour autant, cela ne signifie pas que vous devez laisser votre programme d’hydratation au hasard. Ces recommandations vous aideront à étancher votre soif avant, pendant, et après votre course.

L’hydratation avant la course

Une des meilleures façons de limiter le risque de déshydratation durant une course consiste à vous hydrater suffisamment avant. La couleur de vos urines est un bon indice sur ce point. Des urines claires signifient que vous buvez trop. Si la couleur vire au « thé glacé », vous devez boire davantage. Si la couleur s’apparente plutôt à une limonade pâle ou jaune paille, c’est que vous êtes bien hydraté. Ce que vous devriez boire dépend de la durée de votre course, de ce que votre estomac peut tolérer et de votre degré de déshydratation. A l’exception de l’alcool, toutes les boissons (eau, boissons pour le sport, café, thé, et lait) vous aideront à rester hydraté toute la journée, sachant qu’en règle générale, on recommande de boire entre 170ml à 230 ml juste avant une course.

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L’hydratation pendant la course

Si vous partez courir 30 kilomètres, prévoir un ravitaillement liquide à mi-course est une évidence. Mais que faire si vous courez une petite heure? Ou si vous effectuez 45 minutes de fractionné? Les recommandations en matière d’hydratation ont évolué ces deux dernières décennies. Une école met l’accent sur le problème de l’hyperhydratation des sportifs, insistant sur le fait que notre organisme est superbement réglé et nous incite à boire lorsque nous avons soif. D’autres spécialistes recommandent de boire suffisamment afin de ne pas perdre plus de 3% de son poids par la transpiration, pourcentage au-dessus duquel la performance en pâtit. Pour mesurer votre transpiration, un test simple : pesez-vous nu avant une course et gardez en mémoire la quantité d’eau absorbée en course. Pesez-vous nu de nouveau après votre séance, en ajoutant à votre poids la quantité d’eau consommée. Notez qu’au-delà d’une heure de course, les boissons de l’effort vous seront bénéfiques. Ces produits énergétiques contiennent de précieux glucides, utiles à vos muscles en plein effort et des électrolytes comme le sodium et le potassium, que vous éliminez par la sueur.

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L’hydratation après la course

Une fois l’effort accompli, buvez jusqu’à ce que vous vous sentiez bien hydraté. La notion de soif est un bon guide. Si vous possédez des marques blanches sur le visage, cela signifie que vous avez perdu un peu de sodium, perte que vous pourrez compenser avec une boisson énergétique qui en contient. Après une course longue et difficile, vous aurez aussi besoin de protéines pour aider vos muscles à refaire le plein.

Questions de coureurs : nous vous répondons

Questions de coureurs : Runner's World vous répond.

Je n’arrive pas à courir plus d’une minute sans marcher, que dois-je faire?

Lorsque l’on débute la course à pied il est fréquent de ne pas réussir à courir, même à un rythme bas, pendant de longues minutes. Ce n’est pas une fatalité et cela ne doit pas vous freiner. Concentrez-vous sur la durée de votre course. Faites des pauses régulières en marchant pour réduire l’impression de fatigue. Cela vous aidera à parcourir une plus grande distance. Si vous voulez réussir à dépasser une minute sans vous arrêter, ajoutez 10 secondes à chaque répétition, une fois par semaine.

Comment réussir à se motiver quand on se sent lessiver et en méforme?

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La fatigue physique et/ou mentale est liée à une charge trop importante dans un ou plusieurs domaines de votre vie. Si c’est le sport qui est concerné, levez simplement le pied, courir en méforme peut parfois être plus catastrophique que de louper quelques séances (blessures, ras le bol complet, etc…). Prenez quelques jours de repos. Lors du premier footing de reprise alternez 30 secondes de course, suivies de 30 secondes de marche, durant 10 minutes de course. Si vous vous sentez bien, augmentez progressivement le temps de course, jusqu’à ce que les sensations soient revenues. Si, par contre, la fatigue vient d’un domaine professionnel ou personnel, lâchez du lest en course à pied. Il ne faut surtout pas que votre sport devienne un fardeau ou une obligation. Il est et doit rester une source de plaisir. Si vous ne pouvez pas courir une semaine, tant pis! Si vous allez manquer telle ou telle épreuve planifiée, tant pis! Retrouvez d’abord un équilibre dans votre vie et ne sortez courir que si vous en avez le temps et l’envie. Laissez le chrono à la maison et écoutez-vous. Regardez autour de vous! Quand on court pour le plaisir on voit la vie autrement!

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Comment faire si on ne peut pas courir plus de 30 minutes par jour?

C’est déjà bien assez pour s’entrainer et progresser. Prévoyez un objectif pour chaque séance, comme aller plus vite, travailler sa posture, etc… Vous pouvez faire des côtes le mardi et planifier un footing le mercredi, par exemple. A mesure que vous allez progresser, vous serez capable d’allonger les distances, jusqu’à courir 5 kilomètres (ou plus) en une demi-heure. Il sera alors temps d’épingler un premier dossard sur 5000 mètres.

Je panique avant ma première course, que faire?

Maîtrisez le stress en essayant de planifier des reconnaissances. Rendez-vous sur une course pour vous imprégner de l’ambiance et comprendre l’organisation. Le retrait des dossards, l’échauffement, les sas, autant de nouveautés à découvrir avant d’arriver sur la ligne de départ. C’est un bon moyen pour dédramatiser et aborder sereinement son premier dossard. Si vous habitez près de la course, vous pouvez également aller découvrir le parcours (en marchant et/ou en courant), sans dépasser 5 kilomètres. Si la course est connue, vous trouverez également de nombreux avis de coureurs sur internet.

Dans quel sens doit-on courir quand on est proche de la circulation?

En règle générale, il est beaucoup plus sûr de courir face aux voitures (sur le côté bien évidemment), car vous pourrez plus facilement anticiper les dangers et réagir en cas de problème. Attention aux virages, ils sont un peu particuliers et l’on conseille alors de courir à l’extérieur du virage pour être plus visible. Il est également préférable, lorsque l’on court près des voitures, de courir sans musique et de rester concentrer à l’environnement qui nous entoure. Souvenez-vous enfin que si vous ne voyez pas le conducteur du véhicule qui arrive, lui ne vous voit pas non plus.

Retrouvez les dernières questions de coureurs en suivant ce lien.

Wings for Life World Run : une course pour des ailes !

Faisons un constat simple : depuis l’explosion du running, les courses en France se multiplient. Il devient alors difficile de choisir comment remplir son calendrier sportif. Malgré tout, certaines courses se démarquent de part leur concept original et/ou de part la cause qu’elles défendent. Wings for Life World Run, cette course d’un genre tout nouveau, se démarque doublement.

Wings for Life World Run, une course pour un combat !

Avant même de parler du concept complètement inédit de Wings for Life World Run, parlons de la cause que cette course défend. La fondation Wings For Life finance la recherche d’un traitement des lésions de la moelle épinière. 100% des recettes générées par l’événement iront à la fondation. Le but sera alors de courir pour ceux qui ne peuvent pas le faire.

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Wings for Life World Run, un concept inédit !

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Nous vous le disions, le concept de Wings for Life World Run est complétement inédit puisqu’ici, ce ne sera pas le coureur qui chassera la ligne d’arrivée, mais la ligne d’arrivée qui poursuivra le coureur ! En effet, une demi-heure après le départ de la course, des voitures balais s’élanceront à la poursuite des coureurs. Leur vitesse augmentera alors, à intervalle régulier, de 15 à 35 km/h (au bout de 5h d’effort). Dès qu’un coureur se fait rattraper par la voiture, il s’arrête. Le vainqueur est le dernier concurrent encore en course.

Les coureurs ne savent donc pas (sauf en effectuant un calcul complexe) combien de temps, ni combien de kilomètres, ils vont courir.

Wings for Life World Run : la planète à l’unisson !

La dernière particularité de cette course est qu’elle sera déclinée sur les cinq continents…en simultané !!! Et oui, aux Etats-Unis, en Corée du Sud, en inde, en Afrique du Sud, ou encore en Australie, tout le monde partira à 11h00 heure universelle (12h00 chez nous). En ce qui concerne la France, la course se déroulera en Bretagne du côté d’Hennebont. Le dernier et la dernière en course, seront alors déclarés champions planétaires ! Bien évidemment, chaque pays possédera également son champion.

Participez à la Wings for Life World Run.

La course se déroulera 4 mai 2014 à Hennebont (Bretagne). Le départ sera donc donné à 12h00 heure locale.

Les inscriptions sont possibles sur http://www.wingsforlifeworldrun.com/fr/

Pour vous mettre en attente, voici la vidéo de l’événement.


Teaser Wings for Life World Run France par RedBull

Les appareils d’électrostimulation : le dossier test de la semaine

Ce matin nous vous parlons de l’électrostimulation, cette méthode qui permet d’optimiser la guérison de certaines blessures, la récupération, ou sa préparation physique générale. Pour vous aider à choisir votre futur appareil, nous avons comparé pour vous quatre appareils d’électrostimulation qui se destinent aux coureurs.

Compex Wireless : Le Must

Que dire du Compex Wireless à part qu’il fait à peu près tout ce qu’il est possible de faire en matière d’électrostimulation sportive. Pour commencer, comme son nom l’indique, il est sans fil. Terminées les parties de démêlage et à vous la liberté lors des séances de renforcement et/ou de récupération. Le Wireless propose un service en ligne qui vous permet de télécharger plus de 50 programmes en fonction de votre pratique et des effets que vous recherchez. Pour mieux gérer votre préparation et votre récupération, l’appareil propose un calendrier intégré où vous pourrez programmer vos séances. Vous pouvez également fixer des objectifs et le Wireless vous aide à les atteindre. En ce qui concerne les électrodes, le Wireless en comporte 8 qui vont de paire. Chaque électrode d’une paire est séparée par un fil d’une trentaine de centimètres, ce qui permet aisément d’étendre les électrodes de part et d’autre d’un groupe musculaire.

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Notre avis : Le Wireless est actuellement ce qui se fait de mieux sur le marché, là-dessus nous sommes catégoriques. Le fait de se débarrasser des fils, de pouvoir gérer 8 électrodes sur 4 canaux différents et proposer des programmes à la carte avec un calendrier d’action et un guide pour atteindre ses objectifs, permet d’aborder sa préparation physique sereinement. Oui mais voilà…la qualité a un prix. Et celui du Wireless est, à notre sens, exorbitant. 1249 euros pour un appareil d’électrostimulation, c’est beaucoup. Alors oui, il est capable de tout faire, et de le faire très bien, mais à ce prix là le Wireless ne s’adresse qu’à une élite qui accorde beaucoup d’importance aux soins paramédicaux. Dommage.

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Prix : 1249€, www.compex.info/fr_FR/

Slendertone Optimum : le complet

Slendertone est une marque montante de l’électrostimulation musculaire. Avec le Optimum la marque propose un appareil comme ceux que l’on a l’habitude de croiser dans les cabinets de nos chers kinés. Ici on a un boîtier où l’on peut brancher 4 fils au bout desquels se fixent 8 électrodes. L’Optimum propose 23 programmes couvrant le renforcement et la récupération, en passant par les soins et le soulagement de la douleur. Les paires d’électrodes sont réglables indépendamment permettant ainsi d’accentuer un muscle par rapport à un autre et de décupler les groupes musculaires sur un seul exercice.

Notre avis : Il s’agit ici d’un appareil très complet. Le Slendertone Optimum ressemble beaucoup aux appareils que l’on utilise dans les salles de rééducation chez les spécialistes. L’appareil est simple d’utilisation et efficace. Les 23 programmes couvrent complètement les besoins du sportif quelque soit son niveau. Son prix lui permet de se placer à hauteur de la concurrence. Avec 30 heures d’autonomie après 3 heures de charge il présente une autonomie intéressante surtout lors de voyages. Le Slendertone Optimum se destine au coureur souhaitant un bon appareil d’électrostimulation, complet et simple d’utilisation.

Prix : 399€, www.slendertone.com/fr-fr/

Sport-Elec Free Action : Le coup de cœur

Sportelec souffre d’une image « télé-achat » où la marque a été présente pendant de longues années. Pourtant cette marque, spécialiste de l’électrostimulation, propose de nombreux produits très bien pensés destinés aux sportifs, et donc, aux coureurs que nous sommes. Le Sport-Elec Free Action en fait partie. Destiné aux sportifs souhaitant allier renforcement musculaire et récupération, le Free Action est un appareil d’électrostimulation à écran tactile et complètement sans fil ! Il est possible de l’acheter dans sa version de base avec deux minis moteurs sans fil déportés, ou de monter jusqu’à 4 moteurs en même temps. Chacun de ces petits moteurs permet de fixer en ses extrémités deux électrodes qui permettront de stimuler le muscle de votre choix. 14 programmes vous sont proposés à travers deux thématiques « Sport » (8 programmes) et « Santé » (6 programmes).

Notre avis : Le Free Action est une véritable surprise en ce qui nous concerne. Nous avouons honteusement que nous ne connaissions pas cette marque avant de s’intéresser à cette thématique. Or, Sport-Elec et le Free Action gagnent à être connus. Totalement sans fil l’appareil permet une liberté totale. Il est alors aisé de faire des mouvements de musculation comme des demis squats ou de la chaise équipé du Free Action. Pour la récupération aussi cela s’avère pratique. On peut vaquer à ses occupations tout en laissant l’appareil faire son boulot sans se préoccuper des fils qui traînent ! Le Free Action permet également de découpler l’action du programme en fonction du nombre d’électrodes. En effet, certains muscles acceptent et doivent obtenir plus d’intensité pour travailler efficacement, alors que d’autres ne peuvent accepter qu’une intensité réduite de courant. Le Free Action vous demande avant de commencer quel groupe musculaire est concerné par chaque électrode et adapte son programme en fonction. Vous pouvez également régler l’intensité manuellement au cours du programme.
L’interface graphique et l’écran tactile nous ont, cependant, moins séduits. L’utilisation d’un écran tactile pour un appareil d’électrostimulation ne se justifie pas réellement, d’autant que la qualité tactile de l’écran est moyenne. Il est compliqué de bien faire glisser les mollettes virtuelles qui règlent l’intensité et les graphismes ne sont pas très attrayants.

Malgré tout, avec un prix, en entrée de gamme, près de 4 fois inférieur au Compex Wireless, le Sort-Elec Free Action se positionne comme un concurrent sérieux ! Il propose des programmes, une facilité d’utilisation et une liberté qui seront appréciables chez nombre de coureurs !

Prix : à partir de 349€, www.sport-elec.com

Veinoplus Sport : La simplicité

Cet appareil de chez Veinoplus mise sur sa simplicité et son efficacité. Issu de nombreuses recherches scientifiques menées au sein même de l’INSEP (Institut National du Sport et de l’Expertise pour la Performance) le Veinoplus Sport propose un programme unique basé sur la récupération et le retour veineux. Le principe est d’une simplicité enfantine puisque les électrodes s’installent au cœur même du groupe musculaire visé, et le programme envoie des pulsations dont la fréquence stimule le retour veineux. Le groupe musculaire principal visé est le mollet, qui représente un cœur périphérique et permet une récupération globale. L’intensité du programme peut être réglée aisément grâce à deux boutons + et -. L’utilisation du Veinoplus Sport permet alors une récupération bien plus efficace après les séances.

Notre avis : Le Veinoplus se démarque par sa simplicité et son efficacité. Les électrodes sont faciles à placer car il suffit de les positionner au centre du muscle visé. Un seul programme, donc pas de prise de tête ou de noms alambiqués. L’appareil est léger et facile à transporter, on peut l’utiliser aisément en pratiquant une activité sédentaire, au boulot par exemple, ou même lors de longs voyages en avion où le retour veineux est compliqué. Un autre atout de cet appareil, son prix ! Il ne propose, cependant, qu’un programme unique. Finalement, le Veinoplus Sport s’adressera à des coureurs souhaitant optimiser leur récupération, sans avoir à se consacrer à l’anatomie ou au paramédical et en investissant un minimum.

Prix : 189€, www.veinoplus-sport.com

L’électrostimulation : un complément dans la préparation du coureur

Chaque coureur a, malheureusement, connu un jour une blessure qui a dû le forcer à stopper sa préparation et à se rendre chez le kiné. Certains d’entre vous ont alors, peut être, pu utiliser ces drôles d’appareils électriques, avec des patchs, permettant de cibler une zone douloureuse et d’accélérer sa guérison. Ces appareils d’électrostimulation ont longtemps été utilisés par les spécialistes de la santé et du paramédical pour traiter certaines blessures. Aujourd’hui, de nombreux appareils existent et se destinent au grand public et notamment aux coureurs.

L’électrostimulation, comment ça marche ?

Il s’agit d’un sujet un peu complexe et technique que nous allons simplifier ici. L’électrostimulation ce sont des pulses électriques injectés par des électrodes à votre corps. Ces pulses, émis à la bonne fréquence, vont reproduire l’effet du système nerveux et donc forcer vos muscles à effectuer une action tout en restant vous-même inerte. En faisant varier la fréquence il est possible de modifier l’effet recherché (bien souvent entre « musculation » et « soin, récupération »).

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L’électrostimulation est-elle réellement efficace ?

Les études scientifiques indépendantes, bien que moins élogieuses que certaines études proposées par les marques elles-mêmes, montrent que l’électrostimulation a de réels effets positifs sur notre corps. En matière de santé et de récupération la méthode est très efficace, il suffit de suivre le ou les programmes proposés. Bien souvent ces programmes s’appuient sur la capilarisation ou le retour veineux.

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En ce qui concerne la musculation, pas de solution miracle. Si vous pensez vous muscler en restant assis dans votre canapé vous faites fausse route. Les études scientifiques sérieuses montrent que les effets de la musculation passive sont très réduits et que seuls les programmes utilisés de manière active apporteront un vrai plus.

Comment optimiser sa préparation physique avec l’électrostimulation ?

Par exemple vous pouvez choisir un programme, faire des flexions (ou demi squats) durant la contraction musculaire, puis faire des montées de genoux pendant le relâchement. Cette méthode permet de soulager le corps des contraintes des barres de musculation, tout en travaillant sur le muscle ciblé. On peut alors réellement identifier un muscle et éviter de surcharger d’autres groupes musculaires (on évite les blessures des muscles antagonistes ou périphériques). L’électrostimulation permet également de contracter l’ensemble des fibres du muscle et de travailler aussi bien les fibres rapides que les fibres lentes, chose que ne permet pas, en simultané, la musculation traditionnelle.

Quels appareils d’électrostimulation utiliser ?

Les appareils d’électrostimulation se multiplient sur le marché de la course à pied. Runner’s World France vous propose un test comparatif de 4 appareils ici.

L’entrainement biquotidien, la double ration du coureur

L’entrainement biquotidien, la double ration du coureur.

L’entrainement biquotidien est la base même du sportif de haut niveau. Bernard Faure, ancien champion de marathon et consultant pour France TV Sport, l’affirme : « L’entrainement biquotidien est efficace car il permet plus de diversification et apporte un élément quantitatif complémentaire par rapport à un entrainement habituel. En surprenant l’organisme, on casse ainsi une barrière d’adaptation à l’effort, avec pour conséquence une nouvelle progression ».

A qui s’adresse l’entrainement biquotidien?

S’entrainer deux fois par jour est quelque chose de très exigeant et ne s’adresse pas à tout le monde. Il faut déjà avoir le temps et la disponibilité pour non seulement, effectuer ses entrainements, mais également pour récupérer convenablement. Ainsi, le biquotidien s’adresse à des coureurs confirmés en phase de grosse préparation, ayant le temps de s’adonner à deux entrainements dans la journée. Le biquotidien peut alors venir réunir deux séances dans une journée. Si vous avez l’habitude de vous entrainer 4 fois par semaine, ajouter un biquotidien dans votre programme permet de passer à 5 séances hebdomadaires sans avoir à réduire votre nombre de jours de repos, c’est tout bénef !

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Passez progressivement au biquotidien

« Le biquotidien permet d’abord de développer la base, c’est-à-dire l’endurance. On commence par des séances pas trop longues, en jogging », conseille Bernard Faure. La séance du soir sera alors consacrée à la qualité : fractionnés, seuil, piste, côtes, etc… Bien évidemment, cela dépend du profil du coureur, certains préfèreront finir calmement, après avoir attaqué la journée durement, mais il est malgré tout conseillé de ne pas griller toutes ses cartouches sur la première séance.

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Comment s’articule un entrainement biquotidien ?

Nous l’avons dit, il est donc préférable de placer l’endurance le matin et le fractionné l’après-midi. Une fois par semaine, commencez votre entrainement biquotidien par 20 minutes d’endurance fondamentale le matin. Vous pouvez passer à 30, puis 40 minutes au fil des semaines. Un travail d’endurance le matin, sera plus facile à « digérer », car l’effort n’est pas trop intense. Ne solliciter pas trop votre organisme. Faites une séance plus courte et plus lente qu’habituellement. La séance vous servira de mise en bouche pour celle de qualité du soir. Vous aurez alors apporter une dose parfaite de tous les éléments de l’entrainement à votre corps.

L’après–midi vous réaliserez le deuxième entrainement de votre biquotidien. Cette séance devra se faire au minimum six heures après la première séance du matin, pour permettre une récupération suffisante. Pendant ce temps de repos il faudra alors penser à se reposer, s’hydrater et refaire le plein de sucres lents et de protéines (surtout si vous avez couru à jeun le matin). La séance de l’après-midi sera alors plus intense. Vous pourrez y mettre votre fractionné, votre séance de seuil ou un travail en côte.

Quelques exemples pour s’initier au biquotidien

Pour passer au biquotidien, prévoyez une séance doublée par semaine, précédée et suivie par un jour de repos. Pour vous aider, Runner’s World France, vous propose 3 exemples d’entrainements biquotidiens.

  • 1ère possibilité. Matin : 5kms en endurance. Après-Midi : 4 à 6 x 1000m avec 2min de récup. Commencez à allure 1000m selon votre objectif puis se rapprocher de votre allure 5000m.
  • 2ème possibilité. Matin : 7kms en endurance. Après-Midi : Une séance classique de VMA par exemple 12x400m.
  • 3ème possibilité. Matin : 8kms en endurance. Après-Midi : Une séance de seuil, par exemple : 8x1000m.

Le Trail du Ventoux, les éléments se déchainent

Trail du Ventoux

On le savait, 15cm de neige attendaient les participants du grand parcours du Trail du Ventoux au sommet du Géant de Provence. Mais un autre élément est venu jouer les troubles fêtes : le vent. De fortes rafales soufflaient au sommet forçant les concurrents à une course de côté bien singulière.

Juliette Bénédicto et Sébastien Spehler plus forts que les éléments

Dans des conditions difficiles ce sont Juliette Bénédicto et Sébastien Spehler (team Adidas) qui ont été les plus forts sur le grand parcours.

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Partie en tête dès le départ, Juliette Bénédicto a déclaré : « Je n’ai jamais connu mon avance par rapport à mes poursuivantes et j’ai choisi le rythme qui me convenait. A l’arrivée, j’ai partagé ma joie avec mon compagnon Julien Coudert. Il était aussi fatigué que moi puisqu’il était également engagé sur ce 48 km où il a pris la cinquième place. S’entraîner et participer à des trails en couple est particulièrement motivant. »

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Le champion de France de Trail 2013, Sébastien Spehler, a dû bataillé d’avantage pour enlever cette victoire. Il faut dire que la concurrence était rude avec la présence de Michel Lanne, Julien Navarro et de Bertrand Brocho. « Une victoire pour débuter une saison face à un très beau plateau et des conditions météorologiques difficiles autour du sommet, c’est bon pour le moral et valide ma préparation hivernale », a-t-il révélé à la fin de sa course.

La prochaine étape du Salomon Skyrunners France Series aura lieu à Chamonix, le 29 juin prochain, avec les 42kms du Marathon du Mont-Blanc.

Et sur le 26kms ?

Le petit parcours comptait pour une manche du Challenge court des trails de Provence et a été remporté par Amandine Ferrato et Fabien Merchat. Au classement général de ce challenge, à la suite de 4 étapes, on retrouve en tête Laetitia Dardanelli et Pascal Règnerie.

Les podiums :

47,2kms (587 classés)

Dames

1 Juliette Bénédicto, Entente Athlétique de l’Arve, 5 h 18 mn 18 s

2 Caroline Chaverot, 5 h 21 mn 20 s.

3 Anne-Lise Rousset, team Race Land, 5 h  22 mn 25 s.

 

Hommes

1 Sébastien Spehler, team Adidas, 4 h 20 mn 38 s.

2 Michel Lanne, team Salomon, 4 h 26 mn 59 s.

3 Bertrand Brocho, 4 h 28 mn 39 s.

 

26kms (448 classés)

Dames

1 Amandine Ferrato, team New Balance, 2 h 30 mn 47 s.

2 Sabine Ehrstrom, 2 h 40 mn 37 s.

3 Fanny Cospain, team Vieux Campeur, 2 h 48 mn 22 s.

 

Hommes

1 Fabien Merchat, team Camino Sports, 2 h 4 mn 28 s.

2 Alexis Traub, team Scott, 2 h 5 mn 17 s.

3 Tristan Calamita, team Passion Courses, 2 h 6 mn 24 s.

Propos recueillis par Robert Goin, attaché de presse Salomon.

Ergysport Trail du Ventoux http://trailduventoux.fr/

Salomon Skyrunner France Series 2014  http://www.skyrunnerfranceseries.com/

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Une bonne santé

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