Blessures et course à pied : entre distance et vitesse

Vous voulez éviter les blessures ? Alors repérez vos faiblesses et entraînez-vous en conséquence. Car entre la vitesse, la distance parcourue et certains types de blessures, il peut exister des liens directs. Des chercheurs de l’Université d’Aarhus au Danemark ont montré que quelques blessures spécifiques survenaient le plus souvent chez les coureurs de fond, alors que d’autres étaient plus souvent représentées chez ceux qui courent sur des distances plus courtes mais plus rapidement. Vitesse ou distance ? Voici donc les conclusions des chercheurs. A noter, une troisième catégorie, celle des blessures qui se retrouvent chez toutes sortes de coureurs, indépendamment de la vitesse ou des distances parcourues.

Les blessures plutôt liées à la vitesse

  • Une contracture au mollet
  • Une fasciite plantaire
  • Une tendinite au tendon d’Achille

Les blessures plus liées à la distance parcourue

  • La tendinopathie rotulienne
  • Le syndrome de la bandelette ilio-tibiale (ou syndrome de l’essuie-glace).
  • Le syndrome fémoro-patellaire (ou syndrome rotulien)

Les blessures particulières aux causes multiples

  • La périostite tibiale
  • Les fractures de stress (ou fractures de fatigue)
  • Les blessures musculaires aux ischio-jambiers

Les bienfaits des tomates

Les bienfaits des tomates!

Elles font l’objet d’un débat populaire perpétuel, mais au delà de la question fondamental « fruit ou légume? » (il s’agit bel et bien d’un fruit) les tomates regorgent d’éléments excellents pour la santé. Faisons un petit tour d’horizon de ce que ces petites boules rouges peuvent nous apporter.

Un apport incroyable en nutriments essentiels

Les tomates sont riches en vitamine C et en phytonutriments (lycopène, esculoside, tomatidine, etc…) qui sont des antioxydants et possèdent un pouvoir anti-inflammatoire naturel. Ces éléments permettent alors d’expliquer pourquoi les tomates peuvent aider dans la lutte contre certaines maladies cardiaques ou contre certains cancers.

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Un soutien pour les os

Le lycopène contenu dans les tomates peut jouer un rôle sur la santé osseuse. Les chercheurs de l’Université de Toronto ont privé des femmes ménopausées de lycopène pendant quatre semaines. Sur cette période, les participantes ont montré des signes de diminution de la densité minérale osseuse.

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Des protecteurs cardiaques

Une étude récente a montré que manger quotidiennement deux grosses tomates pendant quatre semaines permettrait d’augmenter le taux de bon cholestérol et de lutter contre le mauvais cholestérol. Une autre recherche a également montré que des extraits de tomate pouvaient empêcher les plaquettes de notre sang de s’agglutiner.

Lutter contre le cancer

Manger des tomates pourrait aider à réduire le risque pour un homme de développer un cancer de la prostate. Cela serait dû aux antioxydants qui pourraient attaquer les cellules cancéreuses. Les femmes qui mangent des tomates ont un risque plus faible de développer un cancer du sein. C’est en tout cas ce qu’ont montré des études récentes sur le sujet. Les tomates cuites contiennent encore plus d’antioxydants et l’ajout léger de matière grasse (telle que de l’huile d’olive) permettrait une absorption plus efficace.

Finding Strong : une leçon de vie

Nous vous avions présenté le teaser de ce documentaire, Finding Strong, qui propose de découvrir comment la course à pied peut changer la vie d’une personne et même fédérer des communautés. Le film est désormais disponible.

Ce documentaire réalisé par Bryan Vernor et produit par Runner’s World US et Saucony est tout simplement somptueux. A travers des images merveilleuses on découvre comment la course à pied a réussi à changer la vie d’une personne à celle d’un village tout entier. Bousculer l’ordinaire, apprendre à se dépasser, voir au delà des stéréotypes, voila ce que le sport et, en l’occurrence la course à pied, sont capables de faire. Tout cela dépasse les frontières, les origines, la culture, ou même le physique, c’est une philosophie universelle qui permet de se sublimer et de briser les barrières. A travers des témoignages en Finlande, aux Etats-Unis, à Djibouti, au Brésil vous verrez que courir c’est voir au delà de la vitesse et de la distance, c’est un mode de vie!

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Questions de coureurs du 7 juin 2014

Questions de coureurs du 26 juillet 2014

Quelles sont vos préconisations afin de soigner une épine calcanéenne?

Tout d’abord, comme nous le répétons régulièrement sur les sujets de santé, il est avant tout nécessaire d’écouter son corps et d’aller consulter un professionnel. Chaque cas est différent et devra faire l’objet d’une consultation chez un spécialiste. En ce qui concerne une épine calcanéenne, la douleur ressentie sous le pied résulte souvent d’une aponévrosite plantaire chez le coureur. Il faut d’abord chercher à calmer la douleur, pour cela le froid peut être un bon remède, mais surtout doit être accompagné d’un repos réel. Ensuite, il va falloir tenter de réduire les tensions au niveau de l’aponévrose et du tendon d’Achille mais également de réduire les chocs au niveau du talon. C’est à ce moment qu’un spécialiste se doit d’intervenir ! Pour le coup, notre seul conseil serait d’aller consulter un podologue. Renseignez-vous auprès de votre entourage pour voir si ils peuvent vous en recommander un bon ! Prenez, en tout cas, le temps de vous soigner. Ces blessures chroniques sont les plus enquiquinantes !

J’ai régulierement des crampes depuis quelques temps quand je cours ! A votre avis que dois-je prendre avant la course pour que cela cesse ?

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Nous avons récemment réalisé un article sur le sujet, nous ne pouvons que vous conseillez de le lire. Si vous ne trouvez pas la réponse à vos questions, revenez vers nous ! (Cliquez ici pour lire l’article).

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Je viens de faire un trail de 30 kilomètres que j’ai terminé péniblement avec des crampes à tous les muscles des jambes de bas en haut. J’ai souffert et terminé pratiquement en marchant. Je me suis correctement hydraté, pris un excellent petit-déjeuner au moins 4 h avant la course. Je me suis aussi préparé car je me connais en faisant une cure de DECRAMP, pris du gel, pack trail, etc…. mais rien n’y fait. Je prépare le marathon de Lausanne et j’appréhende déjà les crampes. C’est malheureusement quasi systématique quel que soit le profil ou la course. Je cours régulièrement pourtant depuis une dizaine d’années, fait plusieurs trail, semi marathon, marathon. Est-ce qu’il y a une préparation spécifique, une alimentation adaptée ou des packs dédiés ou souffrirai-je d’un problème physiologique?

Votre cas semble en effet complexe car ce n’est pas un muscle mais l’ensemble de votre chaine qui a tendance à cramper. Cela révèle une certaine carence ou en tout cas un problème généralisé. Vous dites avoir couru auparavant, aviez-vous déjà des crampes à ce moment? De plus, les crampes proviennent d’un problème de relâchement musculaire, en vous focalisant dessus vous n’arriverez pas à obtenir le relâchement nécessaire. D’un point de vue physiologique il serait peut être souhaitable de faire un bilan complet avec prise de sang et tout le reste? Rien ne sert de vous proposer 36 produits miracles ou autres méthodes, si vous ignorez la cause du phénomène il sera compliqué de le soigner. Enfin, et ce sera la note pessimiste de notre réponse, sachez que parfois on ne peut pas y changer grand chose, que des personnes peuvent être plus sujettes aux crampes que d’autres. En espérant que ce ne soit pas votre cas, que le problème soit identifiable et que vous arriverez donc à le traiter.

J’ai 65 ans et je cours 6 jours par semaine à raison de 1h a 2h par sortie et ce depuis environ 35 ans. Je ne compte plus les competitions sur 100 km, Marathon, Marathon des sables, Grand Raid de la Réunion, et bien d’autres. Depuis 10 ans je suis suivie pour une arythmie, ma fréquence cardiaque de repos se situe aux environs de 46, je pèse 90kg pour 1m79 (jamais de crampes ni de tendinites). Pouvez vous me dire si je prend un risque à toujours courir?

Les problèmes cardiaques ne sont jamais évidents à gérer surtout quand on fait de la course à pied. Cependant, vus les éléments que vous nous fournissez vous semblez plus souffrir de bradycardie que de tachycardie. Cela s’avère donc, en théorie, déjà moins dangereux pour votre santé. Malgré tout, un battement irrégulier du coeur peut provoquer des problèmes d’irrigations au niveau de vos muscles. Cependant, encore une fois selon les éléments que vous nous donnez, cela ne vous a jamais empêché de gambader à travers le monde. Vous dites être suivi, qu’en pense votre cardiologue? Notre avis est que vous devriez lui poser directement la question, il vous connait bien et saura vous répondre. Vous devrez également faire un bilan cardiaque régulièrement, tous les 3 mois peut-être, pour vous assurer, qu’à défaut de tourner rond, votre coeur ne montre pas d’autres signes de fatigue.

Homme poilu cherche solution pour protéger ses tétons car souvent ça saigne et le sparadrap ou tout ce que j’ai essayé ne tient pas. N’y a t-il pas une solution ?

Avez-vous essayez les crèmes antifrottements ou la vaseline? Ces corps gras nourrissent la peau et la lubrifie évitant ainsi les frottements intempestifs! Si cela ne marche pas, la solution ultime sera de passer sous le rasoir, ou même, l’épilateur, pour pouvoir enfin coller un élément protecteur. Promis çà ne fait pas mal…ou presque !

Meeting Areva : C’est pas de Bolt

Meeting Areva : C'est pas de Bolt!!!

Nous vous l’annoncions en grande pompe ce matin, Usain Bolt était censé être la figure emblématique de ce Meeting Areva.

Malheureusement, le détenteur du record du Monde du 100m et 200m ne sera finalement pas présent… En cause? Une blessure au pied qui l’a handicapé tout au long de sa préparation du début d’année.
Le multiple champion olympique a déclaré « Cette blessure m’a contraint à manquer plusieurs séances d’entraînement à la fin du mois de mars et au début du mois d’avril. Aujourd’hui, je n’en souffre plus, j’ai repris une préparation complète, mais ma condition n’est pas encore ce qu’elle devrait être à cette période de la saison. Je ne serai donc pas prêt pour courir à Paris au MEETING AREVA, une compétition où j’ai régulièrement été présent ces dernières années et où je prévois de participer à plusieurs reprises à l’avenir. »

C’est une grande déception pour le public parisien qui attendait avec impatience la venue du champion.

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Pour se consoler on pourra retrouver :

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  • Renaud Lavillenie – Perche : N°1 mondial
  • Pascal Martinot-Lagarde – 110m Haies : N°1 mondial
  • Jimmy Vicaut – 100m : N° 3 mondial – leader européen
  • Pierre-Ambroise Bosse – 800m : N°5 mondial et leader européen
  • Christophe Lemaitre – 200m (mais qui s’alignera sur 100m au MEETING AREVA) : N° 8 mondial et leader européen
  • Eloyse Lesueur – saut en longueur : N° 3 et 3ème performance européenne
  • Cindy Billaud – 100m haies : N° 7 mondial et leader européen
  • Melina Robert-Michon – Lancer du disque : N° 7 mondial et 5eme européenne

Meeting Areva : c’est dans un mois !

Meeting Areva : les concours font briller les français !

C’est désormais un rendez-vous incontournable de l’athlétisme français et même de l’athlétisme mondial, le 5 juillet au Stade de France se tiendra le Meeting Areva.

Au programme de cette manche de la Diamond League on retrouvera des stars internationales de l’athlétisme.

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Usain Bolt : 2 fois en 2 ans

C’est du jamais vu sur un meeting de la Diamond League, la fusée Usain Bolt revient pour la deuxième fois consécutive sur le meeting parisien. En effet le sprinteur jamaïcain a estimé que Paris était le seul meeting qui ne pouvait être évité. Bolt affirme que le public à Paris est exceptionnel et que le Meeting Areva représente une ambiance bouillonnante qui lui donne envie de revenir chaque année. Du pain béni pour le Stade de France, car si cette ambiance est si exceptionnelle c’est bien grâce à la présence du détenteur du record du Monde du 100m et du 200m. Sans lui, le Stade de France semble bien triste.

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Lavillenie devant son public

Les stars ne seront pas toutes jamaïcaines au Stade de France. La France aussi possède ses héros et ses détenteurs de records du Monde. En grosse tête d’affiche on retrouvera, en effet, Renaud Lavillenie qui viendra, devant son public, faire le show. Le détenteur du record du Monde de saut à la perche l’affirme, le spectacle ne sera pas au Brésil le 5 juillet prochain, mais bien au Stade de France ! Et pourquoi pas tenter de battre ce record de 6m16?

Pour venir vibrer en direct au Stade de France, rendez-vous sur www.stadefrance.com ou dans vos points de vente habituels.

En attendant retrouvez le teaser du Meeting Areva.

Brassière et Soutien-gorge de sport : que choisir ?

Brassière et Soutien-gorge de sport : que choisir?

Odlo Top-brassière seamless Zone

Ce top Odlo intègre directement une brassière à l’intérieur afin d’offrir un maintien optimal à vos runs. Les deux produits s’entrelacent au niveau du dos. Le maintien est assuré par un tissu ultra stretch qui offre une grande respirabilité. La fibre fonctionnelle «effect» intégrée dans la matière contient des ions d’argent, stoppe la prolifération des bactéries et empêche la formation d’odeurs désagréables. Les coutures ont été réduites au minimum, grâce à la technologie de tricotage innovante 3D, afin d’éviter le maximum de frottements.

L’avis d’Ophélie, 31 ans, 95C: Ce top possède un très beau look. Le fait d’avoir un top combiné à une brassière est génial. Le confort est optimum avec une mise en valeur de la poitrine et surtout un excellent maintien pendant l’effort. La matière est très douce. Même après une grosse séance d’entraînement, il n’y a pas d’odeur désagréable grâce à la fibre « effect ». Aucune irritation n’est à relever et le tissu sèche très vite.

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60€, www.odlo.fr

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Adidas Brassière Supernova Racer

Cette brassière Adidas Supernova Racer a été conçue pour répondre à toutes les attentes des coureuses. Les technologies Climacool® et Climalite se chargent de réguler la transpiration avec l’insertion, notamment, de tissus en mesh. Cette brassière possède des bretelles qui se croisent dans le dos.

L’avis de Carole, 40 ans, 90C : Pour une poitrine de 90C, la taille 40 est parfaite. Cette brassière Adidas Supernova Racer s’ajuste exactement au tour de poitrine et prend agréablement les deux seins. Les coussinets intégrés ne sont pas de trop, ils renforcent et soutiennent la poitrine. Les bretelles croisées ne bougent pas, il faut juste surveiller à ne pas les vriller lorsqu’on les enfile. En course, on n’observe pas de frottement, même avec un sac à dos et tout reste à sa place. C’est une brassière très confortable qui sait aisément se faire oublier.

40€, www.adidas.fr

Brassière X-Bionic 24/7

Les bonnets sans coutures, le maintien Fort X et la ceinture ultra élastique font de cette brassière X-Bionic 24/7 un excellent produit pour les coureuses. Les systèmes d’évacuation de la sueur et de maintien de la chaleur, 3D-Bionic Sphere à l’avant et dans le dos, et SweatTraps dans le dos, évitent toute sensation d’humidité.

L’avis de Gaëlle, 31 ans, 90C: Le maintien est optimal sans pour autant compresser la poitrine. Les bandes respirantes permettent une évacuation quasi immédiate de la transpiration, aucune sensation d’humidité n’est ressentie. Elle s’adapte parfaitement à la poitrine sans serrer, elle se fait oublier après seulement quelques minutes sur la peau. L’élastique sous la poitrine permet sans problème le port d’un cardio fréquencemètre. Idéale pour les sportives régulières, la brassière conviendra également aux femmes à la poitrine avantageuse qui recherchent un maintien optimal. Seul petit bémol, la brassière sert un peu sous les aisselles.

70€, www.x-bionic.fr

Kalenji Brassière Confort

Kalenji propose une brassière avec dos nageur idéale pour les sports à fort impact comme la course à pied. Les bonnets sont moulés et rembourrés légèrement et sont alvéolés à l’intérieur pour évacuer la transpiration, le dos nageur est bien emboitant, il n’y a aucune agrafe ou couture pouvant irriter la peau, la matière est douce et bien élastique.

L’avis de Valérie, 43 ans, 90B : Cette brassière s’enfile aisément et la poitrine est bien maintenue. Pour ma part une taille au-dessus aurait été plus confortable, en effet la taille XS étant un peu trop serrée à mon goût pour un 90 B. Côté look, enfin une brassière très féminine, très esthétique, qui change des brassières peu glamour que l’on a connues. On pourrait presque courir sans tee-shirt. Côté maintien son efficacité est parfaite et elle offre une évacuation de la transpiration optimale pour rester fraiche lors de longs efforts. Cette brassière est vraiment agréable à porter, pour moi ce produit est très satisfaisant.

24,95€, www.decathlon.fr

Anita 5529 Momentum

Anita propose un soutien-gorge pour les femmes pratiquant des activités physiques exigeantes. La matière High-tech qui le compose permet une thermorégulation et augmente la respirabilité. Le système « Sweat Management » favorise la gestion de la sudation. Le tissu à l’intérieur est en microfibres alors qu’à l’extérieur un tissu Eyelet offre des reflets argentés.

L’avis de Nathalie, 40 ans, 90C : Le look de ce soutien gorge Anita est plutôt sexy et festif. Sa texture est très douce et fine. En course on observe un excellent maintien de la poitrine, le soutien-gorge épouse parfaitement la forme des seins et ne procure aucun frottement. Sur de longues distances l’élastique serre un peu sous la poitrine malgré une taille appropriée. En revanche les bretelles ne glissent pas et s’ajustent très aisément. Après l’avoir lavé près de dix fois en machine, le produit ne se déforme pas et le maintien est toujours intact. La couleur ne bouge pas non plus, elle reste aussi brillante qu’au premier jour.

58,95€, www.anita.com

Zsport Soft Touch

ZSport propose une brassière Soft Touch de couleur rose soyeux, agrémentée de bandes de tulle noire lui donnant un look féminin et sexy pour la pratique de sports intenses. Un maintien de niveau 4 est assuré par une coupe enveloppante, des bretelles doublées et une bande élastique sous la poitrine. Des coutures plates et lisses permettent d’éviter les irritations.

L’avis d’Aurore, 43 ans, 85C : Cette brassière Soft Touch possède un look très agréable. Je l’ai testée sur 3 activités sportives différentes : séances de course à pied de 2 heures, séances de fractionnés et cours de Pilates. J’ai apprécié son efficacité pour un maintien optimum sans être comprimée ou gênée et son tissu doux et sec en toutes circonstances. Dans la pratique, que ce soit en salle chauffée ou en outdoor, la brassière évacue efficacement la transpiration et assure une thermorégulation optimale. Sa touche rose soulignée de tulle noire met en valeur la poitrine. Cette brassière harmonise le sport et la féminité.

44,90€, www.zsport.fr

Sexe et course à pied : boostez votre fertilité !

C’est une question que les coureurs masculins se posent parfois au détour de réflexions un peu singulières : sexe et course à pied font-ils bon ménage? Des études ont été menées sur le sujet et le résultat est plutôt positif.

En effet, courir boosterait, semblerait-il, la fertilité masculine! C’est en tout cas le résultat d’une étude menée par l’Université d’Harvard, aux Etats-Unis, sur la relation entre l’activité physique et la densité de spermatozoïdes. Ils semblerait que les hommes qui avaient l’habitude de faire du sport en salle avaient une concentration de spermatozoïdes de 25% supérieure à ceux qui ne quittaient pas leur canapé. Mieux encore, celle des individus qui pratiquaient une activité régulière en extérieure comme la course à pied passait à 42%.

Voilà qui tord le coup à l’idée reçue qui prétend que l’excès de sport pourrait nuire à la bonne santé de l’appareil génital masculin et donc à la fertilité. Puisque sexe et course à pied continue à faire bon ménage, vous n’avez plus d’excuses, messieurs, pour vous défiler !

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Fartlek : pour qui ? Pour quoi ? Comment ?

Fartlek : pour qui? Pour quoi? Comment?

A l’origine, le Fartlek  est un mot suédois, littéralement «jeu de vitesse», un terme plutôt bien trouvé car si l’entraînement est assez ludique, c’est aussi un très bon exercice en période de remise en forme, avant d’attaquer une préparation plus structurée. Ou tout simplement pour se motiver, malgré l’hiver.

Les origines du Fartlek

C’est le suédois Gösta Holmer, qui le premier a eu l’idée de ce type d’entraînement. Ce champion d’athlétisme du début du XIXe siècle a été aujourd’hui largement oublié et pourtant il a laissé en héritage une méthode de préparation unanimement reconnue dans le monde entier, jusqu’aux hauts plateaux de la vallée du Rift. Les coureurs kényans l’utilisent très largement dans leur entraînement. Le Fartlek est un entraînement basé sur les variations d’allures selon les sensations du coureurs: «c’est un travail automnal, bénéfique sur de nombreux plans, le travail aérobie et anaérobie, les prises d’appuis, le renforcement musculaire. Ce type d’entraînement permet au coureur de mieux se connaître dans l’effort puisqu’on court toujours à la sensation», analyse Jean De Latour, entraîneur fédéral d’athlétisme et membre du staff de l’équipe de France de marathon. Contrairement au stade ou à la route, courir dans la nature permet de varier les terrains et les séances et de supporter plus facilement des efforts qui sembleraient plus difficiles dans d’autres conditions.

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Un entraînement ludique

Le Fartlek consiste à alterner des phases de courses rapides et des phases de récupération décidées  au dernier moment selon la topographie du terrain et surtout selon les sensations. L’objectif est de «jouer à accélérer» sur certaines portions en fonction de l’effort ressenti sans tenir compte du temps et de la distance. Ainsi le coureur est libre de programmer ses accélérations et ses périodes de récupérations comme il le souhaite. Il peut par exemple accélérer jusqu’au prochain chemin, puis récupérez une fois atteint le panneau suivant… Tout est possible, ou presque, «l’objectif est de travailler toutes les zones aérobies en inventant sa séance», explique notre entraîneur. Ce type d’entraînement se pratique généralement en nature sur un terrain légèrement vallonné. Principal avantage du Fartlek, un aspect ludique et naturel très bénéfique pour le coureur. Essayez par exemple une séance le long de l’océan sur les chemins côtiers du Golfe du Morbihan, impossible de ne pas prendre un réel plaisir. Et si le parcours est exigeant, être libre de ralentir et de récupérer comme on le souhaite, ça change tout. Le Fartlek autorise surtout un vrai dépaysement mental, c’est l’entraînement idéal pour se motiver et prendre du plaisir à courir.

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Fartlek : pour quoi faire ?

Le plus important est d’abord de se fier à ses sensations sans s’imposer une allure ou une distance. C’est le principal objectif de cette séance, «le Fartek permet de mieux se connaître, d’apprivoiser sa course et ses sensations à l’effort en n’étant pas dépendant d’une distance ou d’un temps définit», confirme Jean De Latour. Mais attention, le Fartlek n’est pas pour autant comparable au fractionné ou à une séance de seuil, il ne s’agit pas d’aller trop vite, ni de respecter un temps d’effort précis, il ne s’agit pas non plus de sprint mais plutôt d’une allure soutenue, le coureur doit toujours rester maître de son effort. C’est une méthode très efficace en reprise d’entraînement après une coupure ou en retour de blessure, «je programme habituellement des séances de Fartlek pour des coureurs en phase de reprise (après un gros travail d’endurance), avant d’attaquer une préparation spécifique» toujours selon notre entraîneur. Cela permet d’éviter de reprendre avec des charges d’entraînement trop ambitieuses. Une erreur fréquente. Mais aussi intéressant que soit le Fartlek, il ne peut pas tout remplacer et notamment l’entraînement pour des distances normées (10km, semi ou marathon). Pour ce type de compétition il est indispensable d’intégrer les bons rythmes en passant par des entraînements plus codifiés sur des distances bien étalonnées. Pour les courses sur routes, la notion de durée d’effort devra nécessairement être abordée à l’entraînement. Pour conclure, s’il est très intéressant d’intégrer le Fartlek à certaines périodes de la préparation, il ne se substituera pas à un entraînement structuré et varié. Il s’agit bien d’un entraînement supplémentaire (complémentaire ?) à rajouter dans sa planification hebdomadaire. Peu importe l’objectif visé.

Finding Strong : un documentaire à ne pas manquer !

Finding Strong : une leçon de vie!

Le 4 juin sortira sur le site de Runner’s World US un documentaire de 22 minutes dédié à la course à pied. Vous pourrez découvrir Finding Strong sur runnersworld.com/findingstrong

Voici le synopsis

Finding Strong souligne, à travers des scènes quotidiennes à travers le monde, comment le simple fait de courir peut créer et renforcer des communautés. Finding Strong démontre réellement, ce que nous runners savons déjà, à savoir que la course à pied signifie bien plus que « distance » ou « vitesse ». Il s’agit plutôt de changer la vie des gens. Rendez-vous le 4 juin à 22h00 sur runnersworld.com/findingstrong pour en savoir plus!

 

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Une bonne santé

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