L’appel de la course à pied est unique et touche chacun de manière profondément personnelle. Une chose est sûre : que vous vous considériez comme un athlète ou non, tôt ou tard, cette petite voix viendra frapper à la porte de votre esprit. À vous ensuite de décider si vous la laissez entrer.
C’est exactement ce qu’a fait Jacopo Gandola en rejoignant Zalando pour courir le marathon de Berlin. Une expérience inoubliable dont il veut partager chaque moment : « Je me souviens encore de ma toute première sortie après la pandémie et le confinement : quelques minutes à peine qui m’ont semblé durer une éternité. Cela peut paraître banal, mais ce moment a marqué le début d’une nouvelle vie, la découverte d’un monde inconnu devenu aujourd’hui un refuge, un endroit où je vais chaque jour pour me sentir bien, me vider la tête et repousser mes limites.
Depuis cette première course, j’en suis obsédé. Le « virus du running » m’a définitivement contaminé. Je me souviens de la première fois où j’ai réussi à courir une demi-heure sans m’arrêter, puis une heure, mes débuts sur semi-marathon… et, bien sûr, un marathon complet !
L’expérience running de Zalando parle justement de ça. Ces motivations personnelles qui poussent chaque coureur à lacer ses chaussures et à prendre la route, que ce soit pour une compétition ou simplement pour se sentir mieux.
Pour moi, courir me donne une dose irremplaçable d’adrénaline, un carburant pour le corps et l’esprit, mais aussi me pousse à relever ce défi constant et me met à l’épreuve. C’est pourquoi j’ai accepté avec grand plaisir cette occasion de courir le marathon de Berlin avec Zalando, l’un des sponsors principaux de l’événement.
Difficile de résister à l’attrait d’une course aussi mythique, qui attire chaque année plus de 55 000 coureurs. Berlin, terre de 18 records du monde, est un marathon qui a marqué l’histoire du running. Et le courir a véritablement été magique.
Le marathon de Berlin avec Zalando
Avant le jour J, bien d’autres émotions nous attendaient. Si vous n’avez jamais envisagé de vous mettre à la course mais que vous vous retrouvez à Berlin un week-end de marathon, je suis presque certain que vous remettriez vos convictions en question. Durant l’événement, la capitale allemande et son marathon vivent en parfaite symbiose ; l’un n’existe tout simplement pas sans l’autre. Partout où vous regardez, la ville parle le langage de la course : des milliers de coureurs, facilement repérables à leurs chaussures de running, arpentent les grands boulevards dans une impatience fébrile, tandis que des panneaux disséminés à travers la ville marquent les 42 kilomètres de ce marathon mythique.
Et oui, le samedi, je suis tombé par hasard sur le panneau du kilomètre 35 et, même si je marchais simplement, j’ai immédiatement ressenti une crispation dans les jambes.
Une fois nos dossards récupérés, nous nous sommes pleinement immergés dans l’atmosphère du marathon avec une visite de la Run Zone de Zalando. Nous avons assisté à une table ronde captivante où plusieurs ambassadeurs de la marque ont partagé leur passion pour la course et quelques conseils légers pour évacuer le stress d’avant-course. Nous avons également pu découvrir de près la riche sélection de vêtements de running de Zalando : une offre vraiment complète avec des marques de premier plan comme Nike, Asics, New Balance et Altra, proposant des équipements conçus aussi bien pour la performance maximale que pour le confort quotidien.
Pour le jour de la course, j’ai misé sur une tenue axée performance : aux pieds, les Adidas Adios Pro 4, la super chaussure de la marque conçue pour la vitesse. Je les ai associées au short ultra-léger et respirant Adidas Adizero Split Shorts, et complété le tout avec le débardeur aéré et perforé Asics Metarun Singlet. Le résultat ? Une tenue à la fois confortable et stylée.
Il ne manquait qu’une chose à cette journée parfaite : une bonne charge en glucides. Ni une ni deux, l’équipe Zalando avait prévu pour nous, coureurs affamés, un dîner bien nommé : « Plus de pâtes, plus de puissance ». Les glucides vous aident à courir plus longtemps et plus loin, et fidèle à mes racines italiennes, je ne me suis pas retenu dans ma préparation pour le jour de la course. Je me suis gavé de spaghettis à la sauce tomate… Je n’ai pas compté les assiettes, donc je n’avais absolument plus aucune excuse pour le marathon !
Dimanche matin, 9h10, 42 kilomètres et 195 mètres nous attendent. Sous la Porte de Brandebourg, nous sommes plus de 55 000 rassemblés : chacun avec son propre rythme, chacun avec sa propre motivation, mais tous partageant le même rêve : repasser par ce même endroit quelques heures plus tard, cette fois en tant que finishers.
Décrire les émotions du marathon de Berlin n’est pas facile. Après des mois de sacrifices et d’innombrables sorties matinales estivales, vous êtes enfin prêt pour votre grand défi. Le jour de la course, vous récoltez les fruits de votre entraînement — mais surtout, c’est un jour de célébration, pour garder la joie au cœur. Un marathon doit ressembler à une fête !
Et c’est parti ! Peut-être est-ce la chaleur de la foule, peut-être l’adrénaline, mais les premiers kilomètres défilent à toute vitesse. Jusqu’à mi-parcours, c’est un déferlement ininterrompu d’émotions : les encouragements, les pancartes faites main, les high-fives des enfants le long du parcours. Courir cette course est un pur bonheur !
Mais chaque marathon a son point de rupture… Le mien est arrivé juste après le kilomètre 30. La chaleur m’a frappé, mon rythme a ralenti mais alors j’ai repensé au moment où j’ai commencé à courir il y a cinq ans. Qui aurait imaginé qu’en si peu de temps je serais là, à Berlin, en train de courir l’une des courses les plus emblématiques au monde ? Cette pensée m’a donné l’élan dont j’avais besoin. Soudain, la chaleur n’avait plus d’importance. Je voulais juste courir, savourer chaque seconde de cette expérience magique.
Le marathon de Berlin, une vraie célébration
Pour moi, le marathon de Berlin a vraiment été une grande célébration. Je le pensais encore en passant le redoutable kilomètre 35, celui-là même qui m’avait tant intimidé la veille de la course. C’est là qu’une vague d’énergie supplémentaire m’a submergé : une explosion d’encouragements, des gens criant mon nom « Jacopo ! Jacopo ! » résonnant tout autour. Au-dessus de ma tête, une bannière orange audacieuse marquait la Zalando x adidas Cheer Zone, une portion semblable à un stade de pur encouragement à ciel ouvert. Chair de poule. Soudain, la ligne d’arrivée semblait plus proche et plus facile que jamais.
On dit que la course est un sport individuel, mais durant le marathon de Berlin, vous vous sentez faire partie d’un collectif, une équipe où chacun poursuit son propre objectif. Le rugissement de la foule, le rythme presque silencieux de milliers de pieds sur le pavé, et puis… le voilà. Après 41 kilomètres, je le revois : la Porte de Brandebourg, qui m’attend. Cette aventure que je souhaitais secrètement ne jamais voir se terminer touche à sa fin. Je suis aussi heureux que tous les coureurs autour de moi. Je franchis la ligne d’arrivée, passe fièrement la médaille autour de mon cou, une fois de plus, marathonien. Mais cette fois, c’est différent. Cette fois, c’est Berlin. Et ce marathon est une pure magie.
Même sur la ligne d’arrivée, les émotions ne s’arrêtent pas. Terminer un marathon n’est jamais facile — chaque coureur vient avec sa propre raison personnelle d’être là. Et cette année, l’expérience running de Zalando a embarqué toute la ville dans la course, inspirant des milliers d’athlètes avec des messages de motivation qui ont illuminé Berlin. Mission accomplie !
