
Je pratique la course à pied depuis mon plus jeune âge et elle m’a poussé à devenir l’homme que je suis aujourd’hui. J’ai réalisé des études dans le management sportif puis obtenu une bourse dans une université américaine. Enfin, j’ai créé la course de mes rêves en 2013, l’Oxy’Trail. Si un jour je n’avais pas commencé et persisté dans la course à pied, qu’en serait-il de tout cela ?
BENOÎT P.
J’ai débuté la course à pied il y a 2 ans pour sensibiliser la population sur la situation des enfants dans les zones de combats en Syrie, en portant des tee-shirts imprimés avec le message « Save children from Syria ». Puis j’ai découvert l’action des Casques blancs syriens, des sauveteurs bénévoles issus de la société civile. Depuis, je cours en portant leur fameux casque blanc et je m’arrêterai de le porter uniquement lorsque la guerre sera terminée.
PASCAL H.
Après avoir fini mon marathon Nice-Cannes en 2013, on m’a annonçé que j’avais un cancer du sein. Je n’ai jamais accepté d’arrêter de courir et j’ai décidé de me battre comme je pouvais pour continuer. J’ai même fait 3 courses de 10 km, à mon rythme, accompagnée de mes super copines toujours prêtes à m’aider. 2 mois après la fin des traitements, je finissais mon marathon de Florence, telle une renaissance.
NADIA J.
Au niveau personnel, le running m’a permis de reprendre le contrôle de mon corps et de mon esprit. J’ai pu me dépasser, atteindre des objectifs et surtout reprendre confiance en moi. Enfin, j’ai découvert que grâce au running, notamment en participant à des courses, je rencontrais d’autres coureurs. Aujourd’hui, je ne pourrais plus vivre sans.
MOHAMED E.K.
Le running, c’est mon punching-ball ! Mon métier, celui d’infirmière en milieu hospitalier, est harassant. Il y a 3 ans, j’ai frôlé le burn out ! Mais heureusement, la course à pied était là. Elle a été mon médicament, car mes séances de course sont des instants pour moi et rien que pour moi. Ils me ressourcent véritablement. Depuis, je cours 3 fois par semaine en essayant de découvrir la beauté des paysages qui nous entourent.
NADINE D.
J’ai commencé le running pour maigrir. Mais à présent, c’est l’inverse. Je perds du poids pour pouvoir courir plus longtemps. Pour le moment, je cours des semi-marathons. Mon prochain objectif, c’est le marathon de Paris. Le running m’a tellement apporté : la confiance et le dépassement de soi. Merci le running ! CÉCILE J.
Perdre du poids : c’est pour cette raison que je me suis mise à courir. Mais petit à petit, des tensions familiales sont venues s’immiscer dans ma vie. Les sorties running sont vite devenues indispensables. Elles sont les seuls moments où je peux me défouler et me retrouver seule pour extérioriser. Aujourd’hui, la course à pied est une nécessité pour mon équilibre. Le running me permet de me fixer des objectifs et de tout faire pour les dépasser.
CÉCILE D.
Comme beaucoup, j’ai décidé de courir pour perdre du poids. Mais peu à peu, d’autres facteurs m’ont fait comprendre que la course à pied faisait partie intégrante de mon être, comme l’oxygénation du cerveau et aussi comme thérapie contre mon cancer du sein.
NATHALIE B.
Si l’on me demandait de résumer la pratique de la course à pied en un mot, je choisirais « rencontre ». Car en participant à des courses, j’ai pu aborder et connaître un tas de personnes. Elles ont toutes des objectifs différents des miens. Toutefois, un point commun nous rassemble : pas de grasse matinée le week-end !
ISABELLE G.