
Après les sessions hivernales sur tapis de course, le temps est désormais aux sentiers ensoleillés et aux sous-bois verdoyants. Car, à mesure que le thermomètre grimpe et que les jours rallongent, les possibilités de courir se multiplient. Imaginer le grand air, le soleil et le vent sur son visage, c’est déjà être en train de courir (ou presque…). Mais avant de foncer dehors, voici quelques conseils pour profiter pleinement de votre running à l’extérieur.
SUR ROUTES OU SUR PISTES CYCLABLES
Courez plutôt dans le sens inverse de la route, face à la circulation, de façon à pouvoir réagir en cas de problème ou si un véhicule présente un danger. Restez bien évidemment toujours sur le bas-côté, le plus éloigné possible de la route et du trafic. Évidemment, ce n’est pas le meilleur endroit pour courir. Le mieux est de considérer plutôt les routes comme des passages pour rallier d’autres parcours d’entraînement plus tranquilles et plus sécurisés.
SUR SENTIER OU EN FORÊT
Lâchez-vous! Sauf attaque d’un écureuil enragé (c’est très rare), profitez pleinement des petits sentiers pour un parcours agréable et amortissant. Laissez tomber les écouteurs et recentrez-vous sur votre foulée, votre corps en mouvement et votre respiration. Écoutez la nature. Endurance, fartlek et même quelques accélérations sur 100 à 200 m : tout est possible, ou presque. Éclatez-vous ; c’est le meilleur endroit pour être mordu… par la course.
SORTEZ SUR PISTE D’ATHLÉTISME
La règle générale est de toujours courir dans le sens antihoraire. Les couloirs intérieurs sont réservés aux coureurs les plus rapides. Les coureurs les plus lents empruntent donc les couloirs les plus à l’extérieur. Une fois votre répétition terminée, quittez immédiatement la piste (vers l’intérieur ou vers l’extérieur, selon votre placement) pour libérer le couloir. La piste d’athlétisme est toujours utilisée pour l’entraînement en fractionné. Les stades sont généralement ouverts au public, parfois tard le soir. Renseignez-vous auprès devotre mairie!